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après l'expiration de ses six mois de prison; et cependant Montrouge est bien dans le ressort de la cour royale de Paris.

rable du zèle et des talens du prélat pour l'administration.

M. Fallot de Beaumont, d'abord coadjuteur, puis évêque de Vaison, fut institué le 15 mai 1802 comme évêque de Gand, par le cardinal-légat. Il se rendit le mois suivant dans son diocèse, qui comprenoit les départemens de l'Escaut et de la Lys, et avoit une population de 1,200,000 ames. Ce diocèse se composoit des anciens diocèses de Gand et de Bruges, de la moitié de celui d'Ypres, de quatre doyennés du diocèse de Malines, de deux de Tournai, et de quel

Ce n'est point assez ; pendant que l'on condamne le sieur Pillot, on laisse faire le sieur Châtel et le sieur Auzou. Ils ont l'un et l'autre une église ouverte dans Paris. Des affiches annoncent leurs offices et leurs prédications. Ils peuvent attaquer les mystères de la religion, tourner ses pratiques en ridicule, invectiver contre ses ministres. On ne leur dit rien. Cependant un des considérans de l'arrêt Pillot leur est complètement ap-ques paroisses dépendant de Cambrai. plicable. Il porte que les réunions pour l'exercice de cultes non-reconnus ne peuvent jouir d'un privilége qui les affranchisse de toute surveillance et des prescriptions de la loi génerale. Certainement le culte Châtel et le culte Auzou ne sont pas reconnus, et il est étrange que, lorsqu'on punit le disciple, on donne carte blanche aux chefs. Parlez-nous après cela de l'unité de la législation et de l'égalité de vant la loi; ce sont-là de belles théories auxquelles on donne journellement des démentis dans la pratique.

Quoique nous ayons parlé plusieurs fois l'année dernière de M. Fallot de Beaumont, ancien évêque de Gand et de Plaisance, c'est en quelque sorte pour nous un devoir de conscience de revenir sur ce prélat, que l'on nous a reproché d'avoir apprécié avec quelque sévérité. Nous trouvons dans un journal de Belgique des renseignemens sur son administration à Gand, et on nous a adressé de Plaisance une lettre relative aux actes du même prélat dans cette dernière ville. Or, c'étoit précisément la conduite de cet évêque dans ces deux diocèses qui nous étoit moins connue; nous prouverons notre bonne foi en tirant de ces deux sources ce qu'elles présentent de plus important. Ces extraits donneront une idée plus favo

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Le prélat organisa sur-le-champ son diocèse. Il le partagea en trois districts administratifs, se réserva celui de Gand, et confia ceux de Bruges et d'Ypres à MM. de Pauw et Vermeesch. Il forma un conseil épiscopal et commença la visite de son diocèse sans en excepter la partie soumise autrefois à la Hollande, et où les protestans dominoient. Il obtint qu'on les empêchât de vexer désormais les catholiques, et y érigea quatre cures, à Ecluse, à Ysendyke, à Oestbourg et à Hulst. Les catholiques n'ayant pas d'église dans ces cantons, il obtint pour eux une portion du temple de Hulst, et ordonna une quête pour subvenir aux frais de nouvelles églises.

Le décret d'érection des paroisses est du 30 novembre 1802. Le prélat appela à un examen général tous les prêtres, à l'exception des curés qui avoient déjà été nommés dans un concours. Il érigea son chapitre et y nomma d'anciens chanoines de Gand et de Bruges. M. Goethals fut nommé archiprêtre. L'évêque donna des statuts à son chapitre. En 1803, les nouveaux doyennés furent érigés au nombre de 20. Les doyens, les confesseurs et les prédicateurs reçurent des instructions. La question des cas réservés fut éclaircie dans un petit ouvrage publié en 1805.

