Le consulat et l'empire ou histoire de Napoléon Bonaparte, de 1799 à 1815, Volume 2 |
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... lois . Chargé de célébrer la fondation de la République , Lucien Bonaparte se montra , dans son discours , digne de remplir cette honorable tâche : « La France monarchie n'est plus , dit l'orateur , et tous les trô- nes se liguent pour ...
... lois . Chargé de célébrer la fondation de la République , Lucien Bonaparte se montra , dans son discours , digne de remplir cette honorable tâche : « La France monarchie n'est plus , dit l'orateur , et tous les trô- nes se liguent pour ...
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... lois . Le premier Consul répondit : << Je remercie le tribunat de cette preuve d'affection . Je n'ai point réellement couru de dangers . Les sept ou huit malheureux , pour avoir la volonté , n'avaient pas le pouvoir de commettre les ...
... lois . Le premier Consul répondit : << Je remercie le tribunat de cette preuve d'affection . Je n'ai point réellement couru de dangers . Les sept ou huit malheureux , pour avoir la volonté , n'avaient pas le pouvoir de commettre les ...
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... lois de la République , à l'égard des indi- vidus dénommés dans le rapport , et de leurs fau teurs et complices . Des adresses des magistrats et des citoyens arri- vèrent de toutes les parties de la France , demandant punition ...
... lois de la République , à l'égard des indi- vidus dénommés dans le rapport , et de leurs fau teurs et complices . Des adresses des magistrats et des citoyens arri- vèrent de toutes les parties de la France , demandant punition ...
Page 27
... lois sur l'émigration , firent comme le chien de la fable : ne pouvant plus ou ne voulant plus les défendre , ils aidèrent à les renverser , et voulurent avoir du moins leur part du mérite que se faisait le gouver- CONSULAT , AN IX . 27 ...
... lois sur l'émigration , firent comme le chien de la fable : ne pouvant plus ou ne voulant plus les défendre , ils aidèrent à les renverser , et voulurent avoir du moins leur part du mérite que se faisait le gouver- CONSULAT , AN IX . 27 ...
Page 28
... lois du gouvernement consulaire . Une circonstance particulière vint encore favori- ser ce mouvement . Depuis le traité de Lunéville , l'Autriche avait abandonné à son mauvais sort le corps des 28 HISTOIRE DE NAPOLÉON BONAPARTE .
... lois du gouvernement consulaire . Une circonstance particulière vint encore favori- ser ce mouvement . Depuis le traité de Lunéville , l'Autriche avait abandonné à son mauvais sort le corps des 28 HISTOIRE DE NAPOLÉON BONAPARTE .
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Common terms and phrases
Anglais armée armistice arrêté avaient bataille d'Héliopolis bâtimens Bonaparte brumaire c'était cent Cerracchi Cisalpine citoyens civil clergé commandement concordat conseil d'état constitution constitutionnels convention corps Corps-Législatif cour de Rome Demerary Demerville départemens devait discussion donner Égypte émigrés ennemis envoya établi eût évêques Fouché française fructidor Gantheaume germinal gloire gouver guerre Haute-Égypte Hawkesbury Joseph Bonaparte Kaire Kléber l'an vii l'Angleterre l'armée d'Orient l'église l'Égypte l'empereur l'Europe légat Législatif liberté lois lord Hawkesbury Lucien Lucien Bonaparte Lunéville Malte Mamlouks mée Menou ment messidor mier Consul militaires mille hommes ministre Moreau Murat n'avait n'était nation nationale négociations nivose ordonna pape patrie Paul Ier peuple pluviose police porter pouvait préfet premier Consul prêtres prince principes projet de loi public publique puissance religion République République batave reste révolution Reynier Russie s'était sénat serait seul système thermidor tion Toscane traité de Lunéville traité de paix tribunat troupes vaisseaux vendémiaire ventose voulait
Popular passages
Page 187 - Sainteté déclarera aux titulaires des évêchés français qu'elle attend d'eux, avec une ferme confiance, pour le bien de la paix et de l'unité, toute espèce de sacrifices, même celui de leurs sièges. D'après cette exhortation...
Page 127 - Ils sont là douze ou quinze métaphysiciens bons à jeter à l'eau. C'est une vermine que j'ai sur mes habits, mais je la secouerai. Il ne faut pas croire que je me laisserai attaquer comme Louis XVI. Je ne le souffrirai pas...
Page 172 - Joseph Spina, archevêque de Corinthe, prélat domestique de Sa Sainteté, assistant du trône pontifical, et le père Caselli, théologien consultant de Sa Sainteté, pareillement munis de pleins pouvoirs en bonne et due forme ; Lesquels, après l'échange des pleins pouvoirs respectifs, ont arrêté la convention suivante...
Page 379 - Cet homme si estimable, dit le journal officiel , et auteur de très bons ouvrages, âgé de soixante -dix -huit ans, et tombé dans l'enfance , est en proie à une espèce de délire réacteur que nourrit et entretient chez lui le caquetage de quelques coteries. A son...
Page 324 - Unissons aux efforts du gouvernement les efforts des citoyens pour enrichir, pour féconder toutes les parties de notre vaste territoire. Soyons le lien et l'exemple des peuples qui nous environnent. Que l'étranger, qu'un intérêt de curiosité attirera parmi nous, s'y arrête, attaché par le charme de nos mœurs, par le spectacle de notre union, de notre industrie et par l'attrait de nos jouissances ; qu'il s'en retourne dans sa patrie plus ami du nom français, plus instruit et meilleur.
Page 325 - S'il reste encore des hommes que tourmente le besoin de haïr leurs concitoyens, ou qu'aigrisse le souvenir de leurs pertes, d'immenses contrées les attendent; qu'ils osent aller y chercher des richesses, et l'oubli de leurs infortunes et de leurs peines. Les regards de la patrie les y suivront; elle secondera leur courage: un jour, heureux de leurs travaux, ils reviendront dans son sein, dignes d'être citoyens d'un état libre, et corrigés du délire des persécutions.
Page 24 - Toutes conspirations et complots tendant » à troubler l'État par une guerre civile en » armant les citoyens les uns contre les » autres, ou contre l'exercice de l'autorité » légitime, seront punis de mort.
Page 448 - On ne peut s'empêcher de reconnaître dans vos destinées la main de cette Providence qui vous avait marqué de loin pour l'accomplissement de ses desseins prodigieux. Les peuples vous regardent; la France, agrandie par vos victoires, a placé en vous son espérance , depuis que vous appuyez sur la religion les bases de l'État et de vos prospérités. Continuez à tendre une main secourable à trente millions de chrétiens, qui prient pour vous au pied des autels que vous leur avez rendus.
Page 476 - On appelle cela des hochets; eh bien! c'est avec des hochets que l'on mène les hommes. Je ne dirais pas cela à une tribune ; mais dans un conseil de sages et d'hommes d'état, on doit tout dire. Je ne crois pas que le peuple français aime la liberté, l'égalité; les Français ne sont point changés par dix ans de révolution; ils sont ce qu'étaient les Gaulois , fiers et légers.
Page 39 - Consul, ni nobles, ni chouans, ni prêtres. Ce sont des septembriseurs, des scélérats couverts de crimes , qui sont en conspiration permanente, en révolte ouverte, en bataillon carré contre tous les gouvernemens qui se sont succédés.