La comtesse de Charny, Volume 10Bureau du Courrier des États-Unis, 1853 - 448 pages |
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... matin , on les mettait de côté pour les re- lire le soir ; il est vrai que cela faisait des abon- nés aux journaux et des clients aux cabinets littéraires ; il est vrai que cela apprenait l'his- toire aux historiens et au peuple ; il ...
... matin , on les mettait de côté pour les re- lire le soir ; il est vrai que cela faisait des abon- nés aux journaux et des clients aux cabinets littéraires ; il est vrai que cela apprenait l'his- toire aux historiens et au peuple ; il ...
Page 7
... matin , je reçus cette lettre d'Emile de Girardin : • Mon cher ami , Je desire qu'Ange Pitou n'ait plus qu'un demi - volume au lieu de six volumes , que dix chapitres au lieu de cent . Arrangez - vous comme vous voudrez , et cou- pez ...
... matin , je reçus cette lettre d'Emile de Girardin : • Mon cher ami , Je desire qu'Ange Pitou n'ait plus qu'un demi - volume au lieu de six volumes , que dix chapitres au lieu de cent . Arrangez - vous comme vous voudrez , et cou- pez ...
Page 9
... matin , quand je suis parti pour Paris . —- Ah ! ah ! vous êtes parti cette nuit , à trois heures du matin , et vous avez quitté Versailles comme cela , sans curiosité de savoir ce qui allait s'y passer ? -- - Si fait ; j'avais bien ...
... matin , quand je suis parti pour Paris . —- Ah ! ah ! vous êtes parti cette nuit , à trois heures du matin , et vous avez quitté Versailles comme cela , sans curiosité de savoir ce qui allait s'y passer ? -- - Si fait ; j'avais bien ...
Page 27
... matin , heure à laquelle on avait si mal mangé . - Non , sire , dit Andrée . - Ni moi , dit la reine . Ni moi , dit madame Elizabeth . Oh ! vous avez tort , Madame , dit le roi ; du bon état de l'estomac dépend le bon état du reste du ...
... matin , heure à laquelle on avait si mal mangé . - Non , sire , dit Andrée . - Ni moi , dit la reine . Ni moi , dit madame Elizabeth . Oh ! vous avez tort , Madame , dit le roi ; du bon état de l'estomac dépend le bon état du reste du ...
Page 34
... matin à Versailles ! - Ah ! M. de Charny ! ... Sébastien fit un mouvement en avant en ten- dant les deux mains à Isidore . Isidore les lui prit et les lui serra . Eh bien , mon cher enfant , reprit Isidore , раз puisque notre sort est ...
... matin à Versailles ! - Ah ! M. de Charny ! ... Sébastien fit un mouvement en avant en ten- dant les deux mains à Isidore . Isidore les lui prit et les lui serra . Eh bien , mon cher enfant , reprit Isidore , раз puisque notre sort est ...
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Common terms and phrases
allait Andrée arrivé avaient avez Bailly Barnave Beausire Billot Bouillé Boursonnes bras c'était Cagliostro Catherine chambre Champ-de-Mars cher cheval Choiseul chose cœur comte de Charny comtesse de Charny coup Damas Dauphin demanda devant Dieu dire dit-il docteur Gilbert doute Drouet enfant êtes eût Favras Fayette femme fenêtre frère fusil fût Gamain garde nationale Haramont heures hussards instant Isidore j'ai jeta jeune homme jour l'abbé Fortier l'Assemblée l'avait laisser Louis de Bouillé Louis XVI madame Elisabeth madame Roland mademoiselle main maître Majesté Malden malheur Marie-Antoinette marquis de Favras matin ment messieurs Mirabeau monsieur Montmédy mort n'avait n'était nuit paroles passer pauvre père Pétion peuple Pitou porte poussa regard reine répondit reste rien Robespierre route royale s'arrêta s'écria s'était Sainte-Menehould savez Sébastien semblait sentiment sera seul sire soir sorte soupir Stenay Teisch tête tion trouva Tuileries Varennes venait Versailles voilà voiture voix voulait yeux
Popular passages
Page 217 - Tout -homme étant présumé innocent jusqu'à ce qu'il ait été déclaré coupable, s'il est jugé indispensable de l'arrêter, toute rigueur qui ne serait pas nécessaire pour s'assurer de sa personne doit être sévèrement réprimée par la loi.
Page 218 - La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'homme : tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi.
Page 217 - La loi n'a le droit de défendre que les actions nuisibles à la société. Tout ce qui n'est pas défendu par la loi ne peut être empêché, et nul ne peut être contraint à .faire ce qu'elle n'ordonne pas.
Page 218 - Il n'ya plus ni noblesse, ni pairie, ni distinctions héréditaires, ni distinction d'ordres, ni régime féodal, ni justices patrimoniales, ni aucun des titres, dénominations et prérogatives qui en dérivaient, ni aucun ordre de chevalerie; ni aucune des corporations ou décorations, pour lesquelles on exigeait des preuves de noblesse, ou qui supposaient des distinctions de naissance, ni aucune autre supériorité que celle des fonctionnaires publics dans l'exercice de leurs fonctions.
Page 217 - Nul homme ne peut être accusé, arrêté ni détenu que dans les cas déterminés par la loi, et selon les formes qu'elle a prescrites. Ceux qui sollicitent, expédient, exécutent ou font exécuter des ordres arbitraires doivent être punis ; mais tout citoyen, appelé ou saisi en vertu de la loi, doit obéir à l'instant : il se rend coupable par la résistance.
Page 216 - Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l'oppression.
Page 217 - La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à, autrui : ainsi, l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autrui membres de la société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la loi.
Page 260 - Je jure de veiller avec soin sur les fidèles de la paroisse qui m'est confiée, d'être fidèle à la nation, à la loi et au roi, et de maintenir de tout mon pouvoir la constitution décrétée par l'Assemblée Nationale et acceptée par le roi.
Page 218 - Pour l'entretien de la force publique et pour les dépenses d'administration, une contribution commune est indispensable : elle doit être également répartie entre tous les citoyens, en raison de leurs facultés.
Page 218 - Toute Société dans laquelle la garantie des Droits n'est pas assurée, ni la séparation des pouvoirs déterminée, n'a point de Constitution.