Histoire politique et militaire du peuple de Lyon pendant la Révolution française, Volume 3 |
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... garde , disait - il encore , l'or , dans les mains des traîtres , peut leur servir à endormir leurs juges et leurs lois . Il n'y a d'autre moyen sûr pour les faire tous condamner à mort que celui de s'em- parer de leurs biens . >> Par ...
... garde , disait - il encore , l'or , dans les mains des traîtres , peut leur servir à endormir leurs juges et leurs lois . Il n'y a d'autre moyen sûr pour les faire tous condamner à mort que celui de s'em- parer de leurs biens . >> Par ...
Page 12
... garde des lois les proies qu'ils dévoraient depuis si longtemps , cherchèrent à fomenter de nouveaux troubles , de nouveaux désordres . Criant partout à la trahison , ils couvrirent les murs de la cité de placards séditieux , formèrent ...
... garde des lois les proies qu'ils dévoraient depuis si longtemps , cherchèrent à fomenter de nouveaux troubles , de nouveaux désordres . Criant partout à la trahison , ils couvrirent les murs de la cité de placards séditieux , formèrent ...
Page 24
... garde contre les fausses attaques . des factions , elles en veulent à votre gouvernement : elles s'atta- >> cheront à vous présenter comme des tyrans et des oppresseurs » féroces , ceux de vos collègues qui dans les départements mon ...
... garde contre les fausses attaques . des factions , elles en veulent à votre gouvernement : elles s'atta- >> cheront à vous présenter comme des tyrans et des oppresseurs » féroces , ceux de vos collègues qui dans les départements mon ...
Page 27
... garde que ce sont les comités révolutionnai- >> res qui ont apposé les scellés . Ce sont ces comités lyonnais qui ont » les clés des magasins et maisons séquestrés , qui ont mis dans ces » maisons et magasins des gardiateurs à leur ...
... garde que ce sont les comités révolutionnai- >> res qui ont apposé les scellés . Ce sont ces comités lyonnais qui ont » les clés des magasins et maisons séquestrés , qui ont mis dans ces » maisons et magasins des gardiateurs à leur ...
Page 30
... garde , mon > ami , pendant le séjour de Collot - d'Herbois ici il a été menacé par » des lettres anonymes . On se cachait encore en ce temps là : main- » tenant on ne se cache plus ! on vient dans notre propre maison , de- » vant mes ...
... garde , mon > ami , pendant le séjour de Collot - d'Herbois ici il a été menacé par » des lettres anonymes . On se cachait encore en ce temps là : main- » tenant on ne se cache plus ! on vient dans notre propre maison , de- » vant mes ...
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Common terms and phrases
administrateur Affranchie Antoine armée arrêté autorités constituées avaient avez bataillon bourreaux Challier chapelier chie ci-devant citoyens Claude comité de salut comité révolutionnaire commission compagnie de Jésus Condamnés et exécutés Convention nationale courage crime Croix-Rousse décret demeurant à Commune demeurant à Commune-Affranchie demeurant à Lyon demeurant à Ville-Affranchie demeurant place demeurant rue département district drapeau ennemis épicier ex-noble fabricant femmes François frères fusillé garde nationale général Grande-Côte guillotiné hommes Isère jacobins Jacques Jean Jean-Baptiste Jean-Marie Joseph jour justice liberté Loire lyonnaise malheurs marchand membres ment MÈRE CARPILLON MÈRE DUCHESNE meurant Montbrison mort mune-Affranchie muscadins natif de Commune-Affranchie natif de Lyon officier municipal ouvrier en soie patrie patriotes perruquier peuple de Lyon Pierre Pierre-Scize place des Terreaux prêtre publique rant rentier représentants du peuple républicains République Rhône Rhône-et-Loire Riard Roanne Robespierre Saint-Chamond salut public sang sans-culottes scélérats section sera société populaire terroristes tion toyens tribunal tyrans vengeance vertu
Popular passages
Page cxxvi - Elle ne peut exister, si les limites des fonctions publiques ne sont pas clairement déterminées par la loi, et si la responsabilité de tous les fonctionnaires n'est pas assurée.
Page cxxiv - Déclaration des droits de l'homme et du citoyen LE peuple français, convaincu que l'oubli et le mépris des droits naturels de l'homme, sont les seules causes des malheurs du monde, a résolu d'exposer dans une déclaration solennelle ces droits sacrés et inaliénables, afin que tous les citoyens, pouvant comparer sans cesse les actes du gouvernement avec le but de toute institution sociale, ne se laissent jamais opprimer et avilir par la tyrannie; afin que le peuple ait toujours devant les yeux...
Page cxxvi - Le droit de propriété est celui qui appartient à tout citoyen de jouir et de disposer à son gré de ses biens, de ses revenus, du fruit de son travail et de son industrie.
Page cxxv - Nul homme ne peut être accusé, arrêté ni détenu que dans les cas déterminés par la loi, et selon les formes qu'elle a prescrites.
Page cxxv - Tous les hommes sont égaux par la nature et devant la loi. 4. La loi est l'expression libre et solennelle de la volonté générale: elle est la même pour tous, soit qu'elle protège, soit qu'elle punisse : elle ne peut ordonner que ce qui est juste et utile à la société : elle ne peut défendre que ce qui lui est nuisible.
Page cxxv - Tout homme étant présumé innocent, jusqu'à ce qu'il ait été déclaré coupable, s'il est jugé indispensable de l'arrêter, toute rigueur qui ne serait pas nécessaire pour s'assurer de sa personne, doit être sévèrement supprimée par la loi.
Page cxxv - La sûreté consiste dans la protection accordée par la société à chacun de ses membres pour la conservation de sa personne, de ses droits et de ses propriétés.
Page cxxvi - L'instruction est le besoin de tous. La société doit favoriser de tout son pouvoir les progrès de la raison publique et mettre l'instruction à la portée de tous les citoyens.
Page cxxv - Tout acte exercé contre un homme, hors des cas et sans les formes que la loi détermine, est arbitraire et tyrannique; celui contre lequel on voudrait l'exécuter par la violence a le droit de le repousser par la force.
Page 180 - On verra tous les états Entre eux se confondre ; Les pauvres, sur leurs grabats, Ne plus se morfondre. Des biens on fera des lots Qui rendront les gens égaux.