paroît très-bien fournie, Ecole des PP. Piaristes à Opol. Ecole de Hrubieszow. Ecole pédagogique pour les maîtres d'écalé et organistes à Pulawa! idue & imp,

ob Toulon tanitulegod bang pan 2134 oh aoilt -inngrol Diocèse de Sandomir, -inga no- 1ɔ sight

97 Ceidiocèse, établi én 1818, comprend le nouveau-pala“ tinat de Sandomir a su cathédrale, son chapitre son séminaire à Sandomir, et une collégiale aved chapitre à Opatow. Il est divisé en 17 doyennés, en 194 églises parois! siales qui comptent 358,6-5 âmes, On y trouve 13 maisons religieuses d'homines et 5 de femmes.

Etablissemens d'instruction publique dans le palaLeovaló eęć, suitinatede Sundomikad noq

- École palatinale de Radom, dirigée par les PP. Piaristes; elle comptoit 389 élèves; sa bibliothèque, son' musée et son cabinet sont bien' fournis. Ecoles de Sandomir et de Wonchock, celle-ci est moins nombreuse que la première. 9b19 ninDiocèse d'Augustow ou de Seyny,

39ese érigé en 1818, comprend le nouveau palatinat d'Augustow. Il a sa cathédrale et son chapitre à Seyny, son séminaire qui est à Tykocin, est dirigé par les Lazaristes ou prêtres des Missions. Il est

en 121 paroisses qui comptent 30 visé en 12 doyennés et

âmes. On y trouve 7 maisons religieuses d'hommes et une de femmes.

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Etablissemens d'instruction publique dans le pata6.611 vildu I obtinat d'Augustow,

Ecoles palatinales de Lomza et de Seyny. La première comptoit 358 élèves et la seconde 201. Ecoles, de Szczyczyn et de Tykocia.

sbp19 Diocèse de Podlachie ou de Janow. sredu

Ce diocèse érigé en 1818, formé de différentes portions du diocèse de Lublin, comprend le nouveau palatinat dePodlachie. Il a, à Janow, sa cathédrale, son chapitre et son séminaire diocésain; à Wengrow, un second seminaire, dirigé par des prêtres séculiers, appelés Commu nistes, Il est divisé en 11, doyennés, et, 113 paroisses qui comptent 207,973 âmes. On y trouve 1 maisons religieuses d'hommes et une de femmes. ang sobuol - Lati shq

Etablissemens d'instruction 'publique dans le palatinat de Podtachie

Ecole palatinale de Lukow, dirigée par les PP. Piaristes; elle comptoit 254 élèves ; elle a des fonds particuliers et est très-bien fournie en livres, instrumens, etc. Ecole de Bialla. Celle de Wengrow, dirigée par les PP. Communistes. Ecole de Siedlice, as nuti 11) while t Diocèse de Culm ou de Chelm, du rit Grec Catholique.

Ce diocèse, qui est très-ancien, s'étend sur les églises que les Grecs-Unis ou Grecs-Catholiques possèdent dans le royaume de Pologne, et dont le plus grand nombre se trouve dans les palatinats de Lublin, de Podlachie et d'Augustow. Il est divisé en 21 doyennés et en 287 paroisses qui comprennent 259,555 âmes. Il a 5 maisons religieuses d'hommes qui suivent lla, règle de Saint Basilé; sa.cathédrale ; son chapitre et son séminaire diocésains sont à Culm ou Chelm.

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--Le royaume de Pologne a', à Rome, deux établissemens, P'un pour les Catholiques Latins et l'autre pour des Catho liques Grecs. Dans celui-ci on fait tous les jours l'office en langue ruske, en langue latiné et en langue italiennë, mine abano

Établissemens religieux des Grecs-Russes.

