Histoire de France, Volume 2Hachette, 1868 - France |
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... lui - même à Poitiers , à Paris , à Nérac , et , le premier , les exposa et les défendit dans un livre clair et méthodique qu'il intitula l'Institution chrétienne , et qu'il accompagna d'une préface adressée à François Ier . Il y ...
... lui - même à Poitiers , à Paris , à Nérac , et , le premier , les exposa et les défendit dans un livre clair et méthodique qu'il intitula l'Institution chrétienne , et qu'il accompagna d'une préface adressée à François Ier . Il y ...
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... lui - même , mais con- tre son naturel usa non - seulement de rigueur , mais de cruauté . Il faillit un jour étrangler de ses propres mains un ministre protestant qui était venu pour négocier avec lui . Une autre fois , il en mit sur la ...
... lui - même , mais con- tre son naturel usa non - seulement de rigueur , mais de cruauté . Il faillit un jour étrangler de ses propres mains un ministre protestant qui était venu pour négocier avec lui . Une autre fois , il en mit sur la ...
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... lui - même et son fils don Carlos qui , soupçonné d'hérésie ou tout au moins d'idées de tolérance , était jeté dans une prison et y mourait , peut- être par l'ordre de son père . Catherine de Médicis voulait aussi finir cette guerre ...
... lui - même et son fils don Carlos qui , soupçonné d'hérésie ou tout au moins d'idées de tolérance , était jeté dans une prison et y mourait , peut- être par l'ordre de son père . Catherine de Médicis voulait aussi finir cette guerre ...
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... lui - même et qu'il appelait volontiers sa paix , par opposition au traité précédent appelé la paix de Monsieur 17 septembre 1577 ) . Elle accordait aux protestants une li- berté de conscience plus étendue et mieux spécifiée que dans ...
... lui - même et qu'il appelait volontiers sa paix , par opposition au traité précédent appelé la paix de Monsieur 17 septembre 1577 ) . Elle accordait aux protestants une li- berté de conscience plus étendue et mieux spécifiée que dans ...
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... lui dit d'Aubigné . La Force se réveille , demande ce qu'on lui dit : « Eh ... même en Guyenne , tenaient tout le midi . Enfin la reine d'An- gleterre ... lui faire honte de sa condescendance en- vers des rebelles : Pour l'amour de Dieu ...
... lui dit d'Aubigné . La Force se réveille , demande ce qu'on lui dit : « Eh ... même en Guyenne , tenaient tout le midi . Enfin la reine d'An- gleterre ... lui faire honte de sa condescendance en- vers des rebelles : Pour l'amour de Dieu ...
Contents
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Common terms and phrases
Anglais août armée Autrichiens avaient bataille Béarnais Blois Blücher Bonaparte Bourbon C'était calvinistes cardinal Catherine Catherine de Médicis catholique Charles Charles IX château chef civile clergé Colbert Coligny commença comte conseil coup cour d'Orléans déclara défense députés donner duc d'Anjou duc de Guise ennemis Espagnols états finances flotte force française François Ier garde général gouvernement guerre Henri Henri III Henri IV Hollande hommes huguenots jour l'Angleterre l'armée l'Assemblée l'Autriche l'Empereur l'Espagne l'Europe laissa liberté Ligue ligueurs livres Lorraine Louis XIV main maison maréchal Marie de Médicis mars Mayenne Mazarin Médicis menacé ment millions ministre mort n'avait n'était Napoléon nationale Navarre noblesse paix pape parlement passer pays Pays-Bas peuple Philippe politique porte premier prit protestants provinces réformes reine rent reste Révolution Rhin Richelieu royale royaume Russes s'était Saint-Barthélemy Savoie seigneurs seul siècle soldats sorte Sully tiers tiers état tion traité troupes trouva Turenne vaisseaux Versailles victoire voulait
Popular passages
Page 423 - Tout ce que je vois jette les semences d'une révolution qui arrivera immanquablement, et dont je n'aurai pas le plaisir d'être témoin. Les Français arrivent tard à tout, niais enfin ils arrivent. La lumière s'est tellement répandue de proche en proche, qu'on éclatera à la première occasion; et alors ce sera un beau tapage. Les jeunes gens sont bien heureux; ils verront de belles choses.
Page 274 - Je compterais aller à Péronne ou à Saint-Quentin y ramasser tout ce que j'aurais de troupes, faire un dernier effort avec vous, et périr ensemble, ou sauver l'État ; car je ne consentirai jamais à laisser approcher l'ennemi de ma capitale.
Page 461 - Allez dire à votre maître que nous sommes ici par la volonté du peuple et que nous n'en sortirons que par la force des baïonnettes.
Page 190 - Vous devez donc être persuadé que les rois sont seigneurs absolus et ont naturellement la disposition pleine et libre de tous les biens qui sont possédés, aussi bien par les gens d'église que par les séculiers, pour en user en tout temps comme de sages économes, c'est-à-dire suivant le besoin général de leur État.
Page 90 - Je vous ai assemblés pour recevoir vos conseils, pour les croire, pour les suivre, bref, pour me mettre en tutelle entre vos mains, envie qui ne prend guère aux rois, aux barbes grises et aux victorieux. Mais la violente amour que je porte à mes sujets...
Page 640 - Soldats! venez vous ranger sous les drapeaux de votre chef. Son existence ne se compose que de la vôtre ; ses droits ne sont que ceux du peuple et les vôtres ; son intérêt , son honneur, sa gloire , ne sont autres que votre intérêt , votre honneur et votre gloire.
Page 461 - Là, entre des murs sombres et nus, sans appareil, sans siège , les députés font le serment solennel de ne point se séparer avant d'avoir donné une constitution à la France (20 juin).
Page 83 - Ne veux-tu jamais te guérir de cette frénésie, qui, pour un légitime et gracieux roi, t'a engendré cinquante roitelets et cinquante tyrans ? Te voilà aux fers ; te voilà en l'Inquisition d'Espagne, plus intolérable mille fois et plus dure à supporter aux esprits nés libres et francs, comme sont les Français, que les plus cruelles morts dont les Espagnols se sauraient aviser.
Page 407 - certains animaux farouches, des mâles et des femelles, répandus par la campagne, noirs, livides, et tout brûlés du soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible ; ils ont comme une voix articulée, et quand ils se lèvent sur leurs pieds, ils montrent une face humaine; et en effet ils sont des hommes.
Page 422 - ... c'est une vieille machine délabrée qui va encore de l'ancien branle qu'on lui a donné , et qui achèvera de se briser au premier choc.