Recueil des instructions données aux ambassadeurs et ministres de France depuis les traités de Westphalie jusqu'à la révolution française, Volume 12

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Ancienne Librairie Germer Baillière et Cie., 1899 - Archives
 

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Page 198 - ... et enfin de tout ce qui peut donner une connoissance particulière des lieux où ils auront été employés et des personnes avec lesquelles ils...
Page 373 - Chrétienne excepte aussi de son côté les « guerres dans lesquelles elle pourroit entrer ou prendre « part en conséquence des engagemens qu'elle a contractés « par les traités de Westphalie et autres alliances avec les « puissances de l'Allemagne et du Nord, et considérant « que lesdites guerres ne peuvent intéresser en rien la cou« ronne d'Espagne ni Sa Majesté Catholique, etc.
Page 196 - Roi juge que ce seroit vainement qu'il chargeroit le sieur comte de La Marck de reprendre cette matière avec la cour de Madrid. Le Roi d'Espagne paroît déterminé à n'offrir pour lui et pour le Roi des Deux-Siciles qu'une accession qui tombe uniquement sur les parties du traité qui les concernent, qui porte les expressions de la plus excessive précaution, pour que l'on ne puisse jamais supposer que ces princes prennent la moindre part à ce qui intéresse soit le Roi , soit le Roi de Sardaigne....
Page 168 - Disgracié alors, il ne lui fut plus permis do revenir à la cour qu'après la mort de Campillo. Montemar était gentilhomme de la Chambre du Roi, et, en même temps que chevalier de la Toison d'Or, commandeur de Moratalla, dans l'Ordre de Saint/Jacques et chevalier de l'Ordre de Saint-Janvier. Il mourut à Madrid le 26 juin 1747. (Pinedo y Salazar, Historia de la insigne Orden del Toysan de Oro, t. I, p. 505 ; — Coxe, l'Espagne sous les rois de la maison de Bourbon, t. III, p. 337, 370, 450-454...
Page 186 - Vienne les points des allodiaux et maître et grand ccuyer de l'infant D. Felipe ; il devint ensuite vice-roi de Navarre et président du tribunal de México et de Guadalajara. Il mourut à Madrid le 6 août 1752. Il était chevalier de l'Ordre de Saint-Janvier, commandeur de l'Ordre d'Alcàntara, chevalier de la Toison d'Or, et Philippe V l'avait fait Grand de première classe. (Pinedo y Salazar, Historia de la insigne Orden del Toysan de Oro, t. I, p. 513; — Correspondance d'Espagne, t. CDXVIII,...
Page 432 - D'ailleurs le choix d'une compagne . dont l'âge est si peu proportionné au sien et la manière presque puérile dont il * lui témoigne ses sentiments ont rendu pour ainsi dire ridicule aux yeux du public - cet ambassadeur d'ailleurs si respectable à tous égards. * (Bourgoing à Vergennes, Madrid, 21 avril 1784, Correspondance d'Espagne, t. DCXII, fol. 353.) 3. Correspondance d'Espagne, t. DCXIII, fol. 59 (Aranda à Vergennes, Bordeam, 18 mai 1784).
Page 15 - ... de s'écarter de l'observation scrupuleuse de ce à quoi il a consenti. Le Roi, de son côté, doit s'appliquer à faire réussir les prétentions de Sa Majesté Catholique par la prudence et l'habileté de ses plénipotentiaires plutôt que par un concours trop ouvert et trop peu ménagé à tout ce que les plénipotentiaires espagnols proposeront, puisque, quand même il n'y auroit point à craindre de donner de la jalousie aux autres Puissances par une union trop marquée, il ne laisseroit...
Page 422 - ... retraite lui avoit fait honneur, et il avoit montré de la valeur à la guerre. Toute la cour marqua de la joie et de l'empressement de le voir. Il retourna chez lui de Lerma , et ne vint à Madrid que peu avant mon départ où il fut trèsbien reçu de tout le monde , et où je le vis assez. Il me parut de l'esprit, instruit, sage et beaucoup de politesse et d'envie de faire. C'est lui qui longtemps depuis fut ambassadeur en Angleterre et à Francfort pour l'élection de l'empereur, électeur...
Page 109 - Chanvelin, lui valut sa disgrâce. Le 20 février 1737 il dut remettre sa démission. Sur la politique de Chauvelin, cf. E. Bourgeois, Manuel d'histoire diplomatique, t. I, p. 479 et suiv. et un article de ME Driault, Chauvelin, 1733-1737; son rôle dans l'histoire de la réunion de la Lorraine à la féliciter M. de Rottembourg d'avoir consommé son ouvrage « d'une façon qui devait contenter également toutes les parties intéressées * ». Il avait réussi, en même temps qu'il négociait cette...
Page 115 - Ce fut pour la porter au dernier degré qu'il y ajouta le dessein formé de cette prétendue formidable cabale de renvoyer l'infante, de rompre la nouvelle union formée avec l'Espagne, et, pour en persuader mieux le régent, me dépêcher un courrier là-dessus pour m'en informer, et me charger d'en rendre compte au roi et à la reine d'Espagne ; et de n'oublier rien pour les rassurer là-dessus. C'est ce qui me fut si expressément ordonné de faire par une autre lettre en deux mots du cardinal...

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