Les Grees non Unis out dans le royaume de Pologne, six églises paroissialesa Varsovie, à Opatowa Kalicz, à Petrikaw, à Lublin et à Drohyczyn. Ils ont aussi une maison religieuse à Jableczno dans la Poldachie. Ces établissemens sont sous la juridiction de l'évêque de Minsk; ils ne comptent que 342 âmes,ɔi zanesh nga Etablissemens religieux de la Confession d'Augsbourg. 6 mil 59 691 Vol-2 -Les Luthériens ont dans le royaume de Pologne 28 temples, qui forment autant de paroisses, soumises à la juridiction du consistoire de Varsovie. On y compte 200,000 âmes.

9ing Etablissemens religieux des Réformés.ee Les Calvinistes ont en Pologne 9 temples qui sont sous la juridiction du consistoire de Varsovie; ils comptent à peu près 100,000 âmes.

Secte des Philiponowiens.

Cette secte, que l'on ne rencontre que dans le palatinat d'Augustow, y a deux temples auxquels appartiennent 500 familles.

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Etablissemens des Israélites.

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Les Juifs ont en Pologne 274 synagogues; leur population est de 345,000 âmes.

Etablissemens des Mahometans.

Ils ont une mosquée dans le palatinat de Podlachie et une dans celui d'Augustow.

ROME. La fête de la Nativité a été précédée, dans cette capitale, d'une neuvaine indiquée par M. le cardinal-vicaire, sur l'ordre de S. S. Dans toutes les églises, il y a eu des exercices, et le peuple s'y est porté pour gagner les indulgen→ ces accordées par le Souverain Pontife. Chaque soir, le Saint Père s'est rendu à pied dans l'église de Sainte-Marie-desGrâces pour y assister aux exercices, et ý vénérer l'image miraculeuse apportée de la Terre-Sainte en 1586 par l'ermite Rossi, fondateur de ce lieu, et confiée à la garde des Pères de la Pénitence. Le jour de la fête, S. Ș. alla à Sainte-Marie del Popolo, desservie par les Augustins; elle y célébra une messe basse, et tint ensuite grande chapelle, et assista à la messe solennelle célébrée par M. le cardinal Falzacappa.

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BAYEUX. Le clergé du diocèse de Bayeux vient de jouir de l'avantage de deux retraités ecclésiastiques qui ont été données en deux fois pour la plus grande commodité des ecclésiastiques. L'une a eu lieu à Bayeux et l'autre à Lisieux, toutes deux par les soins de M. l'abbé Hilaire-Aubert, missionnaire de France, qui, dès les années précé dentes, s'étoit appliqué à cette œuvre. Plus de 350 prêtres ont profité de ces retraites, et M. l'évêque de Bayeux a voulu présider à l'une et à l'autre, encourager les prêtres par sa présence, et profiter de ces pieuses réunions pour nieux connoître encore tous les membres de son clergé. Le prélat vient de rétablir les conférences ecclésiastiques, telles qu'elles existoient avant la révolution.clk

MEAUX. La retraite pastorale du diocèse s'est ouverte le lundi 15 septembre, dans la chapelle du grand séminaire, par un discours de M. l'évêque, qui a développé tous les motifs qu'ont les pasteurs de redoubler de ferveur et de ranimer leur piété, dans les jours mauvais où se trouve l'Eglise de France. Le pieux prélat étoit toujours à la têtede tous les exercices; il donnoit tous les instans qui n'y étoient point consacrés, à encourager ses prêtres, à éclairer leurs doutes, à écouter leurs demandes. MM. les vicairesgénéraux offroient, comme à l'ordinaire, l'exemple de leur piété et de leur zèle à partager la sollicitude du prélat.. C'étoit un spectacle des plus édifians de voir une centaine de pasteurs de tous les âges rivaliser de ferveur, de recueillement et d'attention. Le silence qui régnoit pendant tout le cours de la retraite, la sérénité et la paix qui s'imprimoient sur tant de fronts vénérables, rappeloient ces antiques réunions de solitaires qui, retraçoient dans l'exil même l'image de l'éternelle patrie. M. l'abbé Villecourt a été encore chargé cette année-ci des instructions du matin du soir et de la conférence. Il a suivi un autre plan que; l'année dernière. Le discours du matin rouloit sur les défauts que doivent principalement éviter les ecclésiastiques, et sur l'édification et le zèle que les fidèles attendent d'eux. Le soir, il a successivement représenté un bon et un mauyais prêtre mourant, subissant son arrêt, favorable ou terrible; entrant dans son éternité, heureuse ou malheureuse. La conférence avoit pour objet la pratique du sacrement de pénitence, les cas réservés et les peines ecclésias→ tiques portées dans le diocèse de Meaux.

