Histoire de France d'Anquetil: continuée, depuis la révolution de 1789 jusqu'à celle de 1830, Volume 1Bureau central de l'histoire de France, 1845 - France |
Other editions - View all
Common terms and phrases
Anglais Anquetil Aquitaine armée armes assez attaquer avaient bataille Bour C'était camp Carloman cent César Charlemagne Charles VII château chef Chilpéric Clotaire comte comte d'Armagnac comte de Charolais connétable conseil cour couronne crime d'Angleterre d'Anjou dauphin devait donna duc d'Orléans duc de Berri duc de Bourgogne duc de Bretagne duché Édouard Éduens ennemis envoya épouse états évêques faisait femme fille fils firent Flandre force Frédégonde frère fût Gaule Gaulois gouvernement guerre Guienne Henri Jean Jeanne jeune prince l'armée l'empereur laissa Lescun Lothaire Louis XI lui-même mains manda mécontents ment mille hommes monarque mort mourut n'avait n'était Navarre Neustrie neveu nommé Normandie paix pape passer pendant Pepin père peuple Philippe porter pouvait premier présents princesse prisonnier prit provinces régent règne reine rent reste Robert rois Romains Rome royaume s'en s'était s'il saint secours seigneurs seul soldats sort succès tête tion traité trève trône troupes trouva vassaux
Popular passages
Page 381 - Par ma foi, sire, reprit-elle, révérence gardée, je « vous ose bien dire et jurer, sur peine de ma vie, « que c'est le plus noble chrétien de tous les chrétiens, « et qui aime la foi et l'Eglise, et n'est point tel que
Page 381 - Sire, révérence gardée, je vous ose bien dire et jurer, sur peine de ma vie, que mon roi est le plus noble chrétien de tous les chrétiens, et n'est point tel que vous le dites.
Page 438 - René, en grand manteau de deuil, avec tous ses capitaines de Lorraine et de Suisse, vint lui jeter l'eau bénite, et lui ayant pris la main droite, par-dessous le poêle, il dit bonnement : « Hé dea ! beau cousin, vos âmes ait Dieu ! Vous nous avez fait moult maux et douleurs.
Page 378 - Enfin, gentil roi, ores est exécuté le plaisir de Dieu, qui voulait que vous vinssiez à Reims recevoir votre digne sacre, en montrant que vous êtes vrai roi, et celui auquel le royaume doit appartenir.
Page 375 - Gentille Agnès plus d'honneur en mérite, La cause étant de France recouvrer, Que ce que peut dedans un cloître ouvrer Close nonnain ou bien dévot ermite...
Page 430 - Faites-y tous appointements que vous pourrez, vaille que vaille, pour les amuser d'ici à l'hiver; et si j'ai quelque trêve et que j'y puisse aller, et si Dieu me soutient, et Madame, et monsieur saint Martin, je irai en personne mettre le remède.
Page 194 - et vous, valeureux soldats, qui êtes prêts à exposer votre vie pour la défense de cette couronne, si vous jugez qu'il y ait quelqu'un parmi vous qui en soit plus digne que moi, je la lui cède volontiers, pourvu que vous vous disposiez à la conserver entière, et à ne la pas laisser démembrer par ces excommuniés.
Page 174 - Mon fils, souvenez« vous que la royauté est une charge dont vous rendrez « un compte rigoureux à celui qui seul dispose des « sceptres et des couronnes. » Le régne de Louis-le-Gros fait époque dans notre histoire.
Page 195 - ... repoussent les assaillants, et attaquent à leur tour: Philippe est remonté; il tombe comme la foudre sur ses ennemis, le chariot impérial est renversé, l'aigle enlevée. Othon, trois fois démonté, saisi au corps par un chevalier français, et délivré par les siens, prend un des premiers la fuite. Les comtes de Flandre et de Boulogne, qui avaient le plus grand intérêt à ne pas tomber entre les mains du roi, entretinrent longtemps le combat, mais furent enfin faits prisonniers et présentés...
Page 195 - ... les plus voisins du roi se soutenaient à peine, loin de pouvoir courir à son aide. Cependant ils font un effort commun, repoussent les assaillants, et attaquent à leur tour: Philippe est remonté ; il tombe comme la foudre sur ses ennemis, le chariot impérial est renversé, l'aigle enlevée.