63 Virot (Gabriel-Auguste-Th.), id.

64 Guerry de Beauregard, ne figure plus.

VIe Promotion, 1829.

65 Saisy de Kerampuil, garde général.
66 De Wavrechin (Louis-J.-G.), inspect.
67 De Suzanne (H.-Éléonor), id.
68 d'Auberry de Fawrember (Henri-Adol-
phe), id.

69 Poyferre de la Cère (Simon-François-
Cyprien), démissionnaire en 1836.
70 Jauffret (Marie-Jean-Joseph-Théophi-
le), garde général.

71 Brescon (Pierre-Aman(1), id.

72 Beaudrillard (Edouard-Joseph), insp.
73 Brunck (Charles-Eusèbe), id.
74 De Vigan (Henri-Antoine-Hippolyte),
sous-inspecteur.

75 De Labutonniere, ne figure plus.
76 De Beaussire (Louis-Nicolas), id.
VII Promotion, 1830.

77 Jacquot (Charles-Jean-Baptiste-Ed.),
inspecteur.

78 Beraud (Jean-François), id.

XIX Promotion, Ier novembre

1842.

251 Baggio, garde général.

252 Daguzan, id,

253 Limosin, id.

254 Vivier, id.

255 Serracin, sorti brigadier sédentaire,
256 Dulac (J.-B.-E.), id.

257 Roussel, garde général, id.

258 Cardot (F.-D.), id.

259 Fleuret, id.

260 Chansiergue-Dubord, id.

261 De Chateau-Bodeau, mort en 1845.

262 Philibert, reçu aussi à l'école polyt. a
opté pour cette dernière.

263 Eynard a quitté l'école.

264 De Boissieu du Tiret, garde général.
265 Delort (L.-M.-J. M.), id.

266 Chibois, id.

267 Brossard de Corbigny, id.

268 Caron (N.-H.-J.), n'a pu produire son
diplome de bachelier es lettres.

269 Soumain, garde général.
270 Normand, sorti brigadier sédentaire.
271 France (M.-B.), a quitte l'école.
272 Quincher, garde général.

XX Promotion, 3 novembre 1843.

273 Van Dendries (Louis-Gabriel), mort en
1844.

274 Dagoury (Paul-Léon), garde général
stagiaire.

275 De Pons (Armand). id.

276 Poivre (Marie-Paul-Auguste-Olympe),
garde général.

277 Mangin (Antoine-Marie-Ferdinand),
garde général stagiaire.

278 Jammes (Germain - Hilaire - Jean Ca-
mille), garde général.

279 Mangin (Ernest), id.
280 Weidmann (Marc-Joseph), reçu aussi
à l'école polytechnique, a opté pour
cette dernière.

281 Dumanoir (Armand-Paul-Auguste -
Edmond), garde général.
282 Bernard (Laurent-François-Edmond),
garde général stagiaire.

283 Palengat (Pierre-Carmel-Émile), id.
284 Bauby (Guillaume-Louis-Leopold-Bien-
Aimé), id.
285 Vincent (Antoine-Armand-Félix), id.
286 Mangin (Jules-Amédée), id.
287 Laurent (Jean-Charles), id.

288 Poinctes de Gevigney (Louis-Charles-
Amedée), id.

289 Riaudiere - Laroche (Réné-Jean-Bap-
tiste Ernest), id.

290 Nicot (Henri-Auguste-Jean-Baptiste ),
id.

991 Charles (Jules-Simon-Louis), garde gen.
292 Madin (Frédéric), garde général stag.
Supplément du 18 novembre 1843.

293 Grillet (François-Hector), garde géné-
ral stagiaire.

XXI Promotion, 9 novembre 1844.
294 Serval (Jean-Charles-Gabriel), encore
à l'école.

295 Stock (Jules Augustin), encore à l'école.
296 De Fremond (Louis-Eudes), disparu en
1845.

297 Fraissignes (Marie-Charles), encore à
l'école.

298 Cornebois (Louis), id.

299 Bagneries (Gustave-Constant-Victor),
id.

300 Chevereau (Joseph-Antoine-Gustave),
id.

301 Archambault de Montfort (Marie-Vic-
tor-Ferdinand), id.

305 Redel (Léon), id.

303 Huron (Charles-Frédéric), id.

304 Clausade (Jules-Joseph-Antoine), id.
305 De Crozé (Joseph-Antoine-Alexandre),
id.

306 Chenu (Pierre-Léon), id.

307 Honoré (Jean-Baptiste-Fleur-Ernest ),
id.

308 Marcilly (Louis-Denis-Arnoult-Fran-
çois-Marie), id.

309 Garnier (Pierre-Auguste), id.
310 Foyer (Pierre-Charles), id.

311 Masson (Henri-Théodore-Auguste),

312 De la Vaivre (Benoit-Pierre-Jules), id.
313 Rameau (Juste-Claude-Réné), id.
314 Goin (Auguste-Désiré), id.

315 Pisseau (Claude Auguste), id.

316 Drone-Lebégue (François - Léon Au
guste), id.

XXIIe Promotion, 1er novembre
1845.

