Mémoires sur la Restauration: ou souvenirs historiques sur cette époque, la révolution de juillet et les premières années du règne de Louis-Phillippe Ier, Volume 5 |
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affaire aimait amis arriva assez Augustin Jordan avaient baron d'Eroles beau Béfort belle Berton Bishopp Blacas Borghèse brigand c'était carbonarisme cardinal Gonsalvi Caron chambre Charles charmante Chateaubriand Châtillon chose Clausel cœur comte conduite conspiration cortès crois Decazes Décésaris demander devait Dieu dire disait dit-il donner douleur duc d'Angoulême duc de Berry duchesse de Berry enfans enfin époque faisait famille Fayette femme Ferdinand VII foule frappé frère général gouvernement heures homme j'ai j'avais jamais jeune jour l'armée l'empereur l'Espagne l'Italie lettre libéraux long-temps lord lord Castlereagh Louis XVIII Louvel Lucien madame la comtesse madame la duchesse madame Récamier malheur maréchal ment Metternich ministre monseigneur Monseigneur de Quélen monsieur mort n'avait n'était Naples Napoléon pape parler passer pensée personne pleurait police pouvait prince princesse Puymaurin raison reine reste rien Rome royale serait seulement Siméon soir surtout terrible tête tion trouve venait Villèle voilà voulait voulut voyant vraiment
Popular passages
Page 203 - dans six jours que je vous verrai! J'ai toujours peur que «vous ne me trouviez pas beau, car les peintres de Paris ne «sont pas comme ceux de Palerme; ils flattent.
Page 240 - Français qui ne se rallient pas sont coupables. Suivant moi , le Français qui est obligé de sortir de France par l'injustice du gouvernement, si ce même Français se met à porter les armes pour les armées étrangères contre la France, alors il est coupable.
Page 8 - Jordan ) formant les rassemblements séditieux , « plus de cent cinquante individus , parmi lesquels ne « se trouvaient pas même les véritables directeurs du « mouvement, étaient traduits en jugement ; près de « cent dix , condamnés à des peines afflictives et infa« mantes, et la plupart supposés chefs par le titre de « leur condamnation elle-même pour un complot évi...
Page 240 - Français qui ont porté des secours aux ennemis. Suivant moi et selon mon système , la mort de Louis XVI était nécessaire, parce que la nation ya consenti....; si c'était une poignée...
Page 234 - La couronne a été apportée par M. de Nantouillet, qui a prononcé ces mots, en s'adressant aux officiers de la maison du prince : « Mgr le duc de Berry, votre maître et le mien, est « mort; officiers, pourvoyez-vous. » Le roi d'armes de France a dit ensuite deux fois à haute voix : « Très haut et très puis« sant prince Charles-Ferdinand d'Artois, duc de Berry, est « mort; priez Dieu pour le repos de son âme.
Page 239 - Je suis accusé d'avoir ôté la vie à un prince. Je suis seul coupable; mais parmi les hommes qui occupent le gouvernement, il y en a d'aussi coupables que moi. Ils ont, suivant moi, reconnu des crimes pour des vertus.
Page 6 - de vous , et j'apportai comme » titre et garantie , mon épée et «mes actions. Si j'avais pu vous » apporter une série d'ancêtres de»puis le temps de Charles Mar» tel, je l'aurais désiré , seulement » par rapport à vous. Pour moi, je «suis également fier des services «que j'ai rendus, et de la gloire «qui m'a élevé. Ces prétentions «se sont accrues par l'adoption du «roi, et le choix unanime d'un
Page 240 - Suivant mon système, lorsque des armées étrangères menacent , les partis dans l'intérieur doivent cesser et se rallier pour combattre, pour faire cause commune contre les ennemis de tous les Français. Les Français qui ne se rallient pas sont coupables. Suivant moi, le Français...
Page 125 - Son fils et lui, répondant à l'appel qui leur avait clé fait par de nombreux patriotes et même par des corps de l'armée, se dévouèrent en cette occasion de manière à courir des dangers dans lesquels ils furent bien servis par leur étoile. Mais il est juste...
Page 202 - J'aurais été aussi heureux qu'il est possible, lorsqu'on n'est pas dans son pays, d'être uni à la famille de Naples, et de tout devoir à des parents aussi bons. Mais les circonstances empêchent-elles cette union ? Ma présence serait-elle incommode? Le traitement qu'on a bien voulu m'accorder est-il une gène dans un moment où les finances du roi sont si cruellement obérées ? Je mets le tout à ses pieds, avec la même reconnaissance : je vous supplie seulement de vouloir bien faire continuer...