Histoire de mon tempsVoss et fils, 1788 |
Common terms and phrases
affez ainfi alliés Anglois auffi auroit Autrichiens avoient avoit baffe bataille bataillons Bavière Bergue Bohème Breslau Brieg Budweis c'eft c'eſt camp Cardinal de Fleuri caufe cavalerie Charles Quint chofes confeil confidérable cour de Vienne d'Angleterre d'Anhalt deffeins devoit diète difpofitions duchés de Juliers efcadrons efprit ennemis entrepriſe eſt étoient étoit faifir faifoit falloit fans fe trouvoit feconde fecours feroit fervir fes troupes feul figner fituation foible foldats font fous François fucceffion fuccès fujets furtout Glatz guerre de Succeffion haute Siléfie hommes houfards l'armée l'efprit l'Électeur de Bavière l'Empereur l'Empire l'ennemi l'Eſpagne l'Europe l'Hiftoire laiffé magafins maifon d'Autriche Maréchal de Belle-Isle Mecklenbourg Miniftre Molwitz Moravie Mr de Broglio Mr de Neuperg n'avoit n'étoient n'étoit nation négociations Neiffe Neifse paffer paix pofte pofth Pologne pouvoit pragmatique Sanction Prince Léopold Princeffe Pruffe Pruffiens puiffance quartiers raffembler reffources refte Reine de Hongrie réuffir royaume Ruffie Saxe Saxons Schwérin Suède voifins vouloit
Popular passages
Page 20 - Quelle rage vous oblige à prolonger la guerre ? C'est que la France ne pourra plus fournir aux frais de la campagne prochaine, répondrait-il.
Page 28 - La cause des infortunes de ce prince ne doit s'attribuer qu'à la perte du prince Eugène. Après la mort de ce grand homme, il n'y eut personne pour le remplacer. L'État manqua de nerf, et tomba dans la langueur et dans le dépérissement.
Page 21 - Les ambitieux devraient considérer surtout que les armes et la discipline militaire étant à peu près les mêmes en Europe, et les alliances mettant pour l'ordinaire l'égalité des forces entre les parties belligérantes , tout...
Page 19 - Danemark s'anime, s'agite et se calme, la Saxe change deux fois de parti ; elle ne gagne rien ni avec les uns ni avec les autres, sinon qu'elle attire les Prussiens dans ses États et qu'elle se ruine.
Page 3 - J^a plupart des histoires que nous avons, sont des compilations de mensonges mêlés de quelques vérités. De ce nombre prodigieux de faits qui nous ont été transmis, on ne peut compter pour avérés que ceux qui ont fait époque, soit de l'élévation ou de la chute des empires.
Page 162 - Le roi, qui croyait rallier la cavalerie comme on arrête une meute de chiens, fut entraîné dans leur déroute jusqu'au centre de l'armée, où il parvint à rallier quelques escadrons qu'il ramena à la droite. Ils furent obligés d'attaquer les Autrichiens à leur tour, mais des troupes battues et ramassées à la hâte ne tiennent guère ; ils se débandèrent, et M.
Page 215 - ... la guerre. Le plus grand avantage que le roi retira de cette espèce de trêve avec les Autrichiens , fut de rendre ses forces plus formidables. L'acquisition de la Silésie lui procura une augmentation de revenus de trois millions six cent millo ecus. La plus grande partie de cet argent fut employée à l'augmentation de l'armée; elle était alors de cent six bataillons et de cent quatre-vingt-onze escadrons, dont soixante de hussards.
Page 86 - Il était réduit à l'humiliant emploi d'exercer les fonctions de son sacerdoce et de faire en hâte la fortune de ses neveux. Tout ce que le pape put faire pour l'Empereur engagé dans la guerre des Turcs, l'année 1737, fut de l'autoriser par ses brefs à lever des dîmes...
Page 28 - Ce prince avait porté le petit collet en France; Louis XIV lui refusa un bénéfice : Eugène demanda une compagnie de dragons; il ne...
Page 15 - ... engagemens; car, comme nous l'avons déjà dit, le bon ou le mauvais état des finances sont comme le pouls des États, qui influent plus qu'on ne le croit , ni qu'on ne le sait , dans les opérations politiques et militaires.