317 Hervé (Marie-Victor-Alfred), encore à
l'école.

318 Cayet (Léon-Théophile), id.
319 Guyot (Léonide), id.

320 Leguest (Charles), id.

321 Laporte (Emile-Paul), id.

322 De la Perche (Henri-Marie-Augustin),
id.

323 Roux (Jacques-César-Louis), id.
324 De Brienne (Alfred-Charles-Claude), id.
325 Larousse-Lavilette (Philibert), id.
326 D'Hombres (Henri-David-Philippe), id.
327 Bouquet de la Grye (Pierre-Amédée),
id.

328 Guillemain (Remi-Victor-Désiré-Léon),
id.

329 Decenciere-Ferrandière (Marie-Anne-
Sainf-Prix), d.

330 Gabe (Jean-Baptiste-François-Henri
id.

331 Gournaud (Antoine-Jean-Baptiste-Adol-
phe), id.

332 Lechauff (Charles-Marie), id.

333 Laurent (André-Laurent-Clément), id.
334 Hamond (Ferdinand - Philippe - For-
tuné), id.

335 De Haussen (Félix), id.
336 Gossin (Pierre), id.

337 Canu (Charles-Louis-Gaston), id.
338 Paillette (Edouard-Sainte-Luce), id.
339 Prouvé (Charles), id.

340 Roppe François-Étienne), id.
341 Colin (Jules), id.

342 Guarry (François-Albert), id.
343 De la Geneste (Louis-Claude), id.
344 Clopin (François-Scipion'), id,

SUR L'ARTICLE SEMIS ET PLANTATIONS DE M. BIERMANS.

Nous donnons, comme nous l'avons annoncé dans les Annales du mois dernier, le dessin des principaux instruments employés dans la culture des semis et plantations de M. Biermans.

La figure No 1 représente la pioche à arracher;

La figure No 2 celle à gazon ;

La figure N° 6 le plantoir-tarière.

En traduisant l'article allemand de M. Heimberger, nous avons cru ne devoir faire aucun changement au texte : nous avons seulement annoté les dispositions que forestièrement nous n'avons pas pu comprendre, et le doute est resté dans notre esprit sur les assertions suivantes.

10 Transplantation des sujets des semis aux rigoles, et des rigoles à la plantation, pendant les mois de juin et juillet.

2 Semis d'automne préférés aux semis de printemps.

3° Semis trop considérables sur une petite étendue de terrain.

4° Évaluation trop minime de l'opération portée à 8 fr. 05, par morgen, et surtout de la dépense d'ouverture de 1000 trous qui ne se trouve portée qu'à 0,74 c. ce qui nous paraît impossible.

Les cultures de M. Biermans occupent tous les forestiers allemands.

Elles ont été le sujet de plusieurs rapports: elles ont donné lieu à des discussions longues et éclairées au congrès forestier de Fribourg du mois de mai dernier ses méthodes sont à l'essai, et le dernier numéro du journal de M. de Wedekind, publié à Darmstadt en 1846 (33e livraison), donne encore plusieurs notices de divers planteurs qui ont employé les moyens indiqués. Nous avons donc cru rendre un hommage mérité à M. Biermans en traduisant le rapport de M. Heimberger : mais nous nous réservons de demander des explications sur ce qui nous a paru impossible, ou sur ce qui est étranger à nos habitudes; nous publierons les réponses aussitôt que nous les aurons reçues.

LEGROS ST.-ANGE.

NOTE SUR UN NOUVEAU CORDON CUBATEUR 1.

M. Dulac, garde général des forêts du domaine privé du roi, et M. Gillet, géomètre forestier, viennent de prendre un brevet pour un petit instrument qu'ils ont nommé Prompt Cubateur-Dendrométrique et qui sert à déterminer le volume des arbres sur pied, ou abattus.

Cet instrument est formé d'un cordon en tissu imperméable de 4 mètres de longueur sur Om 045 de largeur, qui s'enroule, comme les cordons métriques ordinaires, dans une boîte de cuir ou de cuivre.

L'un des côtés, destiné aux estimations des futaies, offre le cubage des arbres sur pied, au 5o et 6o déduit et au 174 sans déduction, d'après la circonférence mesurée à 1 mètre 30 centimètres du sol. On y trouve le volume correspondant à toutes les hauteurs, de mètre en mètre, et à toutes les circonférences, de dix en dix centimètres.

L'autre côté, qui doit servir aux livraisons, présente la solidité au 5o déduit des arbres abattus et mesurés au milieu de la tige. Il donne le volume correspondant à toutes les longueurs, graduées par fraction de 25 centimètres, et à toutes les circonférences, de 5 en 5 centimètres.

La plupart des estimateurs mesurent à 1 mètre 30 centimètres du sol la circonférence des arbres et déterminent la hauteur, soit à l'aide de dendromètres, soit le plus souvent à vue d'œil. Puis il leur reste d'abord à opérer, sur la circonférence, une déduction représentant la différence du pourtour à 1 mètre 30 centimètres du sol au pourtour du milieu de la tige, différence qui équivaut généralement au dixième de la circonférence prise à 1 mètre 30 centimètres du sol; ensuite à obtenir le volume de l'arbre, d'après l'un des modes de cubage du 5e au 6e déduit ou du 174

1

Les Annales ont déjà fait mention d'un cordon destiné au cubage des arbres, de l'invention de M. Bonnet, tome 2, pag. 431.