Le prélat mettoit un grand zèle à.

l'instruction de son clergé. Il rétablit Il procura des secours spirituels les sexamens des confesseurs et les aux prisonniers, et obtint un aumôconcours pour les places vacantes. A nier pour la maison centrale de Gand. son arrivée dans le diocèse, il avoit Il envoyoit dans les prisons des ecclétrouvé quelques jeunes gens qui étusiastiques y porter les secours spiridioient la théologie à l'ancienne ab-tuels. On lui doit l'institution des baye du Riche-Hópital. Il les encoura-Sœurs de Charité, qui s'est étendue gea, et s'occupa de recouvrer l'ancien sous la direction du vénérable chaséminaire. Les bâtimens en étoient noine Triest. Il leur obtint l'abbaye déjà vendus par le gouvernement, de Terhagen. Il les recommanda mais comme l'acquéreur n'avoit en- fortement aux autorités, avec lescore presque rien payé, l'évêque ob- quelles il étoit fort bien. tint de Bonaparte la restitution de Ici finit l'extrait du Journal Histol'édifice, fit les réparations les plus rique de Liége. Nous remarquerons urgentes, et ouvrit dès 1804 son sé- seulement que si M. Fallot de Beauminaire, qui en 1806 comptoit 70 mont étoit en faveur auprès de Bonasujets. Il y réunit un collége ou pe- parte, cette faveur fut utile au diotit - séminaire, qu'on transféra plus cèse, et lui donna les moyens d'obtetard à l'ancien couvent de Sainte- nir ce que d'autres auroient sollicité Barbe, à cause de l'exiguité des bâti-vainement. mens. La dernière prieure de ce cou- Actuellement nous venons à la vent en avoit fait don au séminaire. lettre qui nous a été adressée de PlaiLe prélat établit encore un petit-sé-sance le 18 novembre dernier. Elle ninaire à Roulers, et le confia aux contient des observations destinées à Pères de la Foi. On a de lui des in- rectifier notre première notice. L'austructions pastorales fort solides teur de la lettre nous pardonnera de adressées à son clergé sur ses obliga-ne l'avoir pas insérée plus tôt, et de

tions. Il encouragea les retraites ecclésiastiques. La première eut lieu à Gand en 1806, dans l'ancienne abbaye de Terhagen. En 1807, on assigna quatre retraites à différentes époques.

nous borner à un extrait où nous

croyons n'avoir rien omis d'essen

tiel :

« Il est dit dans la notice de l'Ami de la Religion, que Bonaparte fit passer M. Fallot de Beaumont, de l'évêché de Gand à celui de Plaisance, pour tenter d'introduire le gallicanisme en ce pays (1). Que Bonaparte ait eu cette intention, cela est assez vraisemblable; mais il ne trouva pas dans le prélat un instrument docile à ses vues. En effet, peu de mois après l'instal

Il restoit encore dans le diocèse beaucoup d'anciens religieux. L'évèque leur adressa le 28 novembre 1803 une instruction toute pateruelle. Pour leur faciliter la vie cominune, il avoit érigé en paroisse l'église des Augustins à Gand. Il fit de même pour l'église de Sainte-Anne,lation de l'évêque, arriva un ordre du dans le voisinage des Capucins; car leur église étoit déjà convertie en magasin. Il érigea encore en oratoires publics les églises des Dominicains et des Carmes, tant chaussés que dé-il chaussés, et il en confia la direction aux religieux respectifs. Il en agit de même pour d'autres endroits du diocèse, quand cela fut possible. Il moit de préférence des religieux aux cures qui leur appartenoient autrefois.

nom

ministre d'introduire dans le diocèse le catéchisme de l'empire. Il se contenta de répondre qu'il avoit reçu l'imprimé, mais sans prendre aucun engagement, et même approuva que dans toutes les paroisses on continuât à faire usage, comme par le passé, de l'ancien catéchisme, rédigé d'après le catéchisme romain.

(1) C'est M. le cardinal Pacca qui le dit dans ses Mémoires.

