La comtesse de Charny, Volume 10Bureau du Courrier des États-Unis, 1853 - 448 pages |
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... venait avec le roi et le dauphin ; Qu'ils étaient partis vers midi à peu près ; Qu'ils s'étaient enfin décidés à habiter le palais des Tuileries ; ce qui faisait qu'à l'avenir Paris ne manquerait probablement plus de pain , puis- qu'il ...
... venait avec le roi et le dauphin ; Qu'ils étaient partis vers midi à peu près ; Qu'ils s'étaient enfin décidés à habiter le palais des Tuileries ; ce qui faisait qu'à l'avenir Paris ne manquerait probablement plus de pain , puis- qu'il ...
Page 11
... venait de prononcer , et faisant retour à la con- versation : : Raison de plus , dit - il un homme comme un autre qu'il faut appeler sire et majesté , moi , je trouve cela humiliant . - Mais c'est qu'il ne fallait pas l'appeler sire ni ...
... venait de prononcer , et faisant retour à la con- versation : : Raison de plus , dit - il un homme comme un autre qu'il faut appeler sire et majesté , moi , je trouve cela humiliant . - Mais c'est qu'il ne fallait pas l'appeler sire ni ...
Page 14
... venait de heurter Gamain . Tiens , M. Léonard ! dit celui - ci . Silence , ne me nomme pas ! s'écria le coif- feur en se précipitant dans le cabaret . Que lui veulent - ils donc ? demanda le ser- rurier à l'inconnu . -- Qui sait ...
... venait de heurter Gamain . Tiens , M. Léonard ! dit celui - ci . Silence , ne me nomme pas ! s'écria le coif- feur en se précipitant dans le cabaret . Que lui veulent - ils donc ? demanda le ser- rurier à l'inconnu . -- Qui sait ...
Page 34
... venait de s'asseoir , découragé , à l'angle des deux routes , moitié pour se reposer , moitié pour réfléchir , lorsqu'il lui sembla entendre dans le lointain , venant du côté de Villers - Cotterêts , le galop d'un ou deux chevaux . Il ...
... venait de s'asseoir , découragé , à l'angle des deux routes , moitié pour se reposer , moitié pour réfléchir , lorsqu'il lui sembla entendre dans le lointain , venant du côté de Villers - Cotterêts , le galop d'un ou deux chevaux . Il ...
Page 36
... venait de retrouver son père , lui rendait plus cher encore ce frère qu'il avait perdu et ne retrouverait pas . En ce moment , la porte s'ouvrit ; un huissier cria : -- M. le vicomte de Charny ? - C'est moi , répondit Isidore en s ...
... venait de retrouver son père , lui rendait plus cher encore ce frère qu'il avait perdu et ne retrouverait pas . En ce moment , la porte s'ouvrit ; un huissier cria : -- M. le vicomte de Charny ? - C'est moi , répondit Isidore en s ...
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Common terms and phrases
allait Andrée arrivé avaient avez Bailly Barnave Beausire Billot Bouillé Boursonnes bras c'était Cagliostro Catherine chambre Champ-de-Mars cher cheval Choiseul chose cœur comte de Charny comtesse de Charny coup Damas Dauphin demanda devant Dieu dire dit-il docteur Gilbert doute Drouet enfant êtes eût Favras Fayette femme fenêtre frère fusil fût Gamain garde nationale Haramont heures hussards instant Isidore j'ai jeta jeune homme jour l'abbé Fortier l'Assemblée l'avait laisser Louis de Bouillé Louis XVI madame Elisabeth madame Roland mademoiselle main maître Majesté Malden malheur Marie-Antoinette marquis de Favras matin ment messieurs Mirabeau monsieur Montmédy mort n'avait n'était nuit paroles passer pauvre père Pétion peuple Pitou porte poussa regard reine répondit reste rien Robespierre route royale s'arrêta s'écria s'était Sainte-Menehould savez Sébastien semblait sentiment sera seul sire soir sorte soupir Stenay Teisch tête tion trouva Tuileries Varennes venait Versailles voilà voiture voix voulait yeux
Popular passages
Page 217 - Tout -homme étant présumé innocent jusqu'à ce qu'il ait été déclaré coupable, s'il est jugé indispensable de l'arrêter, toute rigueur qui ne serait pas nécessaire pour s'assurer de sa personne doit être sévèrement réprimée par la loi.
Page 218 - La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'homme : tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi.
Page 217 - La loi n'a le droit de défendre que les actions nuisibles à la société. Tout ce qui n'est pas défendu par la loi ne peut être empêché, et nul ne peut être contraint à .faire ce qu'elle n'ordonne pas.
Page 218 - Il n'ya plus ni noblesse, ni pairie, ni distinctions héréditaires, ni distinction d'ordres, ni régime féodal, ni justices patrimoniales, ni aucun des titres, dénominations et prérogatives qui en dérivaient, ni aucun ordre de chevalerie; ni aucune des corporations ou décorations, pour lesquelles on exigeait des preuves de noblesse, ou qui supposaient des distinctions de naissance, ni aucune autre supériorité que celle des fonctionnaires publics dans l'exercice de leurs fonctions.
Page 217 - Nul homme ne peut être accusé, arrêté ni détenu que dans les cas déterminés par la loi, et selon les formes qu'elle a prescrites. Ceux qui sollicitent, expédient, exécutent ou font exécuter des ordres arbitraires doivent être punis ; mais tout citoyen, appelé ou saisi en vertu de la loi, doit obéir à l'instant : il se rend coupable par la résistance.
Page 216 - Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l'oppression.
Page 217 - La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à, autrui : ainsi, l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autrui membres de la société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la loi.
Page 260 - Je jure de veiller avec soin sur les fidèles de la paroisse qui m'est confiée, d'être fidèle à la nation, à la loi et au roi, et de maintenir de tout mon pouvoir la constitution décrétée par l'Assemblée Nationale et acceptée par le roi.
Page 218 - Pour l'entretien de la force publique et pour les dépenses d'administration, une contribution commune est indispensable : elle doit être également répartie entre tous les citoyens, en raison de leurs facultés.
Page 218 - Toute Société dans laquelle la garantie des Droits n'est pas assurée, ni la séparation des pouvoirs déterminée, n'a point de Constitution.