Zeitschrift für neusprachlichen Unterricht, Volume 6

Front Cover
Weidmannsche, 1907 - Languages, Modern

From inside the book

Other editions - View all

Common terms and phrases

Popular passages

Page 29 - Il sera créé et organisé une instruction publique, commune à tous les citoyens, gratuite à l'égard des parties d'enseignement indispensables pour tous les hommes, et dont les établissements seront distribués graduellement, dans un rapport combiné avec la division du royaume.
Page 30 - France ; l'histoire, particulièrement celle de la France jusqu'à nos jours ; quelques notions usuelles de droit et d'économie politique ; les éléments des sciences naturelles, physiques et mathématiques ; leurs applications à l'agriculture, à l'hygiène, aux arts industriels; travaux manuels et usage des outils des principaux métiers ; les éléments du dessin, du modelage et de la musique ; la gymnastique ; pour les garçons : les exercices militaires ; pour les filles : les travaux à...
Page 138 - The nappy reeks wi' mantling ream, An' sheds a heart-inspiring steam ; The luntin pipe, an' sneeshin mill, Are handed round wi' right guid will ; The cantie auld folks crackin crouse, The young anes ranting thro' the house,— My heart has been sae fain to see them, That I for joy hae barkit wi
Page 167 - Je consens qu'une femme ait des clartés de tout, Mais je ne lui veux point la passion choquante De se rendre savante afin d'être savante; Et j'aime que souvent aux questions qu'on fait, Elle sache ignorer les choses qu'elle sait; De son étude enfin je veux qu'elle se cache, Et qu'elle ait du savoir sans vouloir qu'on le sache, Sans citer les auteurs, sans dire de grands mots, Et clouer de l'esprit à ses moindres propos.
Page 213 - Stoop then, and wash. — How many ages hence, Shall this our lofty scene be acted over, In states unborn, and accents yet unknown ? Bru.
Page 321 - Cordoue, à Tolède, aux vestiges même de Sparte, et que je refuse la mort avant que je me sois soumis aux cités reines de l'Orient, j'estime peu les brillantes fortunes que me firent et me feront de trop belles étrangères. Bonheurs rapides, irritants, de surface ! Mais à Sainte-Odile, sur la terre de mes morts, je m'engage aux profondeurs. Ici, je cesse d'être un badaud. Quand je ramasse ma raison dans ce cercle, auquel je suis prédestiné, je multiplie mes faibles puissances par des puissances...
Page 134 - For a' that, and a' that, Their dignities, and a' that, The pith o' sense, and pride o' worth, Are higher rank than a' that. Then let us pray that come it may, As come it will for a' that ; That sense and worth, o'er a' the earth, May bear the gree, and a' that. For a
Page 124 - ... dans ses comédies, où l'on peut dire qu'il a joué tout le monde, puisqu'il s'y est joué le premier en plusieurs endroits sur des affaires de sa famille, et qui regardaient ce qui se passait dans son domestique : c'est ce que ses plus particuliers amis ont remarqué bien des fois.
Page 138 - I've notic'd, on our Laird's court-day, An' mony a time my heart's been wae, Poor tenant bodies, scant o' cash, How they maun thole a factor's snash : He'll stamp an' threaten, curse an' swear, He'll apprehend them, poind their gear; While they maun Stan', wi' aspect humble, An' hear it a', an' fear and tremble ! I see how folk live that hae riches : But surely poor folk maun be wretches.
Page 216 - Would have mourn'd longer, — married with my uncle, My father's brother, but no more like my father Than I to Hercules: within a month, Ere yet the salt of most unrighteous tears Had left the flushing in her galled eyes, She married.

Bibliographic information