» Il ne fit pas plus de cas des instances | rent que le clergé romain avoit une fordu gouvernement, pour que dans l'ensei-mule tracée par le Saint-Père, et qu'ils ne se croyoient autorisés à jurer que suivant gnement théologique on soutînt les articles cette formule. S'ils pensent, reprit le prédu clergé de France en 1682. Il fit enregistrer la dépêche ministérielle, mais il lat, que le dogme ou la morale soient intéconsentit que, dans ses deux séminaires, ressés ici de sorte que les maux auxquels les on continuât de maintenir sur ce point exposeroit le refus de serment pourroient la doctrine commune des écoles d'Italie, mériter les honneurs du martyre, je pense et même il assista à des thèses soutenues comme eux, et je m'abstiens de rien dire de par ses séminaristes sur l'infaillibilité pon-plus. Mais si par hasard c'étoit ici une aftificale, en ajoutant que, pour lui, il ne pensoit pas autrement, et qu'il ne croyoit pas que le Sauveur eût pourvu suffisamment au bien de son Eglise, s'il n'avoit pas accordé le privilége de l'infaillibilité aux décisions dogmatiques de son chef. Telles étoient aussi les maximes du conseil ecclésiastique qui entouroit l'évêque, et spécialement de ses deux vicaires-généraux, lumières du clergé de Plaisance, qui depuis ont été ses successeurs.

Quant à sa conduite envers le clergé des provinces romaines déporté à Plaisance, je sais d'un personnage fort grave, qui jonissoit de la confiance entière du prélat, que celui-ci, qui se trouvoit alors à Paris, fut appelé chez le ministre des cultes, Bigot de Préameneu, et reçut ordre de retourner à Plaisance pour surveiller la conduite de ces ecclésiastiques. Sa réponse fut qu'il se disposoit à retourner au plus tôt dans son diocèse, mais qu'il ne pouvoit se charger envers les déportés que d'une mission de charité. Il leur rendit en effet de bons offices, en obtenant pour eux du gouvernement des pensions de 20, de 30 ou de 50 fr. par mois.

»Je viens à l'énergie qu'on accuse le prélat d'avoir déployée, pour que le clergé romain prêtât le serment prescrit par l'empereur, et défendu par le pape (1). Quand il reçut la dépêche ministérielle, il manda deux ecclésiastiques les plus distingués parmi les déportés, et leur en fit lecture, en ajoutant que cette formule de serment étoit la même que prêtoient les curés et évêques de France. Ils répondi

(1) Ceci étoit encore tiré des Mémoires de M. le cardinal Pacca.

faire de pure discipline, je les prie de considérer s'ils ne seroient pas responsables des malheurs auxquels leurs paroisses seroient exposées en restant si long-temps privées de secours spirituels. Qu'ils réfléchissent, qu'ils se concertent avec leurs collègues, et qu'ils prennent ensuite leur parti. Ainsi se termina cet entretien, après lequel je ne sais ce qui arriva; ce que je sais pourtant. c'est que deux de ces prêtres ayant eu la foiblesse de prêter le serment, et le curé de l'église où ils avoient coutume de dire la messe n'ayant plus voulu les recevoir, ils s'adressèrent à l'évêque, qui refusa de faire à ce sujet aucun reproche au curé, et ne lui en parla jamais.

» Au reste, le diocèse a bien des obligations à ce prélat. C'est à lui qu'on doit la conservation d'une discipline édifiante dans les habitudes du clergé, et l'avantage de la bonne éducation chez les Dames Ursulines, que l'on vouloit assujétir à des conditions fort dures, qui furent révoquées par la médiation du prélat. C'est grâces à lui que sont encore ouvertes les plus belles églises de cette ville que l'on vouloit fermer, ou livrer à des usages profanes. Ce fut lui qui agrandit le séminaire épiscopal, auquel on joignit le couvent contigu des Capucines, devenu domaine national. C'est par lui que subsiste encore le bel établissement de l'autre grand séminaire, fondé par le cardinal Alberoni, pour l'éducation gratuite de soixante jeunes ecclésiastiques, sous la direction des Lazaristes. Car, étant couru aussitôt à Paris, il parvint à faire renoncer au projet déjà adopté, et rédigé en décret, pour changer cet établissement en un lycée militaire.

