Histoire des corporations religieuses en France1846 |
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... liberté , la société a le droit d'éliminer ce qui la blesse ou la met en danger , et qu'elle en use . - Cette attaque et cette défense expriment deux passions hostiles , deux systèmes en lutte : le présent et le passé ; la société ...
... liberté , la société a le droit d'éliminer ce qui la blesse ou la met en danger , et qu'elle en use . - Cette attaque et cette défense expriment deux passions hostiles , deux systèmes en lutte : le présent et le passé ; la société ...
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... liberté fut l'âme des sociétés antiques ; la liberté réelle n'appartient qu'aux temps modernes , la liberté pour tous , l'é- galité devant la loi . Les anciennes républiques étaient des associations de guerriers nobles . Le soldat ...
... liberté fut l'âme des sociétés antiques ; la liberté réelle n'appartient qu'aux temps modernes , la liberté pour tous , l'é- galité devant la loi . Les anciennes républiques étaient des associations de guerriers nobles . Le soldat ...
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... de son sein ; le passé et l'es- prit chrétien réclament la liberté des temps nouveaux , pour défendre et maintenir les as- * sociations religieuses des temps anciens . Une telle situation - 5 Charte de 1814 Art 5, 6,
... de son sein ; le passé et l'es- prit chrétien réclament la liberté des temps nouveaux , pour défendre et maintenir les as- * sociations religieuses des temps anciens . Une telle situation - 5 Charte de 1814 Art 5, 6,
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... libertés de l'E- glise gallicane donnèrent lieu , ne sont autre chose que le résultat de cet antagonisme invinci- ble et perpétuel . Le protestantisme et la réforme s'y rattachent même par d'autres côtés . Si dans les régions ...
... libertés de l'E- glise gallicane donnèrent lieu , ne sont autre chose que le résultat de cet antagonisme invinci- ble et perpétuel . Le protestantisme et la réforme s'y rattachent même par d'autres côtés . Si dans les régions ...
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... liberté individuelle . Là on n'avait pas de muni- cipes . On n'obéissait pas au consul , on n'ad- mettait pas de dictateur ; le jugement des ci- toyens suffisait . L'assemblée des hommes libres statuait sur la guerre et sur la paix . La ...
... liberté individuelle . Là on n'avait pas de muni- cipes . On n'obéissait pas au consul , on n'ad- mettait pas de dictateur ; le jugement des ci- toyens suffisait . L'assemblée des hommes libres statuait sur la guerre et sur la paix . La ...
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Common terms and phrases
abus accusations Ambroise associations avaient Berryer bientôt bulle c'était cardinal catholicisme catholique CHAPITRE chef choses christianisme civilisation Claude Acquaviva clergé colléges compagnie de Jésus concordat congrégations corporations religieuses corps couvens culte décret Dieu dire doctrine ecclésiastiques écoles ennemis esprits établie établissemens évêques féodalité fondateurs fondations force François Ier général génie Grégoire VII hommes Ignace de Loyola institutions jansénistes jésuites l'autorité spirituelle l'Eglise l'esprit chrétien l'Etat l'ordre l'Université législation liberté livre loi romaine lois long-temps Louis IX Louis XIV Loyola lutte magistrats ment messieurs ministres moderne mœurs monastères monastiques monde morale nation ordres religieux pape parlemens personne peuples philosophes politique pontife Portugal pouvoir civil pouvoir spirituel pouvoir temporel prélats présent prêtres prière principe propriétaire propriété protestantisme publique puissance puisse question raison réforme religion révolution révolution française rois Rome Rutebeuf saint savans scandale à Rome sera seulement société Solipses souvent tion triomphe véritable vices XVIIIe siècle
Popular passages
Page 134 - S'el' songe, c'est vision ; S'ele ment, non créez mie '. Se beguine se marie, C'est sa conversacion ; Ses veus, sa prophecion N'est pas à toute sa vie. Cest an pleure et cest an prie Et cest an prandra haron.
Page 133 - N'étaient que jeux au prix de lui. Comme il voit que dans leurs tanières Les souris étaient prisonnières, Qu'elles n'osaient 'sortir, qu'il avait beau chercher Le galant fait le mort, et du haut d'un plancher, Se pend la tête en bas : la bête scélérate A de certains cordons se tenait par la patte.
Page 371 - Je conclurais encore que le clergé n'a pu acquérir des biens qu'à la décharge de l'état , puisqu'en les donnant les fondateurs ont fait ce qu'à leur place, ce qu'à leur défaut la nation aurait dû faire. Je dirais que si les réflexions que je viens de présenter conviennent parfaitement aux biens donnés par des fondateurs, elles doivent s'appliquer à plus forte raison aux biens acquis par les ecclésiastiques eux-mêmes par le produit des biens de l'église...
Page 450 - A dater de la même époque, nul ne pourra être ou demeurer chargé, soit de la direction, soit de l'enseignement, dans une des maisons d'éducation dépendantes de l'Université, ou dans une des écoles secondaires ecclésiastiques , s'il n'a affirmé par écrit qu'il n'appartient à aucune congrégation religieuse non légalement établie en France.
Page 449 - CHARLES, par la grâce de Dieu, roi de France et de Navarre, A tous ceux qui ces présentes verront, salut.
Page 179 - ... égard, puisqu'elles sont la principale cause de votre désastre. Je vous répétois souvent que vous deviez faire plus de cas de mes reproches, quelque amers qu'ils vous parussent, que de ces fades louanges dont vos flatteurs ne cessoient de vous accabler, parce que les blessures que fait celui qui aime valent mieux que les baisers trompeurs de celui qui hait.
Page 365 - Démembrement du domaine de l'état, ou emploi du revenu public et des impôts payés par les peuples, voilà par quelle espèce de biens ils s'acquittèrent d'un grand devoir; et certainement la plus grande partie des biens de l'église n'ont point eu d'autre origine.
Page 467 - ... 2. — Tous les individus de l'un et de l'autre sexe, existant dans les monastères et maisons religieuses, pourront en sortir en faisant leur déclaration devant la municipalité du lieu et il sera pourvu incessamment à leur sort par une pension convenable. Il sera pareillement indiqué des maisons où seront tenus de se retirer les religieux qui ne voudront pas profiter de la disposition du présent.
Page 375 - Qu'ai-je donc , messieurs, voulu montrer? Une seule chose : c'est qu'il est , et qu'il doit être de principe , que toute nation est seule et véritable propriétaire des biens de son clergé. Je ne vous ai demandé que de consacrer ce principe ; parce que ce sont les erreurs ou les vérités qui perdent ou qui sauvent les nations.
Page 291 - La crainte d'une excommunication injuste ne doit jamais nous empêcher de faire notre devoir... On...