Histoire de Napoléon, Volume 4 |
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Page 7
... s'était réservé de faire agréer cet engagement par la Russie et la Prusse . Il ne se hâta point de rem- plir sa promesse , et ce fut le 12 juillet seulement que M. de Metternich informa le duc de Bassano de l'assentiment des cours de ...
... s'était réservé de faire agréer cet engagement par la Russie et la Prusse . Il ne se hâta point de rem- plir sa promesse , et ce fut le 12 juillet seulement que M. de Metternich informa le duc de Bassano de l'assentiment des cours de ...
Page 37
... s'était arrêté à Juter- bogt , à dix lieues seulement du champ de bataille . La veille , à Lubnitz , le général Girard , sorti de Magdebourg avec six mille hommes , s'était vu at- taqué par le général Hirschfeld , qui retournait au ...
... s'était arrêté à Juter- bogt , à dix lieues seulement du champ de bataille . La veille , à Lubnitz , le général Girard , sorti de Magdebourg avec six mille hommes , s'était vu at- taqué par le général Hirschfeld , qui retournait au ...
Page 40
... s'était réunie sous les murs de Torgau . Ney établit son quartier - général à Tulem- berg , et le prince royal à Juterbogt . Napoléon ignorait que , dans un conseil militaire où furent réunis à Prague les souverains , Berna- dotte ...
... s'était réunie sous les murs de Torgau . Ney établit son quartier - général à Tulem- berg , et le prince royal à Juterbogt . Napoléon ignorait que , dans un conseil militaire où furent réunis à Prague les souverains , Berna- dotte ...
Page 43
... s'était trouvé surpris en flagrant délit , dans sa fausse marche sur Jauer , il aurait dû se replier et défendre son front de bataille avec les rivières , au lieu de les avoir derrière lui . La Katzbach donna son nom à la bataille , et ...
... s'était trouvé surpris en flagrant délit , dans sa fausse marche sur Jauer , il aurait dû se replier et défendre son front de bataille avec les rivières , au lieu de les avoir derrière lui . La Katzbach donna son nom à la bataille , et ...
Page 44
... s'était reporté en avant . De son côté , le maréchal français , prenant trop à la lettre les derniers ordres de l'Empereur , avait reculé sans brûler une amorce de Hochkirch jusqu'à Bischoffswerda à une petite journée de Dresde ; il 44 ...
... s'était reporté en avant . De son côté , le maréchal français , prenant trop à la lettre les derniers ordres de l'Empereur , avait reculé sans brûler une amorce de Hochkirch jusqu'à Bischoffswerda à une petite journée de Dresde ; il 44 ...
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Common terms and phrases
abdication alliés anglais Antomarchi armée armes armistice arrive attaque Augereau Autrichiens avaient avril bataille bataillons Bellerophon Beningsen Bernadotte Blücher braves Bulow çais cavalerie cent mille hommes Chambre cinquante mille Codicille commandant comte Bertrand comte Montholon congrès corps déclaration dernier devait dit-il Dresde duc de Bassano duc de Vicence enfans ennemis Essonne eût exécuteurs fils Fontainebleau forces Fouché fran française gauche général Becker général Bertrand gloire Gourgaud gouvernement Grouchy guerre heures Idem j'ai jour l'armée l'Autriche l'Em l'empereur Alexandre l'ennemi l'Europe l'île d'Elbe Las-Cases lègue Leipsick léon Longwood lord lord Bathurst Macdonald marche maréchal Ney Marmont ment Metternich millions ministre Montholon mort Napo nation négociation nuit O'Meara officiers ordres Oudinot paix passer patrie pereur peuple plénipotentiaires poléon porter position pouvait prisonnier proclamation Prusse Prussiens quartier-général Quatre-Bras Représentans reste retraite Rhin route Russie Sainte-Hélène Sénat sentimens sera seul sir Hudson-Lowe soir soldats souverains Testament tion troupes Troyes Vandamme victoire Waterloo Wellington
Popular passages
Page 177 - Les puissances alliées ayant proclamé que l'Empereur Napoléon était le seul obstacle au rétablissement de la paix en Europe, l'Empereur Napoléon, fidèle à son serment, déclare qu'il renonce pour lui et ses héritiers aux trônes de France et d'Italie, parce qu'il n'est aucun sacrifice personnel, même celui de la vie, qu'il ne soit prêt à faire à l'intérêt de la France.
Page 345 - ... J'en appelle à l'histoire : elle dira qu'un ennemi qui fit vingt ans la guerre au peuple anglais, vint librement, dans son infortune, chercher un asile sous ses lois; quelle plus éclatante preuve pouvait-il lui donner de son estime et de sa confiance? Mais comment répondit-on, en Angleterre, à une telle magnanimité? On feignit de tendre une main hospitalière à cet ennemi ; et quand il se fut livré de bonne foi, on l'immola.
Page 405 - Je meurs dans la religion apostolique et romaine , dans le sein de laquelle je suis né il ya plus de cinquante ans. , 2° Je désire que mes cendres reposent sur les bords de la Seine, au milieu de ce peuple français que j'ai tant aimé.
Page 225 - ... traitât moi et ma famille ; mais, constant dans les dispositions qui m'avaient porté à ordonner que les membres de la famille des Bourbons pussent sortir librement de France , mon intention est que vous donniez des ordres pour que le duc d'Angoulême soit conduit à Cette , où il sera embarqué , et que vous veilliez à sa sûreté et à écarter de lui tout mauvais traitement.
Page 344 - Je proteste solennellement ici, à la face du ciel et des hommes , contre la violence qui m'est faite , contre la violation de mes droits les plus sacrés, en disposant, par la force, de ma personne et de ma liberté.
Page 296 - Je les ai trouvés, je les ai laissés pauvres. L'instinct de la nécessité les éclaire, la voix du pays parle par leur bouche ; et si je le veux, si je le permets, la Chambre rebelle, dans une heure, elle n'existera plus...
Page 297 - En commençant la guerre pour soutenir l'indépendance nationale , je comptais sur la réunion de tous les efforts , de toutes les volontés , et le concours de toutes les autorités nationales; j'étais fondé à en espérer le succès , et j'avais bravé toutes les déclarations des puissances contre moi. Les circonstances me paraissent changées. Je m'offre en sacrifice à la haine des ennemis de la France. Puissent-ils être sincères dans leurs déclarations, et n'en avoir réellement voulu...
Page 258 - Alors, comme après Austerlitz, comme après Wagram, nous fûmes trop généreux ! Nous crûmes aux protestations et aux serments des princes que nous laissâmes sur le trône ! Aujourd'hui, cependant, coalisés entre eux, ils en veulent à l'indépendance et aux droits les plus sacrés de la France. Ils ont commencé la plus injuste des agressions. Marchons donc à leur rencontre ! eux et nous, ne sommes-nous plus les mêmes hommes...
Page 178 - LES Puissances alliées ayant proclamé que l'Empereur NAPOLÉON était le seul obstacle au rétablissement de la Paix en Europe , l'Empereur NAPOLÉON, fidèle à son serment, déclare qu'il renonce, pour lui et ses héritiers , aux Trônes de France et d'Italie , et qu'il n'est aucun sacrifice personnel, même celui de la vie, qu'il ne soit prêt à faire à l'intérêt de la France.
Page 265 - dans trois heures le sort de la guerre » soit décidé. Si Ney exécute bien ses » ordres, il ne s'échappera pas un » canon de l'armée prussienne; elle » est prise en flagrant délit (1).