Histoire de France, Volume 2Hachette, 1868 - France |
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... était mort en criant aux Guises dans son agonie : Card par toi , nous voilà damnés ! » La duchesse de Guise s enfuie épouvantée : « Ah ! madame , disait - elle à la r Amboise . bientôt notre maison ! » Marie Stuart n'avait.
... était mort en criant aux Guises dans son agonie : Card par toi , nous voilà damnés ! » La duchesse de Guise s enfuie épouvantée : « Ah ! madame , disait - elle à la r Amboise . bientôt notre maison ! » Marie Stuart n'avait.
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... disait - il , avec la Garonne et la Dordogne , « les deux ma- melles . >> Le baron des Adrets dut une réputation pareille à des actes semblables . Après la prise de Montbrison , il fit couper la tête à la moitié des défenseurs de la ...
... disait - il , avec la Garonne et la Dordogne , « les deux ma- melles . >> Le baron des Adrets dut une réputation pareille à des actes semblables . Après la prise de Montbrison , il fit couper la tête à la moitié des défenseurs de la ...
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... disait au roi « Votre Majesté n'a point gagné la bataille , encore moins le prince de Condé , mais le roi d'Es- pagne ; car il est mort de part et d'autre assez de vaillants capitaines et de braves soldats françois pour conquester la ...
... disait au roi « Votre Majesté n'a point gagné la bataille , encore moins le prince de Condé , mais le roi d'Es- pagne ; car il est mort de part et d'autre assez de vaillants capitaines et de braves soldats françois pour conquester la ...
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... disait son agent , en pourra bien faire plus de cent mille francs3 . » La Saint - Barthélemy était 1. Il fut tué dans son cabinet , au collége de Presle , à l'instigation de son rival Charpentier ; les assassins le jetèrent , vivant ...
... disait son agent , en pourra bien faire plus de cent mille francs3 . » La Saint - Barthélemy était 1. Il fut tué dans son cabinet , au collége de Presle , à l'instigation de son rival Charpentier ; les assassins le jetèrent , vivant ...
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... disait - on , le roi en était il venu là , après deux ans de règne ? Il avait pour- tant assez levé de millions sur les bonnes villes , assez frappé d'emprunts sur le clergé , assez créé d'offices onéreux ou nui- sibles au pays . Mais ...
... disait - on , le roi en était il venu là , après deux ans de règne ? Il avait pour- tant assez levé de millions sur les bonnes villes , assez frappé d'emprunts sur le clergé , assez créé d'offices onéreux ou nui- sibles au pays . Mais ...
Contents
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Common terms and phrases
Anglais août armée Autrichiens avaient bataille Béarnais Blois Blücher Bonaparte Bourbon C'était calvinistes cardinal Catherine Catherine de Médicis catholique Charles Charles IX château chef civile clergé Colbert Coligny commença comte conseil coup cour d'Orléans déclara défense députés donner duc d'Anjou duc de Guise ennemis Espagnols états finances flotte force française François Ier garde général gouvernement guerre Henri Henri III Henri IV Hollande hommes huguenots jour l'Angleterre l'armée l'Assemblée l'Autriche l'Empereur l'Espagne l'Europe laissa liberté Ligue ligueurs livres Lorraine Louis XIV main maison maréchal Marie de Médicis mars Mayenne Mazarin Médicis menacé ment millions ministre mort n'avait n'était Napoléon nationale Navarre noblesse paix pape parlement passer pays Pays-Bas peuple Philippe politique porte premier prit protestants provinces réformes reine rent reste Révolution Rhin Richelieu royale royaume Russes s'était Saint-Barthélemy Savoie seigneurs seul siècle soldats sorte Sully tiers tiers état tion traité troupes trouva Turenne vaisseaux Versailles victoire voulait
Popular passages
Page 423 - Tout ce que je vois jette les semences d'une révolution qui arrivera immanquablement, et dont je n'aurai pas le plaisir d'être témoin. Les Français arrivent tard à tout, niais enfin ils arrivent. La lumière s'est tellement répandue de proche en proche, qu'on éclatera à la première occasion; et alors ce sera un beau tapage. Les jeunes gens sont bien heureux; ils verront de belles choses.
Page 274 - Je compterais aller à Péronne ou à Saint-Quentin y ramasser tout ce que j'aurais de troupes, faire un dernier effort avec vous, et périr ensemble, ou sauver l'État ; car je ne consentirai jamais à laisser approcher l'ennemi de ma capitale.
Page 461 - Allez dire à votre maître que nous sommes ici par la volonté du peuple et que nous n'en sortirons que par la force des baïonnettes.
Page 190 - Vous devez donc être persuadé que les rois sont seigneurs absolus et ont naturellement la disposition pleine et libre de tous les biens qui sont possédés, aussi bien par les gens d'église que par les séculiers, pour en user en tout temps comme de sages économes, c'est-à-dire suivant le besoin général de leur État.
Page 90 - Je vous ai assemblés pour recevoir vos conseils, pour les croire, pour les suivre, bref, pour me mettre en tutelle entre vos mains, envie qui ne prend guère aux rois, aux barbes grises et aux victorieux. Mais la violente amour que je porte à mes sujets...
Page 640 - Soldats! venez vous ranger sous les drapeaux de votre chef. Son existence ne se compose que de la vôtre ; ses droits ne sont que ceux du peuple et les vôtres ; son intérêt , son honneur, sa gloire , ne sont autres que votre intérêt , votre honneur et votre gloire.
Page 461 - Là, entre des murs sombres et nus, sans appareil, sans siège , les députés font le serment solennel de ne point se séparer avant d'avoir donné une constitution à la France (20 juin).
Page 83 - Ne veux-tu jamais te guérir de cette frénésie, qui, pour un légitime et gracieux roi, t'a engendré cinquante roitelets et cinquante tyrans ? Te voilà aux fers ; te voilà en l'Inquisition d'Espagne, plus intolérable mille fois et plus dure à supporter aux esprits nés libres et francs, comme sont les Français, que les plus cruelles morts dont les Espagnols se sauraient aviser.
Page 407 - certains animaux farouches, des mâles et des femelles, répandus par la campagne, noirs, livides, et tout brûlés du soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible ; ils ont comme une voix articulée, et quand ils se lèvent sur leurs pieds, ils montrent une face humaine; et en effet ils sont des hommes.
Page 422 - ... c'est une vieille machine délabrée qui va encore de l'ancien branle qu'on lui a donné , et qui achèvera de se briser au premier choc.