Mémoires, Volume 6 |
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Page 57
... Anglais , sans perdre un seul des ouvrages de la place . Il se trouvait dans la garnison qui le défen- dait un détachement de la garde soldée de Paris ; le ministre de la guerre proposa à l'empereur de recréer ... armée DU DUC DE ROVIGO . 57.
... Anglais , sans perdre un seul des ouvrages de la place . Il se trouvait dans la garnison qui le défen- dait un détachement de la garde soldée de Paris ; le ministre de la guerre proposa à l'empereur de recréer ... armée DU DUC DE ROVIGO . 57.
Page 70
... Es- pagne . Ils marchèrent tous deux sous les ordres du roi , d'abord par Madrid , puis par le Guada- rama et Arevalo jusqu'à Salamanque , où ils avaient atteint l'armée anglaise qui s'était reti- rée de Burgos 70 MÉMOIRES.
... Es- pagne . Ils marchèrent tous deux sous les ordres du roi , d'abord par Madrid , puis par le Guada- rama et Arevalo jusqu'à Salamanque , où ils avaient atteint l'armée anglaise qui s'était reti- rée de Burgos 70 MÉMOIRES.
Page 71
Anne Jean M.R. Savary (duc de Rovigo.) avaient atteint l'armée anglaise qui s'était reti- rée de Burgos au bruit de la marche de ces deux armées . On dit que le soir du jour même de leur arrivée , elles pouvaient attaquer l'armée an ...
Anne Jean M.R. Savary (duc de Rovigo.) avaient atteint l'armée anglaise qui s'était reti- rée de Burgos au bruit de la marche de ces deux armées . On dit que le soir du jour même de leur arrivée , elles pouvaient attaquer l'armée an ...
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... embarrasser les négociations de Prague , en ce que les ennemis pouvaient tirer avantage d'une position que nous n'occupions plus en Espagne . CHAPITRE XIV . Manœuvres de l'armée anglaise . - Bataille 128 MÉMOIRES JI.
... embarrasser les négociations de Prague , en ce que les ennemis pouvaient tirer avantage d'une position que nous n'occupions plus en Espagne . CHAPITRE XIV . Manœuvres de l'armée anglaise . - Bataille 128 MÉMOIRES JI.
Page 129
... armée anglaise . - Bataille de Vittoria . - - Pertes immenses de matériel . - Retraite . L'empereur reçoit cette nouvelle à Dresde . Bernadotte .. Madame de Staël . - Le général Moreau . APRÈS la réunion des armées des maréchaux Soult ...
... armée anglaise . - Bataille de Vittoria . - - Pertes immenses de matériel . - Retraite . L'empereur reçoit cette nouvelle à Dresde . Bernadotte .. Madame de Staël . - Le général Moreau . APRÈS la réunion des armées des maréchaux Soult ...
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Common terms and phrases
affaires arriva aurait Autrichiens avaient bataille bataille de Leipzig bataille de Lutzen bataille de Vittoria Bernadotte c'était cabinet de Vienne cavalerie CHAPITRE chose cohorte commandait comte de Metternich comte de Narbonne conseil corps du général corps du maréchal corps législatif d'Espagne devait donner Dresde duc de Bassano duc de Feltre duc de Vicence envoyé eût événemens Fouché fût garde nationale général Mallet général Moreau gouvernement guerre Guidal hommes ibid j'avais j'étais jours l'archi-chancelier l'armée anglaise l'armistice l'Autriche l'Elbe l'em l'empe l'empereur Alexandre l'empereur d'Autriche l'impératrice Lahorie laisser Leipzig long-temps Lutzen madame de Staël malheurs mandé marche Marmont Mayence médiateur mée ment ministre mouvement n'avait n'était Naples Napoléon négociations paix passer pereur place plénipotentiaires position pouvait Prague prendre prince projet Prusse puissances rait reste reur Rhin rien russe et prussien S. M. l'empereur s'était serait seul sorte soussigné Talleyrand tion troupes trouvait vait venir Vitrolle Vittoria voulait
Popular passages
Page 204 - ... la base de leur conduite, leurs vœux et leurs déterminations. « Les puissances alliées ne font point la guerre à la France, mais à cette prépondérance hautement annoncée, à cette prépondérance que, pour le malheur de l'Europe et de la France, l'empereur Napoléon a trop longtemps exercée hors des limites de son empire.
