Histoire de France: pendant le dix-huitième siècleDelaunay, 1821 - France |
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... heure de voir le retour de ces jours désastreux . C'est par ce que ce retour annoncé par celui de doctrines funes- tes excite nos alarmes ; c'est parce que l'as- semblée constituante semble en plusieurs points servir de modèle à des ...
... heure de voir le retour de ces jours désastreux . C'est par ce que ce retour annoncé par celui de doctrines funes- tes excite nos alarmes ; c'est parce que l'as- semblée constituante semble en plusieurs points servir de modèle à des ...
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... heure ceux qui en étaient les objets . Les vaincus n'é- taient pas moins superbes que les vainqueurs . On pouvait comparer la noblesse et le clergé à ces grands fleuves du Nouveau - Monde , qui , après avoir parcouru un long espace ...
... heure ceux qui en étaient les objets . Les vaincus n'é- taient pas moins superbes que les vainqueurs . On pouvait comparer la noblesse et le clergé à ces grands fleuves du Nouveau - Monde , qui , après avoir parcouru un long espace ...
Page 62
... heures du soir la porte de la prison est enfoncée à coups de maillets et de haches . Les onze prisonniers délivrés sont conduits en triomphe au Palais - Royal . Une partie de la nuit est employée à leur donner des fêtes ; ensuite on les ...
... heures du soir la porte de la prison est enfoncée à coups de maillets et de haches . Les onze prisonniers délivrés sont conduits en triomphe au Palais - Royal . Une partie de la nuit est employée à leur donner des fêtes ; ensuite on les ...
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... heures du soir ; et d'abord elle fut portée au Palais - Royal . L'annonce des plus odieux attentats , des plus affreuses calamités , de la mort de nos monarques les plus chéris , ne causa jamais dans Paris une consternation aussi ...
... heures du soir ; et d'abord elle fut portée au Palais - Royal . L'annonce des plus odieux attentats , des plus affreuses calamités , de la mort de nos monarques les plus chéris , ne causa jamais dans Paris une consternation aussi ...
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... heures , et nul soldat ne s'était encore pré- senté pour les réprimer . Plusieurs des gar- des - françaises avaient arboré la cocarde verte . Cependant des troupes filaient sur Paris . Le baron de Besenval , avec ses gardes , suisses et ...
... heures , et nul soldat ne s'était encore pré- senté pour les réprimer . Plusieurs des gar- des - françaises avaient arboré la cocarde verte . Cependant des troupes filaient sur Paris . Le baron de Besenval , avec ses gardes , suisses et ...
Common terms and phrases
accusé actes alarmes assemblée attentats avaient Bailly Barnave baron de Besenval Bastille Besenval bientôt brigands c'était cent Champ-de-Mars Charles de Lameth château citoyens clergé cœur comte d'Estaing corps législatif coups cour courage crimes cris déclaration décret délibération départemens députés despotisme devant discours duc d'Orléans esprit états-généraux eût factieux faction d'Orléans femmes fidèle force fureur garde nationale gardes-du-corps gardes-françaises hommes jour juges l'abbé Sièyes l'assem l'assemblée constituante l'assemblée nationale Lafayette Lally Lameth législature liberté lois Louis XVI majesté Malouet marquis de Favras massacres membres menaces ment mille ministres Mounier multitude municipalité n'avait n'était nale nation Necker nobles noblesse nommé ordres paraissait périls peuple politique populaires porte pouvait pouvoir exécutif pouvoir législatif pré présenter président prince publique qu'un régiment de Flandre reine représentans reste révolution royaume s'était sanction sanction royale séance semblait sentimens sera serment seront seul soldats tiers-état tion tribunal tribune trône troupes venait Versailles véto
Popular passages
Page 386 - La loi n'a le droit de défendre que les actions nuisibles à la société. Tout ce qui n'est pas défendu par la loi ne peut être empêché et nul ne peut être contraint à faire ce qu'elle n'ordonne pas.
Page 385 - La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi, l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autres membres de la société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la loi.
Page 393 - Tous les citoyens ont le droit de constater par eux-mêmes ou par leurs représentants la nécessité de la contribution publique, de la consentir librement, d'en suivre l'emploi, et d'en déterminer la quotité, l'assiette, le recouvrement et la durée.
Page 389 - La loi ne doit établir que des peines strictement et évidemment nécessaires, et nul ne peut être puni qu'en vertu d'une loi établie et promulguée antérieurement au délit, et légalement appliquée.
Page 396 - La Constitution garantit l'inviolabilité des propriétés, ou la juste et préalable indemnité de celles dont la nécessité publique, légalement constatée, exigerait le sacrifice. Les biens destinés aux dépenses du culte et à tous services d'utilité publique, appartiennent à la Nation, et sont dans tous les temps à sa disposition.
Page 382 - Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l'oppression.
Page 178 - Et certes, il n'y avait autour de nous ni Catilina, ni périls, ni factions, ni Rome. Mais aujourd'hui la banqueroute, la hideuse banqueroute est là ; elle menace de consumer, vous, vos propriétés, votre honneur... et vous délibérez ! (MIRABEAU, Discours sur la Contribution du quart.) 14° Exercice.
Page 380 - Nationale, considérant que l'ignorance, l'oubli ou le mépris des droits de l'Homme sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des Gouvernements, ont résolu d'exposer, dans une Déclaration solennelle, les droits naturels, inaliénables et sacrés de l'Homme...
Page 394 - Il n'ya plus ni noblesse, ni pairie, ni distinctions héréditaires, ni distinctions d'ordres, ni régime féodal, ni justices patrimoniales, ni aucun des titres, dénominations et prérogatives qui en dérivaient, ni aucun ordre de chevalerie, ni aucune des corporations ou décorations, pour lesquelles on exigeait des preuves de noblesse, ou qui supposaient "des distinctions de naissance, ni aucune autre supériorité, que celle des fonctionnaires publics dans l'exercice de leurs fonctions.
Page 439 - La nation française renonce à entreprendre aucune guerre dans la vue de faire des conquêtes , et n'emploiera jamais ses forces contre la liberté d'aucun peuple.