Histoire de l'empereur Napoléon |
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... pensées profondes ; c'était parfois comme une tempête avec des éclairs de génie , dont les lueurs illu- minaient toutes les questions . —Béranger trouve qu'il est le plus grand poëte des temps modernes ; ses proclamations prouvent qu'il ...
... pensées profondes ; c'était parfois comme une tempête avec des éclairs de génie , dont les lueurs illu- minaient toutes les questions . —Béranger trouve qu'il est le plus grand poëte des temps modernes ; ses proclamations prouvent qu'il ...
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... pensée , qui avait été couverte d'applaudissemens , lors de la Lecture faite à l'Académie de Lyon : « Les grands hommes « sont comme des météores , qui brillent et se consument pour « éclairer la terre » Cependant le style en est ferme ...
... pensée , qui avait été couverte d'applaudissemens , lors de la Lecture faite à l'Académie de Lyon : « Les grands hommes « sont comme des météores , qui brillent et se consument pour « éclairer la terre » Cependant le style en est ferme ...
Page 38
... pensée du triomphe de vos ennemis << sont confondus et tremblans . Mais , il ne faut pas vous le dis- « < simuler , vous n'avez encore rien fait , puisque beaucoup de « < choses vous restent encore à faire . Ni Turin ni Milan ne ...
... pensée du triomphe de vos ennemis << sont confondus et tremblans . Mais , il ne faut pas vous le dis- « < simuler , vous n'avez encore rien fait , puisque beaucoup de « < choses vous restent encore à faire . Ni Turin ni Milan ne ...
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... pensée militaire , je vous le dis « avec douleur , vous aurez perdu l'occasion d'imposer des lois « à l'Italie . — Je crois qu'il faut mieux un mauvais général « que deux bons . La guerre est comme le gouvernement : « c'est une affaire ...
... pensée militaire , je vous le dis « avec douleur , vous aurez perdu l'occasion d'imposer des lois « à l'Italie . — Je crois qu'il faut mieux un mauvais général « que deux bons . La guerre est comme le gouvernement : « c'est une affaire ...
Page 53
... pensée est devenue < « libre en Italie ... Il n'y a plus ni inquisition , ni intolérance , << ni despotisme . J'invite les savans à se réunir et à me proposer « leurs vues sur les moyens qu'il y aurait à prendre , ou les be- << soins qu ...
... pensée est devenue < « libre en Italie ... Il n'y a plus ni inquisition , ni intolérance , << ni despotisme . J'invite les savans à se réunir et à me proposer « leurs vues sur les moyens qu'il y aurait à prendre , ou les be- << soins qu ...
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Common terms and phrases
alliés Anglais Arcole armée armistice arriva artillerie attaque Augereau Autrichiens avaient bataillons batteries Bernadotte Blucher braves çaise camp campagne Capitulation cavalerie champ de bataille chargé coalisés colonne Combat commandement corps Corps-Législatif culbuté d'infanterie Danube Davoust Desaix devait Directoire division drapeaux Dresde Égypte ennemis force garde impériale gauche général Bonaparte général en chef gloire gouvernement grenadiers guerre Heilsberg heures Hollande jours Kaire Kutusoff l'Adige l'Angleterre l'archiduc l'armée d'Italie l'armée française l'armée russe l'artillerie l'Autriche l'Égypte l'Em l'Empereur l'empire l'ennemi l'Imprimerie de RIGNOUX laisser Lannes ligne Lonato Mamelucks Mantoue marche maréchal Ney maréchal Soult Masséna mée ment militaires mille hommes Murat n'avait Napoléon officiers ordres paix passer patrie pereur peuple pièces de canon pont porter position premier consul prince pris prisonniers Prusse Prussiens quartier général régimens République reste RÉSUMÉ CHRONOLOGIQUE retraite réunir Rhin rive s'avança s'était Saxe sentimens seul Silésie Smolensk soldats succès tion troupes Tyrol victoire Vistule Wurmser
Popular passages
Page 459 - Soldats, venez vous ranger sous les drapeaux de votre chef; son existence ne se compose que de la vôtre; ses droits ne sont que ceux du peuple et les vôtres; son intérêt, son honneur, sa gloire, ne sont autres que votre intérêt, votre honneur et votre gloire.
