Histoire des corporations religieuses en France

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Page 134 - S'el' songe, c'est vision ; S'ele ment, non créez mie '. Se beguine se marie, C'est sa conversacion ; Ses veus, sa prophecion N'est pas à toute sa vie. Cest an pleure et cest an prie Et cest an prandra haron.
Page 133 - N'étaient que jeux au prix de lui. Comme il voit que dans leurs tanières Les souris étaient prisonnières, Qu'elles n'osaient 'sortir, qu'il avait beau chercher Le galant fait le mort, et du haut d'un plancher, Se pend la tête en bas : la bête scélérate A de certains cordons se tenait par la patte.
Page 371 - Je conclurais encore que le clergé n'a pu acquérir des biens qu'à la décharge de l'état , puisqu'en les donnant les fondateurs ont fait ce qu'à leur place, ce qu'à leur défaut la nation aurait dû faire. Je dirais que si les réflexions que je viens de présenter conviennent parfaitement aux biens donnés par des fondateurs, elles doivent s'appliquer à plus forte raison aux biens acquis par les ecclésiastiques eux-mêmes par le produit des biens de l'église...
Page 450 - A dater de la même époque, nul ne pourra être ou demeurer chargé, soit de la direction, soit de l'enseignement, dans une des maisons d'éducation dépendantes de l'Université, ou dans une des écoles secondaires ecclésiastiques , s'il n'a affirmé par écrit qu'il n'appartient à aucune congrégation religieuse non légalement établie en France.
Page 449 - CHARLES, par la grâce de Dieu, roi de France et de Navarre, A tous ceux qui ces présentes verront, salut.
Page 179 - ... égard, puisqu'elles sont la principale cause de votre désastre. Je vous répétois souvent que vous deviez faire plus de cas de mes reproches, quelque amers qu'ils vous parussent, que de ces fades louanges dont vos flatteurs ne cessoient de vous accabler, parce que les blessures que fait celui qui aime valent mieux que les baisers trompeurs de celui qui hait.
Page 365 - Démembrement du domaine de l'état, ou emploi du revenu public et des impôts payés par les peuples, voilà par quelle espèce de biens ils s'acquittèrent d'un grand devoir; et certainement la plus grande partie des biens de l'église n'ont point eu d'autre origine.
Page 467 - ... 2. — Tous les individus de l'un et de l'autre sexe, existant dans les monastères et maisons religieuses, pourront en sortir en faisant leur déclaration devant la municipalité du lieu et il sera pourvu incessamment à leur sort par une pension convenable. Il sera pareillement indiqué des maisons où seront tenus de se retirer les religieux qui ne voudront pas profiter de la disposition du présent.
Page 375 - Qu'ai-je donc , messieurs, voulu montrer? Une seule chose : c'est qu'il est , et qu'il doit être de principe , que toute nation est seule et véritable propriétaire des biens de son clergé. Je ne vous ai demandé que de consacrer ce principe ; parce que ce sont les erreurs ou les vérités qui perdent ou qui sauvent les nations.
Page 291 - La crainte d'une excommunication injuste ne doit jamais nous empêcher de faire notre devoir... On...

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