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Poissy. Le dimanche 17 août, trente-quatre jeunes détenus ont fait leur première communion dans la chapelle de la maison de correction. M. l'abbé Duhamel, curé de Poissy et aumônier de l'établissement, s'étoit occupé avec zèle de cette bonne œuvre depuis trois mois qu'il occupe ce poste. Secondé par un détenu qui est chargé de la surveillance des enfans, il leur a fait de fréquentes instructions. Ces enfans sont presque tous de 15 à 16 ans; cinq d'entr'eux ont été baptisés avant la cérémonie. M. l'aumônier leur a adressé à tous une pieuse exhortation avant la communion. Ils ont chanté des cantiques, et à la fin de la messe, un d'eux à récité les vœux du baptême. M. l'anmônier a parlé

encore en ce moment, et la cérémonie a fini par la prière pour le Roi. Beaucoup de personnes de la ville ont pris part à cette édifiante cérémonie, et ont été satisfaites de la tenue et du récueillement des jeunes détenus, auxquels les administrateurs de la maison avoient fait préparer un repas.

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✓ PARIS. Il existe encore dans l'arrondissement de Fougères beaucoup de partisans de la PETITE Eglise, connus sous le nom de Louisets, ou anticoncordataires, ils ont pour chef M. l'abbé de Juvigny qui fut condamné il y a un an par le tribunal de police correctionnelle de cette ville, pour avoir béni le mariage de personnes qui ne s'étoient point présentées à la municipalité pour l'acte civil. H n'en con tinua pas moins à prêcher les mêmes doctrines et de réunir ses sectaires chez une veuve Turin. Tous deux furent cités à l'audience du tribunal de police correctionnelle de Fous gères du 25 juin dernier, pour contravention à l'article 294 du Code pénal sur la police des cultes. M. le procureur du roi a requis l'application des peines, en disant que le parti anticoncordataire entretenoit dans les esprits un ferment de discorde. Les prévenus ont fait plaider qu'ils ne devoientcom. pte deleurs opinions qu'a leur conscience, que ces opinions se Fattachoient aux souvenirs de la persécution et de la cause de la royauté, et qu'au surplus on ne pouvoit laisser sans secours religieux, 1000 ou 1200 personnes qui tiennent à ce parti dans l'arrondissement de Fougères. Considérant qu'il est constant que nombre de fois depuis un mois, notamment les 4, 5, 7, 8 et 12 juin, le sieur de Juvigny s'est livré sans autorisation à l'exercice du culte dans son appartement, rue Royale à Fougères, qu'il y a réuni un certain nombre de personnes pour assister à ses exercices clandestins, le tribunal a condamné ledit sieur à 200 francs d'amende et aux dépens; la yeuve Turin renvoyée de pour suites, attendu qu'il n'étoit pas constant qu'elle et voulu favoriser l'abbé de Juvigny dans l'exercice illicite de son culte. Sur l'appel, la Cour royale de Rennes a déchargé de toute peine l'abbé de Juvigny, s'appuyant de l'article 5 de la Charte, qui dit que chacun professe sa religion avec une egale liberté, et déclarant que quand bien même les articles 291 et 294 du Code penal, n'auroient pas été abroges, par cet article de la Charte, il n'étoit pas prouvé que le prévenu fat en contravention à ces articles. Pourvoi du procureur général de Rennes à la Cour de cassation, fondé sur la fausse