Revue des deux mondes, Volume 22Au Bureau de la Revue des deux mondes, 1904 - France |
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... pour se rendre à cette maison où elle ne se heurterait plus ni à Lucien ni à cette fille , afin d'interroger les gens de service ? ... ( 1 ) Voyez la Revue des 1 et 15 mai , 1 et 15 juin . Écrirait - elle au notaire , à ce M. Mounier.
... pour se rendre à cette maison où elle ne se heurterait plus ni à Lucien ni à cette fille , afin d'interroger les gens de service ? ... ( 1 ) Voyez la Revue des 1 et 15 mai , 1 et 15 juin . Écrirait - elle au notaire , à ce M. Mounier.
Page 15
... gens qui se connais- sent comme nous nous connaissons , reprit Darras . Le regard suffit . Je l'aurais mieux aimé tel que nous l'avons vu ici , violent , injuste , furieux . Mais j'existais pour lui . Toute sa colère , c'était son ...
... gens qui se connais- sent comme nous nous connaissons , reprit Darras . Le regard suffit . Je l'aurais mieux aimé tel que nous l'avons vu ici , violent , injuste , furieux . Mais j'existais pour lui . Toute sa colère , c'était son ...
Page 38
... gens avaient réalisé le projet annoncé par le fils à la mère . Cette froide nuit de printemps , qu'une bruine commençante glaçait encore , était sans doute la nuit de noces des deux amoureux que Darras envia soudain de tout son pauvre ...
... gens avaient réalisé le projet annoncé par le fils à la mère . Cette froide nuit de printemps , qu'une bruine commençante glaçait encore , était sans doute la nuit de noces des deux amoureux que Darras envia soudain de tout son pauvre ...
Page 47
... gens de loi . - Vous ne la lui laisseriez pas maintenant , jusqu'à ce que l'enfant ait fait sa première communion ? Elle ne la ferait pas ! dit Darras . J'ai déjà répondu là - dessus à Me Darras . Reprendre ma fille , pour moi , cela ne ...
... gens de loi . - Vous ne la lui laisseriez pas maintenant , jusqu'à ce que l'enfant ait fait sa première communion ? Elle ne la ferait pas ! dit Darras . J'ai déjà répondu là - dessus à Me Darras . Reprendre ma fille , pour moi , cela ne ...
Page 92
... gens d'Ulster et de Connaught s'empressent par deux voies différentes au rendez- vous , mais ayant cette fois à leur tête les princes Ailill et Con- chobar . Pour accueillir dignement ces visiteurs d'importance , Mac - Dathô ...
... gens d'Ulster et de Connaught s'empressent par deux voies différentes au rendez- vous , mais ayant cette fois à leur tête les princes Ailill et Con- chobar . Pour accueillir dignement ces visiteurs d'importance , Mac - Dathô ...
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Common terms and phrases
Alexandre Aligi alliés Arlette assez aurait avaient Banque beau Bossuet Bourdaloue c'était Caulaincourt chambre cher Olivier chère Madame Chine choses cœur Colette Confédération du Rhin conseil d'Erminge Darras demande devant dire donner duché de Varsovie Edgar Combes enfans eût Évian Eysins femme filature fille fils force Françoise fût général gouvernement greffe guerre Guivre Hansemann heures Holder hommes j'ai jamais Japon jeune jour Juste Olivier l'Angleterre l'autre l'Autriche l'empereur Lagrave laisser Lèbre lettre Lorenzino Louis XIV main Mandchourie mari mariage Mascuraud ment Metternich Mila millions ministre Mme d'Angenne Mme de Fierbois monde morale n'avait n'en n'était Napoléon Narcey négociation ouvriers paix parler passé Pékin pensée père personne peut-être politique Port-Arthur premier presque prince princesse Prusse puissance qu'un raison reste Revue Rhin rien roman Russie s'est s'était s'il Sainte-Beuve semble sentiment serait sermon service seulement sociale sorte sous-officiers Spencer théophilanthropes tion Titien trouve Vinet voilà vrai
Popular passages
Page 729 - Montre-toi comme il faut, que je te voie, avec ton amour de ce qui est respectable, ta connaissance de ce qui se fait et de ce qui ne se fait pas, et cette certitude si insupportable qui est la tienne, et ton cœur médiocre, médiocre.
Page 562 - Nous ne voyons jamais qu'un seul côté des choses; L'autre plonge en la nuit d'un mystère effrayant. L'homme subit le joug sans connaître les causes. Tout ce qu'il voit est court , inutile et fuyant.
Page 392 - L'Amitié vint à mon secours ; Elle était peut-être aussi tendre, Mais moins vive que les Amours. Touché de sa beauté nouvelle, Et de sa lumière éclairé, Je la suivis ; mais je pleurai De ne pouvoir plus suivre qu'elle.
Page 575 - Que les souverains coalisés étaient unanimement d'accord sur la puissance et la prépondérance que la France doit conserver dans son intégrité, et en se renfermant dans ses limites naturelles, qui sont le Rhin, les Alpes et les Pyrénées...
Page 856 - Perdait-on un chiffon , avait-on un amant , Un mari vivant trop , au gré de son épouse , Une mère fâcheuse , une femme jalouse ; Chez la devineuse ' on courait Pour se faire annoncer ce que l'on désirait.
Page 582 - Les puissances alliées ne font point la guerre ' à la France ; mais à cette prépondérance hautement annoncée , à cette prépondérance que, pour le malheur de l'Europe et de la France, l'empereur Napoléon a trop long-temps exercée hors des limites de son empire.
Page 544 - ... dans la disposition d'une volonté contrainte, la bouche muette par la crainte et le respect d'un père qu'elle a toujours honoré. Au milieu d'une cérémonie, brillante pour les spectateurs qui y assistent, mais funèbre pour la personne qui en est le sujet, on la présente au prêtre, et l'on en fait un sacrifice qui, bien loin de glorifier Dieu et de lui plaire, devient exécrable à ses yeux, et provoque sa vengeance.
Page 954 - Sa Sainteté, pour le bien de la paix et l'heureux rétablissement de la religion catholique, déclare que ni elle ni ses successeurs ne troubleront, en aucune manière, les acquéreurs des biens ecclésiastiques aliénés, et qu'en conséquence la propriété de ces mêmes biens, les droits et revenus y attachés, demeureront incommutables entre leurs mains, ou celles de leurs ayants cause.
Page 854 - Nous entendîmes, après dîner, le sermon du Bourdaloue, qui frappe toujours comme un sourd, disant des vérités à bride abattue, parlant contre l'adultère à tort et à travers : sauve qui peut, il va toujours son chemin.
Page 535 - ... des inimitiés dont on ne revient jamais ; on est sévère, mais en même temps on entretient, des partis contre ceux qu'on ne se croit pas favorables, on leur suscite des affaires, on les poursuit avec chaleur, on ne leur passe rien, et, tout ce qui vient de leur part, on le rend odieux par les...