L'Univers: histoire et description de tous les peuples ...F. Didot fréres, 1841 - World history |
From inside the book
Results 1-5 of 100
Page 9
... commerce , et une société d'agriculture et un col- lége communal . Sa population ac- tuelle est d'environ quinze mille ha- bitants . C'est la patrie d'un assez grand nombre d'hommes célèbres , parmi lesquels nous citerons : Guillaume de ...
... commerce , et une société d'agriculture et un col- lége communal . Sa population ac- tuelle est d'environ quinze mille ha- bitants . C'est la patrie d'un assez grand nombre d'hommes célèbres , parmi lesquels nous citerons : Guillaume de ...
Page 63
... commerce français et surtout ceux de la religion catholique . Peu de temps après , il prit à bord de son vaisseau et amena à Brest , le 18 mai 1686 , deux ambas- sadeurs siamois qui devaient flatter la vanité de Louis XIV . L'époque de ...
... commerce français et surtout ceux de la religion catholique . Peu de temps après , il prit à bord de son vaisseau et amena à Brest , le 18 mai 1686 , deux ambas- sadeurs siamois qui devaient flatter la vanité de Louis XIV . L'époque de ...
Page 65
... commerce . Une des particularités du traité de Chaumont , c'est que , bien que l'al- liance fût commune et les conventions identiques , cependant chacune des quatre puissances contracta séparé- ment avec les trois autres . Quelle que ...
... commerce . Une des particularités du traité de Chaumont , c'est que , bien que l'al- liance fût commune et les conventions identiques , cependant chacune des quatre puissances contracta séparé- ment avec les trois autres . Quelle que ...
Page 81
... commerce , s'ils sont destinés seulement à la con- sommation ou à la reproduction , ils ne peuvent donner ouverture à la pres- tation en nature . Art . 4. Le conseil général n'est pas tenu à arrêter uniformément , pour tout le ...
... commerce , s'ils sont destinés seulement à la con- sommation ou à la reproduction , ils ne peuvent donner ouverture à la pres- tation en nature . Art . 4. Le conseil général n'est pas tenu à arrêter uniformément , pour tout le ...
Page 92
... commerce , qu'il abandonna ensuite pour s'attacher au comte Desalleurs , ambassadeur de France près de la Porte . Après la mort de ce dernier , il géra les affaires de la marine et du commerce jusqu'en 1764. De retour en France , en ...
... commerce , qu'il abandonna ensuite pour s'attacher au comte Desalleurs , ambassadeur de France près de la Porte . Après la mort de ce dernier , il géra les affaires de la marine et du commerce jusqu'en 1764. De retour en France , en ...
Common terms and phrases
ancienne août armées assemblées aujourd'hui avaient bataille bientôt bles Bourbon c'était canons cent chargé Charles Charles le Chauve Charles VII charte château chef Chilpéric civile clergé Clovis colonel combat comité de salut comité de sûreté commandant commerce Commune Compagnie composé comte Concile Concile d'Arles Concile de Tours Condé conseil constitution constitution de 1791 Convention Corps législatif d'État décret département députés devait donner ENCYCL enfin ensuite établissements évêques française François Ier Gaule gouvernement guerre Henri Henri IV hommes ibid Jean Debry juillet l'armée l'Assemblée l'Église l'empereur Louis XIV maréchal membres ment ministre mort mourut municipal Napoléon nationale nombre nommé officiers ordonnance pape pendant peuple poëte politique porta pouvoir premier consul prince prince de Condé prit rent reste révolution rois Romains royale royaume s'était saint salut public seigneur seul siècle siége sion suivant sûreté générale tion titre Tribunat tribunaux troupes vicinaux Voyez
Popular passages
Page 32 - La chambre des députés a le droit d'accuser les ministres, et de les traduire devant la chambre des pairs, qui seule a celui de les juger. 56. Ils ne peuvent être accusés que pour fait de trahison ou de concussion. Des lois particulières spécifieront cette nature de délits, et en détermineront la poursuite.
Page 7 - Il n'ya plus ni noblesse, ni pairie, ni distinctions héréditaires, ni distinctions d'ordres, ni régime féodal, ni justices patrimoniales, ni aucun des titres, dénominations et prérogatives qui en dérivaient, ni aucun ordre de chevalerie, ni aucune des corporations ou décorations pour lesquelles on exigeait des preuves de noblesse ou qui supposaient des distinctions de naissance, ni aucune autre supériorité que celle des fonctionnaires publics dans l'exercice de leurs fonctions.
Page 7 - La souveraineté est une, indivisible, inaliénable et imprescriptible; elle appartient à la nation : aucune section du peuple ni aucun individu ne peut s'en attribuer l'exercice.
Page 527 - J'ai fait arrêter et juger le Duc d'Enghien, parce que cela était nécessaire à la sûreté, à l'intérêt, et à l'honneur du peuple Français, lorsque le Comte d'Artois entretenait, de son aveu, soixante assassins à Paris. Dans une semblable circonstance j'agirais encore de même.
Page 513 - Les décrets des synodes étrangers, même ceux des conciles généraux, ne pourront être publiés en France, avant que le gouvernement en ait examiné la forme, leur conformité avec les lois, droits et franchises de la République française, et tout ce qui, dans leur publication, pourrait altérer ou intéresser la tranquillité publique.
Page 32 - Le roi est le chef suprême de l'état; il commande les forces de terre et .de mer, déclare la guerre, fait des traités de paix, d'alliance et de commerce, nomme à tous les emplois d'administration publique...
Page 35 - Aucune contrainte par corps ne peut être exercée contre un membre de la Chambre durant la session et dans les six semaines qui l'auront précédée ou suivie.
Page 7 - Il n'ya plus ni jurandes, ni corporations de professions, arts et métiers. La loi ne reconnaît plus ni vœux religieux, ni aucun autre engagement qui serait contraire aux droits naturels ou à la constitution.
Page 10 - Le Pouvoir exécutif ne peut faire aucune loi, même provisoire, mais seulement des proclamations conformes aux lois, pour en ordonner ou en rappeler l'exécution.
Page 15 - Quarante jours après l'envoi de la loi proposée, si dans la moitié des départements, plus un, le dixième des assemblées primaires de chacun d'eux, régulièrement formées, n'a pas réclamé, le projet est accepté et devient loi.