Histoire de France: Les Celts. Les Gaulois. Les Francs. Histoire de France durant le moyen âge jusqu'au XVIe siècleLibrairie Internationale, 1871 - France |
Other editions - View all
Common terms and phrases
anciens appelé armée avaient ayant barbares Basques bataille bonne Bretagne Bretons c'était Cambriens cause celtique cent César Charlemagne Charles chef chose cité Clotaire Clovis comte côté d'abord d'autres demanda derniers devait Dieu dire donna doute druides élevé enfants ennemis établis évêques faisaient famille femme fille fils fondé force forme frère Galles Gaule Gaulois génie Germanie Goths Grecs guerre habitants hommes Ibères Irlandais jeta jeune jour juge jusqu'à l'Église l'empereur l'Empire l'histoire l'île laissé langue lieu livre Louis lui-même mains marche Martin ment Midi mille monde mort n'avait n'était nation Neustrie nombre Nord parle passer pays pendant Pepin père personne peuple pierre place porte pouvait premier présent prêtres pris provinces qu'un race rapport règne reste rien rois Romains Rome royaume s'était s'il saint Saxons semble seul siècle sorte souvent suivante terre Tours tradition tribus trouve tuer venir ville voulait voyant
Popular passages
Page ii - La vie a une condition souveraine et bien exigeante. Elle n'est véritablement la vie qu'autant qu'elle est complète. Ses organes sont tous solidaires et ils n'agissent que d'ensemble. Nos fonctions se lient, se supposent l'une l'autre. Qu'une seule manque, et rien ne vit plus. On croyait autrefois pouvoir par le scalpel isoler, suivre à part chacun de nos systèmes ; cela ne se peut pas, car tout influe sur tout.
Page 228 - Pro Deo amur et pro Christian poblo et nostro commun salvament, d'ist di in avant, in quant Deus savir et podir me dunat, si salvarai eo cist meon fradre Karlo et in...
Page 300 - Quotiens. bella non ineunt, non multum venatibus, plus Per otium transigunt, dediti somno ciboque, fortissimus qu's4ue ac bellicosissimus nihil agens, delegata domus et penatium et agrorum cura feminis senibusque et infirmissimo cuique ex familia: ipsi hebent, mira diversitate naturae, cum idem homines sic ament inertiam et oderint quietem.
Page 230 - Meuse, jusqu'à la source de la Meuse , de là jusqu'à la source de la Saône , le long de la Saône jusqu'à son confluent avec le Rhône, et le long du Rhône jusqu'à la mer, serait offert à Lothaire comme le tiers du royaume , et qu'il posséderait tous les évêchés , toutes les abbayes , tous les comtés et tous les domaines royaux de ces régions en deçà des Alpes, à l'exception de '.... On décida que, s'il rci'usait, les armes décideraient de ce qui était dû à chacun.
Page 44 - L'alouette gauloise, conduite par l'aigle romaine, prit Rome pour la seconde fois, et s'associa aux triomphes de la guerre civile. La Gaule garda, pour consolation de sa liberté, l'épée que César avait perdue dans la dernière guerre. Les soldats romains voulaient l'arracher du temple où les Gaulois l'avaient suspendue : Laissez-la, dit César en souriant, elle est sacrée.
Page 128 - Or. donne qu'ils vivent les cheveux coupés, ou qu'ils soient • égorgés. » Consternée à ce message, et en même temps émue d'une grande colère en voyant cette épée nue et ces ciseaux, elle se laissa transporter par son indignation, et ne sachant, dans sa douleur, ce qu'elle disait, elle répondit imprudemment : « Si on ne les élève pas sur le trône, j'aime mieux les voir morts que tondus.
Page 29 - Ils fabriquaient aussi des talismans, comme les chapelets d'ambre que les guerriers portaient sur eux dans les batailles, et qu'on retrouve souvent à leur côté dans les tombeaux. Mais nul talisman n'égalait l'œuf de serpent l.
Page vi - ... tire. Ainsi va la vie historique, ainsi va chaque peuple se faisant, s'engendrant, broyant, amalgamant des éléments, qui y restent sans doute à l'état obscur et confus, mais sont bien peu de chose relativement à ce que fit le long travail de la grande âme. La France a fait la France, et l'élément fatal de race m'y semble secondaire.
Page 63 - Lactance de cette lutte meurtrière entre le fisc affamé et la population impuissante qui pouvait souffrir, mourir, mais non payer. « Tellement grande était devenue la multitude de ceux qui recevaient en comparaison du nombre de ceux qui devaient payer, telle l'énormité des impôts, que les forces manquaient aux laboureurs, les champs devenaient déserts, et les cultures se changeaient en forêts Je ne sais combien d'emplois et d'employés fondirent sur chaque province, sur chaque ville, Magistri,...
Page 119 - Mais jamais leurs faibles bandes n'auraient détruit les Goths, humilié les Bourguignons, repoussé les Allemands, si partout ils n'eussent trouvé dans le clergé un ardent auxiliaire, qui les guida, éclaira leur marche, leur gagna d'avance les populations.