L'Univers: histoire et description de tous les peuples ...F. Didot fréres, 1841 - World history |
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Page 1
... porter désormais les armes de sa famille ; et Charron , dans son testa- ment , légua tous ses biens au beau- frère de Montaigne . Il mourut d'une attaque d'apoplexie , à Paris , en 1603 . Charron varia souvent dans ses goûts et dans ses ...
... porter désormais les armes de sa famille ; et Charron , dans son testa- ment , légua tous ses biens au beau- frère de Montaigne . Il mourut d'une attaque d'apoplexie , à Paris , en 1603 . Charron varia souvent dans ses goûts et dans ses ...
Page 3
... porter des dépêches aux généraux Verdier et Duranteau , et reprit un poste qui ve- nait d'être forcé par l'ennemi . A l'at- taque du pont de Cabezon , en Espagne , le 14 juin 1808 , Charroy , devenu offi- cier d'état - major , chargea à ...
... porter des dépêches aux généraux Verdier et Duranteau , et reprit un poste qui ve- nait d'être forcé par l'ennemi . A l'at- taque du pont de Cabezon , en Espagne , le 14 juin 1808 , Charroy , devenu offi- cier d'état - major , chargea à ...
Page 7
... porter partout où il voulait . Jean Chartier vit tout le règne de Charles VII et en écrivit l'histoire . Dans ses travaux à l'abbaye de Saint - Denis , il avait achevé la collection des Grandes chroniques de France , vaste compi- lation ...
... porter partout où il voulait . Jean Chartier vit tout le règne de Charles VII et en écrivit l'histoire . Dans ses travaux à l'abbaye de Saint - Denis , il avait achevé la collection des Grandes chroniques de France , vaste compi- lation ...
Page 15
... porter d'épervier sur le poing , « si depuis l'instant où vous m'avez « donné votre cœur , j'ai songé à en « aimer une autre que vous . » Quand un seigneur mourait dans ses terres , on plaçait un chien sous les pieds , ou un oiseau sur ...
... porter d'épervier sur le poing , « si depuis l'instant où vous m'avez « donné votre cœur , j'ai songé à en « aimer une autre que vous . » Quand un seigneur mourait dans ses terres , on plaçait un chien sous les pieds , ou un oiseau sur ...
Page 18
... porter les armes , et de combattre , s'il le fal- lait , pour les défendre ( voyez CHAPE DE SAINT MARTIN et CHAPELAINS ) . Dans les causes où le serment était déféré , les châsses des saints étaient placées au milieu de l'eglise , et l ...
... porter les armes , et de combattre , s'il le fal- lait , pour les défendre ( voyez CHAPE DE SAINT MARTIN et CHAPELAINS ) . Dans les causes où le serment était déféré , les châsses des saints étaient placées au milieu de l'eglise , et l ...
Common terms and phrases
ancienne août armées assemblées aujourd'hui avaient bataille bientôt bles Bourbon c'était canons cent chargé Charles Charles le Chauve Charles VII charte château chef Chilpéric civile clergé Clovis colonel combat comité de salut comité de sûreté commandant commerce Commune Compagnie composé comte Concile Concile d'Arles Concile de Tours Condé conseil constitution constitution de 1791 Convention Corps législatif d'État décret département députés devait donner ENCYCL enfin ensuite établissements évêques française François Ier Gaule gouvernement guerre Henri Henri IV hommes ibid Jean Debry juillet l'armée l'Assemblée l'Église l'empereur Louis XIV maréchal membres ment ministre mort mourut municipal Napoléon nationale nombre nommé officiers ordonnance pape pendant peuple poëte politique porta pouvoir premier consul prince prince de Condé prit rent reste révolution rois Romains royale royaume s'était saint salut public seigneur seul siècle siége sion suivant sûreté générale tion titre Tribunat tribunaux troupes vicinaux Voyez
Popular passages
Page 32 - La chambre des députés a le droit d'accuser les ministres, et de les traduire devant la chambre des pairs, qui seule a celui de les juger. 56. Ils ne peuvent être accusés que pour fait de trahison ou de concussion. Des lois particulières spécifieront cette nature de délits, et en détermineront la poursuite.
Page 7 - Il n'ya plus ni noblesse, ni pairie, ni distinctions héréditaires, ni distinctions d'ordres, ni régime féodal, ni justices patrimoniales, ni aucun des titres, dénominations et prérogatives qui en dérivaient, ni aucun ordre de chevalerie, ni aucune des corporations ou décorations pour lesquelles on exigeait des preuves de noblesse ou qui supposaient des distinctions de naissance, ni aucune autre supériorité que celle des fonctionnaires publics dans l'exercice de leurs fonctions.
Page 7 - La souveraineté est une, indivisible, inaliénable et imprescriptible; elle appartient à la nation : aucune section du peuple ni aucun individu ne peut s'en attribuer l'exercice.
Page 527 - J'ai fait arrêter et juger le Duc d'Enghien, parce que cela était nécessaire à la sûreté, à l'intérêt, et à l'honneur du peuple Français, lorsque le Comte d'Artois entretenait, de son aveu, soixante assassins à Paris. Dans une semblable circonstance j'agirais encore de même.
Page 513 - Les décrets des synodes étrangers, même ceux des conciles généraux, ne pourront être publiés en France, avant que le gouvernement en ait examiné la forme, leur conformité avec les lois, droits et franchises de la République française, et tout ce qui, dans leur publication, pourrait altérer ou intéresser la tranquillité publique.
Page 32 - Le roi est le chef suprême de l'état; il commande les forces de terre et .de mer, déclare la guerre, fait des traités de paix, d'alliance et de commerce, nomme à tous les emplois d'administration publique...
Page 35 - Aucune contrainte par corps ne peut être exercée contre un membre de la Chambre durant la session et dans les six semaines qui l'auront précédée ou suivie.
Page 7 - Il n'ya plus ni jurandes, ni corporations de professions, arts et métiers. La loi ne reconnaît plus ni vœux religieux, ni aucun autre engagement qui serait contraire aux droits naturels ou à la constitution.
Page 10 - Le Pouvoir exécutif ne peut faire aucune loi, même provisoire, mais seulement des proclamations conformes aux lois, pour en ordonner ou en rappeler l'exécution.
Page 15 - Quarante jours après l'envoi de la loi proposée, si dans la moitié des départements, plus un, le dixième des assemblées primaires de chacun d'eux, régulièrement formées, n'a pas réclamé, le projet est accepté et devient loi.