La comtesse de Charny, Volume 10Bureau du Courrier des États-Unis, 1853 - 448 pages |
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... mère . Il y a madame Billot , pauvre femme , mère avant tout , et qui , aveugle comme une mère , vient de laisser sa fille sur le chemin par lequel elle a passé , et rentre seule à la ferme , déjà si esseulée elle - même depuis le ...
... mère . Il y a madame Billot , pauvre femme , mère avant tout , et qui , aveugle comme une mère , vient de laisser sa fille sur le chemin par lequel elle a passé , et rentre seule à la ferme , déjà si esseulée elle - même depuis le ...
Page 25
... mère madame ; mais le pauvre enfant avait faim comme un simple enfant de pauvre , et , ayant faim , il appelait sa mère ma- man . - - Non , mon fils , répondit la reine . En ce cas , répondit l'enfant avec un sou- pir , ils doivent ...
... mère madame ; mais le pauvre enfant avait faim comme un simple enfant de pauvre , et , ayant faim , il appelait sa mère ma- man . - - Non , mon fils , répondit la reine . En ce cas , répondit l'enfant avec un sou- pir , ils doivent ...
Page 28
... mère se mirent - elles en quête des ressources qu'elles pouvaient trouver . La reine s'approcha d'abord d'une porte : elle allait l'ouvrir , lorsque , de l'autre côté de cette porte , elle entendit un léger bruit . Elle écouta et ...
... mère se mirent - elles en quête des ressources qu'elles pouvaient trouver . La reine s'approcha d'abord d'une porte : elle allait l'ouvrir , lorsque , de l'autre côté de cette porte , elle entendit un léger bruit . Elle écouta et ...
Page 29
... mère te dit à toi que tu vaux mieux que cela ! Puis , comme le petit dauphin dormait , elle voulut commencer par mettre madame Royale au lit ; mais celle - ci , avec le respect qu'elle avait toujours eu pour sa mère , lui demanda la per ...
... mère te dit à toi que tu vaux mieux que cela ! Puis , comme le petit dauphin dormait , elle voulut commencer par mettre madame Royale au lit ; mais celle - ci , avec le respect qu'elle avait toujours eu pour sa mère , lui demanda la per ...
Page 31
... mère lui apparaissait , et plus d'une fois , en promenade , l'abbé , qui était prévenu de cette espèce de vertige , avait suivi l'enfant des yeux quand il l'avait vu par trop s'enfoncer dans le bois , et , au moment où il craignait de ...
... mère lui apparaissait , et plus d'une fois , en promenade , l'abbé , qui était prévenu de cette espèce de vertige , avait suivi l'enfant des yeux quand il l'avait vu par trop s'enfoncer dans le bois , et , au moment où il craignait de ...
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Common terms and phrases
allait Andrée arrivé avaient avez Bailly Barnave Beausire Billot Bouillé Boursonnes bras c'était Cagliostro Catherine chambre Champ-de-Mars cher cheval Choiseul chose cœur comte de Charny comtesse de Charny coup Damas Dauphin demanda devant Dieu dire dit-il docteur Gilbert doute Drouet enfant êtes eût Favras Fayette femme fenêtre frère fusil fût Gamain garde nationale Haramont heures hussards instant Isidore j'ai jeta jeune homme jour l'abbé Fortier l'Assemblée l'avait laisser Louis de Bouillé Louis XVI madame Elisabeth madame Roland mademoiselle main maître Majesté Malden malheur Marie-Antoinette marquis de Favras matin ment messieurs Mirabeau monsieur Montmédy mort n'avait n'était nuit paroles passer pauvre père Pétion peuple Pitou porte poussa regard reine répondit reste rien Robespierre route royale s'arrêta s'écria s'était Sainte-Menehould savez Sébastien semblait sentiment sera seul sire soir sorte soupir Stenay Teisch tête tion trouva Tuileries Varennes venait Versailles voilà voiture voix voulait yeux
Popular passages
Page 217 - Tout -homme étant présumé innocent jusqu'à ce qu'il ait été déclaré coupable, s'il est jugé indispensable de l'arrêter, toute rigueur qui ne serait pas nécessaire pour s'assurer de sa personne doit être sévèrement réprimée par la loi.
Page 218 - La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'homme : tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi.
Page 217 - La loi n'a le droit de défendre que les actions nuisibles à la société. Tout ce qui n'est pas défendu par la loi ne peut être empêché, et nul ne peut être contraint à .faire ce qu'elle n'ordonne pas.
Page 218 - Il n'ya plus ni noblesse, ni pairie, ni distinctions héréditaires, ni distinction d'ordres, ni régime féodal, ni justices patrimoniales, ni aucun des titres, dénominations et prérogatives qui en dérivaient, ni aucun ordre de chevalerie; ni aucune des corporations ou décorations, pour lesquelles on exigeait des preuves de noblesse, ou qui supposaient des distinctions de naissance, ni aucune autre supériorité que celle des fonctionnaires publics dans l'exercice de leurs fonctions.
Page 217 - Nul homme ne peut être accusé, arrêté ni détenu que dans les cas déterminés par la loi, et selon les formes qu'elle a prescrites. Ceux qui sollicitent, expédient, exécutent ou font exécuter des ordres arbitraires doivent être punis ; mais tout citoyen, appelé ou saisi en vertu de la loi, doit obéir à l'instant : il se rend coupable par la résistance.
Page 216 - Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l'oppression.
Page 217 - La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à, autrui : ainsi, l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autrui membres de la société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la loi.
Page 260 - Je jure de veiller avec soin sur les fidèles de la paroisse qui m'est confiée, d'être fidèle à la nation, à la loi et au roi, et de maintenir de tout mon pouvoir la constitution décrétée par l'Assemblée Nationale et acceptée par le roi.
Page 218 - Pour l'entretien de la force publique et pour les dépenses d'administration, une contribution commune est indispensable : elle doit être également répartie entre tous les citoyens, en raison de leurs facultés.
Page 218 - Toute Société dans laquelle la garantie des Droits n'est pas assurée, ni la séparation des pouvoirs déterminée, n'a point de Constitution.