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tome XLVI; enfin, elles arrivèrent à Montdée, où il n'y avoit plus que dix religieuses de chœur. La communauté se trouve donc ainsi doublée; elle est sous la direction de la Mère Catherine, nouvelle supérieure. (Extrait d'une notice envoyée par M. l'abbé Badiche, à l'Univers.)

Dans la nuit du 27 au 28 novem

Sous Bonaparte, un établissement de trappistes s'étoit formé dans la forêt de Sénart; un couvent de reli-bre, l'église de Cubas, commune de gieuses du même ordre s'établit aussi Cherveix (1), diocèse de Périgueux, non loin de là. Depuis, elles se trans- s'est écroulée de fond en comble. La portèrent à Valentin. Mais Bonaparte, veille on célébroit la fête patronale, dans un accès de colère, ayant or- et si l'accident étoit arrivé quelques donné de dissoudre toutes les ré-heures plus tôt, il eût pu faire bien des unions de trappistes, les religieuses victimes. se retirèrent en Bretagne, et restèrent ignorées dans le diocèse de SaintBrieuc. Après la restauration, elles achetèrent l'abbaye de Montdée, qui appartenoit autrefois à l'ordre de Prémontré, et étoit du diocèse de Lisieux. Elles s'y fixèrent sous la conduite du Père Bernard. Madame de Châteaubriand, sœur de l'écrivain, étoit supérieure de cette maison; sa santé l'obligea, il y a douze ans, à donner sa démission. Elle est restée simple religieuse dans la maison, et madame de Mailly fut élue en sa place. Cette maison avoit perdu beaucoup de sujets depuis quelques années, mais comme le couvent des religieuses du même ordre à Laval, qai, comme nous l'avons dit, a été érigé en abbaye, prospéroit et étoit de venu très nombreux, les chefs de l'ordre, dans le chapitre général tenu au mois d'août, ont arrêté que la maison de Laval enverroit une colonie à Montdée. Le 12 septembre der-į nier, l'abbé du Port du Salut, dom Couturier, et l'abbesse de SainteCatherine de Laval, la Mère Piette, partirent de Laval avec dix religieuses de choeur, deux novices et trois converses. Elles s'arrêtèrent en passant à telle que la donnent quelques journaux. (1) Nous reproduisons cette nouvelle, Louvigné du Désert, où il y a une sans nous expliquer pourquoi le nom de communauté de religieuses du tiers-l'église est différent de celui de la com

ordre de la Trappe, établies en 1825, comme nous l'avons raconté N° 1184,

L'avant-dernier jour de l'octave de la sainte Vierge qu'on a célébrée à l'église de la Chapelle à Bruxelles, et dont nous avons dit un mot précédemment, le Père Boone avoit prèché en français sur l'éducation catholique. Ce sermon n'a pas plu aux libéraux. Quelques élèves de l'Université libre ont été donner un charivari au prédi cateur. La veille, on avoit accusé ce Père d'avoir prêché contre cette Université, et d'avoir dit que les professeurs étoient des corrupteurs de la jeunesse, tandis qu'il avoit parlé en général des deux principes contraires qui dirigent depuis trente à quarante ans l'éducation, l'un catholique, l'autre impie, sous le masque du li béralisme. Il a parcouru tous les degrés de ces deux modes d'enseignement, depuis les écoles chrétiennes jusqu'aux hautes études. Il a fait ressortir les effets contraires que ces deux principes devoient produire sur l'individu, sur la famille et sur la société. Les élèves de l'Université libre vu une attaque directe contre leurs professeurs. Il paroît que ces derniers

ont

mune. Cubes seroit-il sculement une chapelle distincte de la paroisse?

vont poursuivre le prédicateur devant les tribunaux, pour calomnie.

