Revue des deux mondes, Volume 22Au Bureau de la Revue des deux mondes, 1904 - France |
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... n'était pas le veuvage qui l'avait affranchie , c'était le divorce . Gabrielle , au contraire , venait , à ses propres yeux , de devenir libre par le veuvage . Elle était sortie de cette équivoque du divorce dont elle avait tant ...
... n'était pas le veuvage qui l'avait affranchie , c'était le divorce . Gabrielle , au contraire , venait , à ses propres yeux , de devenir libre par le veuvage . Elle était sortie de cette équivoque du divorce dont elle avait tant ...
Page 16
... n'était plus << son petit . » Malgré lui peut - être , il était son juge . Elle lut cela sur son visage amaigri , dans ses prunelles brillantes , sur sa bouche frémissante avant même qu'il n'eût parlé , et du même coup cette question de ...
... n'était plus << son petit . » Malgré lui peut - être , il était son juge . Elle lut cela sur son visage amaigri , dans ses prunelles brillantes , sur sa bouche frémissante avant même qu'il n'eût parlé , et du même coup cette question de ...
Page 17
... n'était pas un mauvais homme . Lui pardonnes - tu ? Dis - moi que tu lui pardonnes . J'ai besoin que tu me le dises ! -- Je lui pardonne , répondit simplement Gabrielle , que son fils interrompit aussitôt , comme s'il redoutait toute ...
... n'était pas un mauvais homme . Lui pardonnes - tu ? Dis - moi que tu lui pardonnes . J'ai besoin que tu me le dises ! -- Je lui pardonne , répondit simplement Gabrielle , que son fils interrompit aussitôt , comme s'il redoutait toute ...
Page 20
... n'était pas ta faute si je souffrais que tu ne fusses pas à moi davantage . C'étaient des riens . En veux - tu un exemple ? Tu ne recevais pas une lettre de moi sans la lui mon- trer . J'en ai tant déchiré , au régiment , à cause de ...
... n'était pas ta faute si je souffrais que tu ne fusses pas à moi davantage . C'étaient des riens . En veux - tu un exemple ? Tu ne recevais pas une lettre de moi sans la lui mon- trer . J'en ai tant déchiré , au régiment , à cause de ...
Page 29
... n'était pas à moi seul que je pensais en protestant contre ce blasphème , c'était à Jeanne . C'est elle encore à qui je pense en ce moment . Nous marier à l'église , maintenant , après que nous avons vécu ensemble tant d'années , mariés ...
... n'était pas à moi seul que je pensais en protestant contre ce blasphème , c'était à Jeanne . C'est elle encore à qui je pense en ce moment . Nous marier à l'église , maintenant , après que nous avons vécu ensemble tant d'années , mariés ...
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Common terms and phrases
Alexandre Aligi alliés Arlette assez aurait avaient Banque beau Bossuet Bourdaloue c'était Caulaincourt chambre cher Olivier chère Madame Chine choses cœur Colette Confédération du Rhin conseil d'Erminge Darras demande devant dire donner duché de Varsovie Edgar Combes enfans eût Évian Eysins femme filature fille fils force Françoise fût général gouvernement greffe guerre Guivre Hansemann heures Holder hommes j'ai jamais Japon jeune jour Juste Olivier l'Angleterre l'autre l'Autriche l'empereur Lagrave laisser Lèbre lettre Lorenzino Louis XIV main Mandchourie mari mariage Mascuraud ment Metternich Mila millions ministre Mme d'Angenne Mme de Fierbois monde morale n'avait n'en n'était Napoléon Narcey négociation ouvriers paix parler passé Pékin pensée père personne peut-être politique Port-Arthur premier presque prince princesse Prusse puissance qu'un raison reste Revue Rhin rien roman Russie s'est s'était s'il Sainte-Beuve semble sentiment serait sermon service seulement sociale sorte sous-officiers Spencer théophilanthropes tion Titien trouve Vinet voilà vrai
Popular passages
Page 729 - Montre-toi comme il faut, que je te voie, avec ton amour de ce qui est respectable, ta connaissance de ce qui se fait et de ce qui ne se fait pas, et cette certitude si insupportable qui est la tienne, et ton cœur médiocre, médiocre.
Page 562 - Nous ne voyons jamais qu'un seul côté des choses; L'autre plonge en la nuit d'un mystère effrayant. L'homme subit le joug sans connaître les causes. Tout ce qu'il voit est court , inutile et fuyant.
Page 392 - L'Amitié vint à mon secours ; Elle était peut-être aussi tendre, Mais moins vive que les Amours. Touché de sa beauté nouvelle, Et de sa lumière éclairé, Je la suivis ; mais je pleurai De ne pouvoir plus suivre qu'elle.
Page 575 - Que les souverains coalisés étaient unanimement d'accord sur la puissance et la prépondérance que la France doit conserver dans son intégrité, et en se renfermant dans ses limites naturelles, qui sont le Rhin, les Alpes et les Pyrénées...
Page 856 - Perdait-on un chiffon , avait-on un amant , Un mari vivant trop , au gré de son épouse , Une mère fâcheuse , une femme jalouse ; Chez la devineuse ' on courait Pour se faire annoncer ce que l'on désirait.
Page 582 - Les puissances alliées ne font point la guerre ' à la France ; mais à cette prépondérance hautement annoncée , à cette prépondérance que, pour le malheur de l'Europe et de la France, l'empereur Napoléon a trop long-temps exercée hors des limites de son empire.
Page 544 - ... dans la disposition d'une volonté contrainte, la bouche muette par la crainte et le respect d'un père qu'elle a toujours honoré. Au milieu d'une cérémonie, brillante pour les spectateurs qui y assistent, mais funèbre pour la personne qui en est le sujet, on la présente au prêtre, et l'on en fait un sacrifice qui, bien loin de glorifier Dieu et de lui plaire, devient exécrable à ses yeux, et provoque sa vengeance.
Page 954 - Sa Sainteté, pour le bien de la paix et l'heureux rétablissement de la religion catholique, déclare que ni elle ni ses successeurs ne troubleront, en aucune manière, les acquéreurs des biens ecclésiastiques aliénés, et qu'en conséquence la propriété de ces mêmes biens, les droits et revenus y attachés, demeureront incommutables entre leurs mains, ou celles de leurs ayants cause.
Page 854 - Nous entendîmes, après dîner, le sermon du Bourdaloue, qui frappe toujours comme un sourd, disant des vérités à bride abattue, parlant contre l'adultère à tort et à travers : sauve qui peut, il va toujours son chemin.
Page 535 - ... des inimitiés dont on ne revient jamais ; on est sévère, mais en même temps on entretient, des partis contre ceux qu'on ne se croit pas favorables, on leur suscite des affaires, on les poursuit avec chaleur, on ne leur passe rien, et, tout ce qui vient de leur part, on le rend odieux par les...