La comtesse de Charny, Volume 10Bureau du Courrier des États-Unis, 1853 - 448 pages |
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... dernier feuilleton d'Ange Pitou dans la Presse , et même au bas de la dernière page du huitième volume publié par notre ami et notre éditeur Alexandre Cadot , qu'il y avait là quelque monstrueuse erreur qui lui serait un jour ou l'au ...
... dernier feuilleton d'Ange Pitou dans la Presse , et même au bas de la dernière page du huitième volume publié par notre ami et notre éditeur Alexandre Cadot , qu'il y avait là quelque monstrueuse erreur qui lui serait un jour ou l'au ...
Page 5
... dernier de tous ; comme on reconnut que leur prose , à part celle de Lamar- tine à tout seigneur , tout honneur - ne valait pas celle des Mystères de Paris , de la Confession générale , de Mauprat , de Monte - Cristo , du Che- valier de ...
... dernier de tous ; comme on reconnut que leur prose , à part celle de Lamar- tine à tout seigneur , tout honneur - ne valait pas celle des Mystères de Paris , de la Confession générale , de Mauprat , de Monte - Cristo , du Che- valier de ...
Page 12
... dernier verre de vin à la santé de votre élève . - Ah , ma foi ! il ne le mérite guère , mais n'im- porte ! A sa santé tout de même . Il but . - - Eh bien ! ça n'était pas assez la reine lui en a fait donner une de cinq cent mille ...
... dernier verre de vin à la santé de votre élève . - Ah , ma foi ! il ne le mérite guère , mais n'im- porte ! A sa santé tout de même . Il but . - - Eh bien ! ça n'était pas assez la reine lui en a fait donner une de cinq cent mille ...
Page 23
... dernier des Valois ; voyez Gaston , le dernier des Médicis ; voyez le cardinal d'York , le dernier des Stuarts ; voyez Charles VI , le dernier des Hapsbourg ! Eh bien , cette cause première de la dégénérescence des races , le mariage ...
... dernier des Valois ; voyez Gaston , le dernier des Médicis ; voyez le cardinal d'York , le dernier des Stuarts ; voyez Charles VI , le dernier des Hapsbourg ! Eh bien , cette cause première de la dégénérescence des races , le mariage ...
Page 32
... dernier bai- ser que lui avait donné Isidore . Gilbert ignorait tout cela ; il alla droit à la chaumière de Pitou , dont il trouva la porte ouverte . Pitou , dans la simplicité de sa vie , ne croyait pas qu'il eût besoin de tenir sa ...
... dernier bai- ser que lui avait donné Isidore . Gilbert ignorait tout cela ; il alla droit à la chaumière de Pitou , dont il trouva la porte ouverte . Pitou , dans la simplicité de sa vie , ne croyait pas qu'il eût besoin de tenir sa ...
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Common terms and phrases
allait Andrée arrivé avaient avez Bailly Barnave Beausire Billot Bouillé Boursonnes bras c'était Cagliostro Catherine chambre Champ-de-Mars cher cheval Choiseul chose cœur comte de Charny comtesse de Charny coup Damas Dauphin demanda devant Dieu dire dit-il docteur Gilbert doute Drouet enfant êtes eût Favras Fayette femme fenêtre frère fusil fût Gamain garde nationale Haramont heures hussards instant Isidore j'ai jeta jeune homme jour l'abbé Fortier l'Assemblée l'avait laisser Louis de Bouillé Louis XVI madame Elisabeth madame Roland mademoiselle main maître Majesté Malden malheur Marie-Antoinette marquis de Favras matin ment messieurs Mirabeau monsieur Montmédy mort n'avait n'était nuit paroles passer pauvre père Pétion peuple Pitou porte poussa regard reine répondit reste rien Robespierre route royale s'arrêta s'écria s'était Sainte-Menehould savez Sébastien semblait sentiment sera seul sire soir sorte soupir Stenay Teisch tête tion trouva Tuileries Varennes venait Versailles voilà voiture voix voulait yeux
Popular passages
Page 217 - Tout -homme étant présumé innocent jusqu'à ce qu'il ait été déclaré coupable, s'il est jugé indispensable de l'arrêter, toute rigueur qui ne serait pas nécessaire pour s'assurer de sa personne doit être sévèrement réprimée par la loi.
Page 218 - La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'homme : tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi.
Page 217 - La loi n'a le droit de défendre que les actions nuisibles à la société. Tout ce qui n'est pas défendu par la loi ne peut être empêché, et nul ne peut être contraint à .faire ce qu'elle n'ordonne pas.
Page 218 - Il n'ya plus ni noblesse, ni pairie, ni distinctions héréditaires, ni distinction d'ordres, ni régime féodal, ni justices patrimoniales, ni aucun des titres, dénominations et prérogatives qui en dérivaient, ni aucun ordre de chevalerie; ni aucune des corporations ou décorations, pour lesquelles on exigeait des preuves de noblesse, ou qui supposaient des distinctions de naissance, ni aucune autre supériorité que celle des fonctionnaires publics dans l'exercice de leurs fonctions.
Page 217 - Nul homme ne peut être accusé, arrêté ni détenu que dans les cas déterminés par la loi, et selon les formes qu'elle a prescrites. Ceux qui sollicitent, expédient, exécutent ou font exécuter des ordres arbitraires doivent être punis ; mais tout citoyen, appelé ou saisi en vertu de la loi, doit obéir à l'instant : il se rend coupable par la résistance.
Page 216 - Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l'oppression.
Page 217 - La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à, autrui : ainsi, l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autrui membres de la société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la loi.
Page 260 - Je jure de veiller avec soin sur les fidèles de la paroisse qui m'est confiée, d'être fidèle à la nation, à la loi et au roi, et de maintenir de tout mon pouvoir la constitution décrétée par l'Assemblée Nationale et acceptée par le roi.
Page 218 - Pour l'entretien de la force publique et pour les dépenses d'administration, une contribution commune est indispensable : elle doit être également répartie entre tous les citoyens, en raison de leurs facultés.
Page 218 - Toute Société dans laquelle la garantie des Droits n'est pas assurée, ni la séparation des pouvoirs déterminée, n'a point de Constitution.