On savoit que le même Père devoit prècher le samedi 3 décembre. Le brait avoit circulé parmi les élèves qu'il alloit attaquer l'Université. Ils se rendirent à l'église au nombre de deux cents environ. Ils furent un peu désappointés en entendant l'habile improvisateur faire un discours fla: and sur les travaux apostoliques de saint François-Xavier, dont on céléBroit la fête ce jour-là. Ils étoient venus dans l'intention de siffler. Après le sermon, ils sortirent paisiblement, mais dans la rue ils proférèrent plusieus cris contre les missionnaires.

sensés dans ces malheureux, et par là il montrera la distance qui sépare un roi d'une tourbe révolutionnaire qui ne sait que faire un indigne usage du pouvoir qu'elle a usurpé.

» Au reste, cette nouvelle éruption régicide n'est que le commentaire et la continuation de la proposition de M. Paschal, député de Lérida, qui dit à ces mêmes cortès: « Nos armées détruiront le prétendant, ou le feront fuir; si elles le pren» nent nous le jugerons dans cette enceinte, et peut-être serai-je le premier à le condamner à mort... » Marat et Danton ont laissé des successeurs. »

Mais ayons foi dans le gouvernement réflexion empruntée au même journal. de la providence, et terminons par celle

R

Quand on lit la séance des cortès

Dimanche 4, deux individus à figures sinistres ont cherché à trouBler l'office divin du soir dans la mettant Charles V hors la loi, il est immème église. Quelques ouvriers pré-possible de ne pas se rappeler la chambre sens se jetèrent sur les perturbatenrs possible de ne pas se rappeler la chambre et les conduisirent à la sacristie. De Bourbons à perpétuité, la veille de leur des cent-jours jurant l'expulsion des

là ils ont été conduits au milieu des huées du peuple au bureau de police.

POLITIQUE.

Nous nous associons volontiers à la politique consciencieuse de la Gazette de France, et nous aimons à porter le même jugement qu'elle sur la séance des cortès du 28 novembre :

Le ridicule et l'atroce peuvent se rencontrer dans le même sujet. Pendant que don Carlos grandit tous les jours, et que Christine se rapetisse à proportion; pendant qu'on lui prend ses villes, qu'on bat ses troupes; pendant que le bruit des trompettes de Cabrera trouble le sommeil des habitans de Madrid, voilà que les cortès décrètent à l'unanimité la déchéance de don Carlos, et chargent une commis. sion de rédiger le projet de son jugement lorsqu'il sera pris: ce sont les termes de cet étrange décret. Le sénat espagnol est tombé en démence; il pourroit bien se faire que les jugeurs fussent exposés à être jugés à leur tour. Don Carlos sera assez magnanime pour ne voir que des in

retrée. »

On pourroit dire que le régicide est déjà commis quand on ose le proposer publiquement, en assemblée solennelle, contre une tête royale. Il constitue du moins pour ceux qui en ont seulement posé la question, une de ces situations dont ils ne croient pas pouvoir sortir en reculant; et cela suffit pour que l'idée d'avancer leur paroisse ce qu'il y a de meilleur.

Ainsi l'assemblée des cortès dans laquelle ce terrible mot a été lancé contre don Carlos, sans exciter ni soulèvement, ni surprise ; cette assemblée, disons-nous, est déjà régicide. Son vaisseau est brûlé; il n'y a point de retour possible pour elle à d'autres sentimens et à d'autres pensées. La voilà liée par le serment du sang, et rien ne sauroit désormais la rassurer contre elle-même que l'exécution du crime où elle s'est engagée. Il ne faut donc point s'abuser sur le sort de don Carlos s'il venoit à tomber en de pareilles mains.... Il

est mort!

Nous avons vu en France des positions

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