Revue du Lyonnais, Volume 14L. Boitel., 1841 - Lyon (France) |
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... ame balancée en sa plainte secrète Flotte entre ces deux mots : j'attends et je regrelle . Chaque peuple a rêvé ce merveilleux jardin , Soit qu'avec Jéhovah il ait connu l'Eden , - Soit qu'aux pieds de l'Olympe une lyre sacrée Lui ...
... ame balancée en sa plainte secrète Flotte entre ces deux mots : j'attends et je regrelle . Chaque peuple a rêvé ce merveilleux jardin , Soit qu'avec Jéhovah il ait connu l'Eden , - Soit qu'aux pieds de l'Olympe une lyre sacrée Lui ...
Page 7
... ame y fut déposée ; Et , près d'elle éveillés dans l'herbe de ce sol , Du bord de son berceau mes chants prendront leur vol . Mais au seuil de ton œuvre inscris donc la prière , Et dis en commençant d'où te vient la lumière , O poète ...
... ame y fut déposée ; Et , près d'elle éveillés dans l'herbe de ce sol , Du bord de son berceau mes chants prendront leur vol . Mais au seuil de ton œuvre inscris donc la prière , Et dis en commençant d'où te vient la lumière , O poète ...
Page 12
... ame Une larme d'argent que vous vouliez cacher ; Larme dont s'embellit la candeur des fiancées , Qui filtrait à travers vos paupières baissées , Comme l'eau qui scintille aux mousses du rocher , Larme ! source secrète au dehors épanchée ...
... ame Une larme d'argent que vous vouliez cacher ; Larme dont s'embellit la candeur des fiancées , Qui filtrait à travers vos paupières baissées , Comme l'eau qui scintille aux mousses du rocher , Larme ! source secrète au dehors épanchée ...
Page 14
... ame , oh ! les pleurs de mystère Laisse - les couler devant moi ; Laisse tes beaux yeux les répandre , Va , car je ne veux point surprendre Le secret caché de ton deuil , Chercher le trait qui te déchire , Ni de la 14.
... ame , oh ! les pleurs de mystère Laisse - les couler devant moi ; Laisse tes beaux yeux les répandre , Va , car je ne veux point surprendre Le secret caché de ton deuil , Chercher le trait qui te déchire , Ni de la 14.
Page 15
... ame En silence il nous faut nourrir , Flots grondants , chagrins sans dictame Que rien , hélas ! ne peut guérir ; I Il est des cœurs que la souffrance Semble frapper de préférence Et dont le sort est de gémir Au souffle brûlant de la ...
... ame En silence il nous faut nourrir , Flots grondants , chagrins sans dictame Que rien , hélas ! ne peut guérir ; I Il est des cœurs que la souffrance Semble frapper de préférence Et dont le sort est de gémir Au souffle brûlant de la ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 460 - Je jure et promets à Dieu, sur les saints Évangiles, de garder obéissance et fidélité au gouvernement établi par la constitution de la République française. Je promets aussi de n'avoir aucune intelligence, de n'assister à aucun conseil, de n'entretenir aucune ligue, soit...
Page 174 - C'est vrai que les hannetons sont bêtes ! " me disais-je. Le plus souvent, je le tirais d'affaire en lui présentant le bout de ma plume, et c'est ce qui me conduisit à la plus grande, à la plus heureuse découverte : de telle sorte qu'on pourrait dire avec Berquin qu'une bonne action ne reste jamais sans récompense. Mon hanneton s'était accroché aux barbes de la plume, et je l'y laissais reprendre ses sens, pendant que j'écrivais une ligne, plus attentif à ses faits et gestes qu'à ceux...
Page 174 - Voici 35 en effet le hanneton qui, parvenu à l'extrémité du bec, trempe sa tarière dans l'encre. Vite un feuillet blanc .... c'est l'instant de la plus grande attente ! La tarière arrive sur le papier, dépose l'encre sur sa trace, et voici d'admirables dessins. Quelquefois le hanneton, soit génie, soit que le vitriol inquiète ses organes, relève sa tarière et l'abaisse tout en cheminant; il en résulte une série de 5 points, un travail d'une délicatesse merveilleuse. D'autres fois, changeant...
Page 41 - Car je suis le Seigneur votre Dieu, le Dieu fort et jaloux qui venge l'iniquité des pères sur les enfants jusqu'à la troisième et...
Page 242 - Il ne faut point passer sur cette terre sans y laisser des traces qui recommandent notre mémoire à la postérité. Je vais faire une absence d'un mois; faites en sorte qu'au...
Page 174 - L'animal grimpait péniblement les parois pour retomber bientôt, et recommencer sans cesse et sans fin. Quelquefois il retombait sur le dos : c'est, vous le savez, pour un hanneton un très-grand malheur. Avant de lui porter secours, je contemplais sa longanimité à promener lentement ses six bras par l'espace, dans l'espoir toujours déçu de s'accrocher à un corps qui n'y est pas. — C'est vrai que les hannetons sont bêtes ! me disais-je.
Page 175 - Je dépose l'étonnant animal sur la première page de mon 10 cahier, la tarière bien pourvue d'encre; puis armé d'un brin de paille pour diriger les travaux et barrer les passages, je le force à se promener de telle façon qu'il écrive lui-même mon nom ! Il fallut deux heures ; mais quel chef-d'œuvre ! La plus noble conquête...
Page 242 - Vous avez de jeunes auditeurs, des préfets intelligents, des ingénieurs des ponts-et-chaussées instruits; faites courir tout cela, et ne vous endormez pas dans le travail ordinaire des bureaux.
Page 8 - Grâces! pour verser en lui la poésie. Mais l'artiste pieux, au cœur pur et sans fiel, Peut, à force d'amour, vous arracher au Ciel. Venez donc! vous savez si l'art m'est chose sainte, Si j'ai touché jamais à la lyre sans crainte, Si j'attends rien de moi, si l'orgueil me nourrit... Et dans quel tremblement j'invoque ici l'esprit. O Grâces!
Page 482 - Voulez-vous donc cultiver l'intelligence de votre élève; cultivez les forces qu'elle doit gouverner. Exercez continuellement son corps; rendez-le robuste et sain, pour le rendre sage et raisonnable; qu'il travaille, qu'il agisse, qu'il coure, qu'il crie, qu'il soit toujours en mouvement; qu'il soit homme par la vigueur, et bientôt il le sera par la raison.