ptie. Considérations générales, grammaire et lexiqueJ. Cherbuliez, 1862 - French language |
Common terms and phrases
Amyot Anglois apres armes asseuré Atheniens auec auoit aureilles avoient avoit bataille bataille de trente bestes capitaine celuy ceste ceulx Charles chascun chastel cheval chose compaignons conj Corneille costé d'vn deuant dict Dieu disner dist Duc de Saxe ennemis Escoutez estant esté estoient estoit estre eulx Eurybiades eust faict feit fist François Ier Froiss Froissart fust Gargantua Gaule Gaulois gens Grammaire Grandgousier grant Grecs guerre homme i'ay iamais iour iusques jusques langage langue française langue romane latin ledict maistre Malherbe ment mesme messire mieulx monseigneur Monsieur de Guise Montaigne Montluc mort mots moult n'estoit païs Pantagruel parler passé Patelin peuple Picrochole poëtes prép préposition présent Prince pron pronom qu'ilz quoy Rabelais raison respondit Romains Ronsard sainct Seigneur subjonctif substantif Suisses tantost teste Themistocles tost tousjours traict tres trouue veoir verbe vindrent XVIe siècle
Popular passages
Page 80 - RODRIGUE. Parlons bas; écoute. Sais-tu que ce vieillard fut la même vertu , La vaillance et l'honneur de son temps ? le sais-tu ? LE COMTE.
Page 203 - Ce qui fait bruit, se remue ; ce qui se remue, n'est pas gelé ; ce qui n'est pas gelé, est liquide, et ce qui est liquide, plie soubs le faix?
Page 25 - Karlo, et in adju« dha et in cadhuna cosa, si corn om per dreit son fradra « salvar dist, in o quid il mi altresi fazet , et ab Ludher nul « plaid nunquam prindrai , qui , meon vol , cist meon fradre
Page 128 - Amyot, dans le cardinal d'Ossat, dans les ouvrages les plus enjoués, et dans les plus sérieux : il avoit je ne sais quoi de court, de naïf, de hardi, de vif et de passionné. On a retranché, si je ne me trompe, plus de mots qu'on n'en a introduit. D'ailleurs je youdrois n'en perdre aucun, et en acquérir de nouveaux. Je voudrois autoriser tout terme qui nous manque, et qui a un son doux , sans danger d'équivoque.
Page 102 - N'espérons plus, mon âme, aux promesses du monde; Sa lumière est un verre, et sa faveur une onde Que toujours quelque vent empêche de calmer. Quittons ces vanités, lassons-nous de les suivre; C'est Dieu qui nous fait vivre, C'est Dieu qu'il faut aimer. En vain pour satisfaire à nos lâches envies, Nous passons près des rois tout le temps de nos vies A souffrir des mépris et ployer les genoux. Ce qu'ils peuvent n'est...
Page 25 - Maintenant li six message s'agenoillerent à lor piez mult plorant ; et li dux et tuit li autre s'escrierent tuit à une voiz, et...
Page 204 - Sylla1; c'est le desjeuner d'un petit ver, que le cœur et la vie d'un grand et triumphant empereur.
Page 86 - Sebond ce tiltre), c'estoit un très-suffisant homme et ayant plusieurs belles parties. ~L,a première reprehension qu'on fait de son ouvrage, c'est que les Chrétiens se font tort de vouloir appuyer leur créance par des raisons humaines, qui ne se conçoit que par foy et par une inspiration particulière de la grâce divine.
Page 114 - A trahir nos amis , nos ennemis baiser, Faire la cour aux grands , et dans leurs antichambres , Le chapeau dans la main, nous tenir sur nos membres, Sans oser ny cracher, ny toussir, ny s'asseoir, Et nous couchant au jour, leur donner le bon-soir.
Page 212 - L'estimation et le prix d'un homme consiste au cœur et en la volonté : c'est là où gist son vray honneur. La vaillance, c'est la fermeté, non pas des iambes et des bras, mais du courage et de l'âme ; elle ne consiste pas en la valeur de nostre cheval, ny de nos armes, mais en la nostre.