Page 204 - France soit heureuse; que le commerce français renaisse ; que les arts, ces bienfaits de la paix, refleurissent, parce qu'un grand peuple ne saurait être tranquille qu'autant qu'il est heureux. Les puissances confirment à l'empire français une étendue de territoire que n'a jamais, connue la France sous ses rois, parce qu'une nation valeureuse ne déchoit pas pour avoir à son tour éprouvé des revers dans une lutte opiniâtre et sanglante , où elle a combattu avec son audace accoutumée.
Page 354 - N'est-ce pas aussi votre opinion ? Ma foi 1 c'est perdre une partie à beau jeu. Voyez un peu où mène la sottise de quelques ignorants qui exercent avec persévérance une influence de chaque jour. Pardieu! l'empereur est bien à plaindre, et on ne le plaindra pas, parce que son obstination à garder son entourage n'a pas de motif raisonnable ; ce n'est que de la faiblesse qui ne se comprend pas dans un homme tel que lui. Voyez, monsieur, quelle chute dans l'histoire! donner son nom à des aventures,...
Page 205 - ... peuples des calamités sans nombre qui depuis vingt ans ont pesé sur l'Europe. Les puissances alliées ne poseront pas les armes sans avoir atteint ce 'grand et bienfaisant résultat, ce noble objet de leurs efforts.
Page 376 - ... ses états , ne consulta , dans le parti qu'elle adopta, que sa fidélité à des relations si récemment établies, et l'espoir qu'elle aimait à nourrir encore que son alliance avec la France , en lui offrant des moyens plus sûrs...
Page 390 - Bassano lui a fait l'honneur de lui adresser le iK août dernier. Ce n'est pas après que la guerre a éclaté entre l'Autriche et la France que le cabinet autrichien croit devoir relever les inculpations gratuites que renferme la note de M. le duc de Bassano. Forte de l'opinion générale , l'Autriche attend avec calme le jugement de l'Europe et celui de la postérité.
Page 354 - Eh bien ! voilà donc la fin de tout ceci ! N'est-ce pas aussi votre opinion ? Ma foi ! c'est perdre une partie à beau jeu. Voyez un peu où mène la sottise de quelques ignorants qui exercent avec persévérance une influence de chaque jour. Pardieu! l'empereur est bien à plaindre, et on ne le plaindra pas, parce que son obstination à garder son entourage n'a pas...
Page 376 - Le cabinet français sait mieux qu'aucun autre combien SM l'empereur d'Autriche a eu à cœur d'en prévenir l'éclat par toutes les voies que lui dictait son intérêt pour les deux puissances et pour celles qui devaient se trouver entraînées dans la grande lutte qui se préparait. Ce n'est pas elle que l'Europe accusera jamais des maux incalculables qui en ont été la suite.
Page 288 - ... commotion produite par la batterie de douze, servie par lui-même, avait brisé toutes les vitres, il le parcourait avec agitation ; son air était sombre ; l'émotion du champ de bataille l'y avait suivi. On eût pu croire qu'il allait ordonner et combattre encore ; mais à cette exclamation, « On ne m'obéit « plus ! On ne me craint plus ! Il faudrait que je fusse « partout à la fois, » on vit bien que l'orage, prêt à se déclarer, grondait contre les siens.
Page 263 - Jjases acceptées et proposer les limites anciennes , elle ne voyait que trois partis : ou combattre et vaincre , ou combattre et mourir glorieusement , ou enfin , si la nation ne la soutenait pas , abdiquer. Elle ne tenait pas aux grandeurs, elle n'en achèterait jamais la conservation par l'avilissement. Les Anglais pouvaient désirer de lui ôter Anvers; mais ce n'était pas l'intérêt du continent, car la paix ainsi faite ne durerait pas trois ans. Elle sentait que les circonstances étaient...