Histoire des idées morales et politiques en France au 18 siěcle, Volume 3G. Bailliére, 1873 |
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... principe de l'obligation morale ou du devoir , qui en- gendre la vertu ; sans ce double fondement , il n'y a pas de libre démocratie , pas de république possible . J'ai donc dû combattre , sur ces deux points capi- taux , ceux des ...
... principe de l'obligation morale ou du devoir , qui en- gendre la vertu ; sans ce double fondement , il n'y a pas de libre démocratie , pas de république possible . J'ai donc dû combattre , sur ces deux points capi- taux , ceux des ...
Page 20
... principe de ce courage et de cette sérénité ? On ne peut pas dire que ce fût dans la foi chrétienne ; car s'il avait le respect et peut - être même le regret de cette foi , il n'en était pas moins un libre- penseur , et pour ne pas ...
... principe de ce courage et de cette sérénité ? On ne peut pas dire que ce fût dans la foi chrétienne ; car s'il avait le respect et peut - être même le regret de cette foi , il n'en était pas moins un libre- penseur , et pour ne pas ...
Page 26
... principe de la raison suffisante , que la raison conçoit comme la loi nécessaire de tous les phénomènes du monde , ou , dans l'ordre des faits humains , avec l'in- fluence prédominante des penchants , etc. ? Aussi cette question de la ...
... principe de la raison suffisante , que la raison conçoit comme la loi nécessaire de tous les phénomènes du monde , ou , dans l'ordre des faits humains , avec l'in- fluence prédominante des penchants , etc. ? Aussi cette question de la ...
Page 28
... principe de tout ce qui est en nous ( en quoi il a en vérité trop beau jeu ) , nier , sur ce qui fait le vrai point de la question , que la volonté soit la cause de nos actions volontaires . Pour lui , elle n'est qu'un ressort , le ...
... principe de tout ce qui est en nous ( en quoi il a en vérité trop beau jeu ) , nier , sur ce qui fait le vrai point de la question , que la volonté soit la cause de nos actions volontaires . Pour lui , elle n'est qu'un ressort , le ...
Page 30
... principe , le principe ra- tionnel , sur lequel Vauvenargues prétend appuyer son système en dehors de ce système , « nos actions iraient au hasard ; il n'y aurait plus que des caprices ; tout ordre serait renversé . » Nous voyons ...
... principe , le principe ra- tionnel , sur lequel Vauvenargues prétend appuyer son système en dehors de ce système , « nos actions iraient au hasard ; il n'y aurait plus que des caprices ; tout ordre serait renversé . » Nous voyons ...
Common terms and phrases
actions aimer âme assez Boindin bonheur c'était café Procope caractère Catéchisme chap cher chose cœur courage d'ailleurs d'Alembert d'Helvétius despotisme devoir Diderot dire dit-il doctrine doute Duclos écrivains effet esprit galité général gens gloire Helvétius Histoire des idées hommes humain idées morales j'ai Jean-Jacques Rousseau jeune jugement juste justice l'Académie l'amour l'auteur l'histoire l'homme l'humanité l'intérêt personnel leçon lettres liberté libre livre de l'Esprit lois Louis XV lui-même Malheureusement maximes ment mieux Mme d'Houdetot Mme du Châtelet mœurs Montesquieu montre morales et politiques mort n'était NAPOLÉON Ier nargues nature noblesse ouvrage parler Pascal passer passions pensée peuple philosophie du XVIIIe philosophie morale plaisirs poëme préjugés premier principe probité publia qu'un question raconte raison Révolution Révolution française ruines Saint-Lambert sentiment serait seul social société sorte suivant sujet Syrie système tion traité Vauve Vauvenargues venargues vérité vertu vétius vice voilà Volney volonté Voltaire vrai XVIIIe siècle
Popular passages
Page 199 - La nation française renonce à entreprendre aucune guerre dans la vue de faire des conquêtes, et n'emploiera jamais ses forces contre la liberté d'aucun peuple.
Page 24 - Faut-il demander la raison pourquoi des joueurs très habiles se ruinent au jeu pendant que d'autres hommes y font leur fortune ? Ou pourquoi l'on voit des années qui n'ont ni printemps ni automne, où les fruits de l'année sèchent dans leur fleur ? Toutefois, qu'on ne pense pas que Clazomène eût voulu changer sa misère pour la prospérité des hommes faibles : la fortune peut se jouer de la sagesse des gens courageux, mais il ne lui appartient pas de faire fléchir leur courage.
Page 140 - Si la nature, au lieu de mains et de doigts flexibles, eût terminé nos poignets par un pied de cheval, qui doute que les hommes, sans arts, sans habitation, sans défense contre les animaux, tout occupés du soin de pourvoir à leur nourriture et d'éviter les bêtes féroces, ne fussent encore errants dans les forêts comme des troupeaux fugitifs...
Page 163 - Il est donc au fond des âmes un principe inné de justice et de vertu, sur lequel, malgré nos propres maximes, nous jugeons nos actions et celles d'autrui comme bonnes ou mauvaises; et c'est à ce principe que je donne le nom de conscience.
Page 162 - Ame abjecte, c'est ta triste philosophie qui te rend semblable à elles : ou plutôt tu veux en vain t'avilir, ton génie dépose contre tes principes, ton cœur bienfaisant dément ta doctrine, et l'abus même de tes facultés prouve leur excellence en dépit de toi.
Page 61 - On doit se consoler de n'avoir pas les grands talents, comme on se console de n'avoir pas les grandes places: on peut être au-dessus de l'un et de l'autre par le cœur.
Page 14 - ... le plus grand mérite. Le grand nombre des juges décide à la longue d'après les voix du petit nombre éclairé; vous me paraissez, monsieur, fait pour être à la tête de ce petit nombre. Je suis fâché que le parti des armes que vous avez pris vous éloigne d'une ville où je serais à portée de m'éclairer de vos lumières...
Page 12 - J'ai passé, Monseigneur, toute ma jeunesse loin des distractions du monde, pour tâcher de me rendre capable des emplois où j'ai cru que mon caractère m'appelait, et j'osais penser qu'une volonté si laborieuse me mettrait, du moins, au niveau de ceux qui attendent toute leur fortune de leurs intrigues et de leurs plaisirs. Je suis pénétré, Monseigneur...
Page 19 - Pour moi, je pleurais de joie, lorsque je lisais ces Vies ' ; je ne passais point de nuit sans parler à Alcibiade, Agésilas, et autres; j'allais dans la place de Rome, pour haranguer...
Page 45 - Si les passions font plus de fautes que le jugement, c'est par la raison que ceux qui gouvernent font plus de fautes que les hommes privés.