La comtesse de Charny, Volume 10Bureau du Courrier des États-Unis, 1853 - 448 pages |
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... forces , se remit en chemin . Cette foule , qui s'écoulait sur la grande route de Versailles à Paris , pareille à un égoût dé- bordé qui , après un orage , entraîne dans ses flots noirs et boueux les habitants d'un palais qu'il avait ...
... forces , se remit en chemin . Cette foule , qui s'écoulait sur la grande route de Versailles à Paris , pareille à un égoût dé- bordé qui , après un orage , entraîne dans ses flots noirs et boueux les habitants d'un palais qu'il avait ...
Page 18
... force . C'étaient les deux porteurs de têtes , qui , après avoir fait poudrer et friser ces têtes par le mal- heureux Léonard , voulaient se donner l'horrible plaisir de les présenter à la reine , comme ils s'étaient donné - les mêmes ...
... force . C'étaient les deux porteurs de têtes , qui , après avoir fait poudrer et friser ces têtes par le mal- heureux Léonard , voulaient se donner l'horrible plaisir de les présenter à la reine , comme ils s'étaient donné - les mêmes ...
Page 21
... force d'or , corrompu votre geolier ? — J'avais du malheur : j'étais tombé sur un geôlier incorruptible ... forces , car nous au- rons du chemin à faire cette nuit . Pardieu ! le brave homme ne mentait pas : la même nuit , nous crevâmes ...
... force d'or , corrompu votre geolier ? — J'avais du malheur : j'étais tombé sur un geôlier incorruptible ... forces , car nous au- rons du chemin à faire cette nuit . Pardieu ! le brave homme ne mentait pas : la même nuit , nous crevâmes ...
Page 22
... force , Gil- bert . - Je ne suis pas fort , mon ami , dit Gilbert ; je suis honnête , voilà tout . -Hélas ! c'est bien pis ; aussi , voilà pour- quoi je voudrais vous convaincre , Gilbert . Je suis convaincu . Que vous nous empêcherez ...
... force , Gil- bert . - Je ne suis pas fort , mon ami , dit Gilbert ; je suis honnête , voilà tout . -Hélas ! c'est bien pis ; aussi , voilà pour- quoi je voudrais vous convaincre , Gilbert . Je suis convaincu . Que vous nous empêcherez ...
Page 30
... demander à la reine ce qu'elle avait , elle la souleva entre ses bras , et avec une force dont on l'eût crue inca- pable , guidée seulement par les deux bougies il serait , le lendemain , au jour , bien 30 SEMAINE LITTÉRAIRE .
... demander à la reine ce qu'elle avait , elle la souleva entre ses bras , et avec une force dont on l'eût crue inca- pable , guidée seulement par les deux bougies il serait , le lendemain , au jour , bien 30 SEMAINE LITTÉRAIRE .
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Common terms and phrases
allait Andrée arrivé avaient avez Bailly Barnave Beausire Billot Bouillé Boursonnes bras c'était Cagliostro Catherine chambre Champ-de-Mars cher cheval Choiseul chose cœur comte de Charny comtesse de Charny coup Damas Dauphin demanda devant Dieu dire dit-il docteur Gilbert doute Drouet enfant êtes eût Favras Fayette femme fenêtre frère fusil fût Gamain garde nationale Haramont heures hussards instant Isidore j'ai jeta jeune homme jour l'abbé Fortier l'Assemblée l'avait laisser Louis de Bouillé Louis XVI madame Elisabeth madame Roland mademoiselle main maître Majesté Malden malheur Marie-Antoinette marquis de Favras matin ment messieurs Mirabeau monsieur Montmédy mort n'avait n'était nuit paroles passer pauvre père Pétion peuple Pitou porte poussa regard reine répondit reste rien Robespierre route royale s'arrêta s'écria s'était Sainte-Menehould savez Sébastien semblait sentiment sera seul sire soir sorte soupir Stenay Teisch tête tion trouva Tuileries Varennes venait Versailles voilà voiture voix voulait yeux
Popular passages
Page 217 - Tout -homme étant présumé innocent jusqu'à ce qu'il ait été déclaré coupable, s'il est jugé indispensable de l'arrêter, toute rigueur qui ne serait pas nécessaire pour s'assurer de sa personne doit être sévèrement réprimée par la loi.
Page 218 - La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'homme : tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi.
Page 217 - La loi n'a le droit de défendre que les actions nuisibles à la société. Tout ce qui n'est pas défendu par la loi ne peut être empêché, et nul ne peut être contraint à .faire ce qu'elle n'ordonne pas.
Page 218 - Il n'ya plus ni noblesse, ni pairie, ni distinctions héréditaires, ni distinction d'ordres, ni régime féodal, ni justices patrimoniales, ni aucun des titres, dénominations et prérogatives qui en dérivaient, ni aucun ordre de chevalerie; ni aucune des corporations ou décorations, pour lesquelles on exigeait des preuves de noblesse, ou qui supposaient des distinctions de naissance, ni aucune autre supériorité que celle des fonctionnaires publics dans l'exercice de leurs fonctions.
Page 217 - Nul homme ne peut être accusé, arrêté ni détenu que dans les cas déterminés par la loi, et selon les formes qu'elle a prescrites. Ceux qui sollicitent, expédient, exécutent ou font exécuter des ordres arbitraires doivent être punis ; mais tout citoyen, appelé ou saisi en vertu de la loi, doit obéir à l'instant : il se rend coupable par la résistance.
Page 216 - Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l'oppression.
Page 217 - La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à, autrui : ainsi, l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autrui membres de la société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la loi.
Page 260 - Je jure de veiller avec soin sur les fidèles de la paroisse qui m'est confiée, d'être fidèle à la nation, à la loi et au roi, et de maintenir de tout mon pouvoir la constitution décrétée par l'Assemblée Nationale et acceptée par le roi.
Page 218 - Pour l'entretien de la force publique et pour les dépenses d'administration, une contribution commune est indispensable : elle doit être également répartie entre tous les citoyens, en raison de leurs facultés.
Page 218 - Toute Société dans laquelle la garantie des Droits n'est pas assurée, ni la séparation des pouvoirs déterminée, n'a point de Constitution.