Page 449 - Les puissances alliées ayant proclamé que l'empereur Napoléon était le seul obstacle au rétablissement de la paix en Europe, l'empereur Napoléon, fidèle à son serment, déclare qu'il renonce, pour lui et ses héritiers, aux trônes de France et d'Italie, et qu'il n'est aucun sacrifice personnel, même celui de la vie, qu'il ne soit prêt à faire à l'intérêt de la France.
Page 369 - Russie est entraînée par la fatalité ; ses destins doivent s'accomplir. Nous croirait-elle donc dégénérés ? Ne serions-nous donc plus les soldats d'Austerlitz ? Elle nous place entre le déshonneur et la guerre : le choix ne saurait être douteux. Marchons donc en avant : passons le Niémen, portons la guerre sur son territoire. La seconde guerre de Pologne sera glorieuse aux armes françaises, comme la première.
Page 458 - Soldats, dans mon exil j'ai entendu votre voix : je suis arrivé à travers tous les obstacles et tous les périls. Votre général, appelé au trône par le choix du peuple et élevé sur vos pavois, vous est rendu : venez le joindre.
Page 458 - Nous n'avons pas été vaincus. Deux hommes sortis de nos rangs ont trahi nos lauriers, leur pays, leur prince, leur bienfaiteur. « Ceux que nous avons vus pendant vingt-cinq ans parcourir toute l'Europe pour nous susciter des ennemis, qui ont...
Page 37 - Soldats, vous êtes nus, mal nourris; le gouvernement vous doit beaucoup, il ne peut rien vous donner. Votre patience, le courage que vous montrez au milieu de ces rochers, sont admirables; mais ils ne vous procurent aucune gloire; aucun éclat ne rejaillit sur vous. Je veux vous conduire dans les plus fertiles plaines du monde. De riches provinces, de grandes villes seront en votre pouvoir: vous y trouverez honneur, gloire et richesses. Soldats d'Italie, manqueriez-vous de courage ou de constance?
Page 454 - Soldats de ma vieille garde, je vous fais mes adieux. Depuis vingt ans je vous ai trouvés constamment sur le chemin de l'honneur et de la gloire. Dans ces derniers temps, comme dans ceux de notre prospérité, vous n'avez cessé d'être des modèles de bravoure et de fidélité. Avec des hommes tels que vous, notre cause n'était pas perdue. Mais la guerre était interminable : c'eût été la guerre civile et la France n'en serait devenue que plus malheureuse. J'ai donc sacrifié tous mes intérêts...
Page 219 - Cette armée qui, avec autant d'ostentation que d'imprudence, était venue se placer sur nos frontières, est anéantie. Mais qu'importe à l'Angleterre? son but est rempli. Nous ne sommes plus à Boulogne , et son subside ne sera ni plus ni moins grand.
Page 472 - J'en appelle à l'histoire; elle dira qu'un ennemi, qui fit vingt ans la guerre au peuple anglais, vint librement dans son infortune chercher un asile sous ses lois: quelle plus éclatante preuve pouvait-il donner de son estime et de sa confiance? Mais que répondit-on en Angleterre à tant de magnanimité? On feignit de tendre une main hospitalière à cet ennemi, et quand il se fut livré de bonne foi, on l'immola.
Page 458 - Nous n'avons pas été vaincus. Deux hommes sortis de nos rangs ont trahi nos lauriers, leur pays, leur prince, leur bienfaiteur. « Ceux que nous avons vus pendant vingt-cinq ans parcourir toute l'Europe pour nous susciter des ennemis, qui ont passé leur vie à combattre contre nous dans les rangs des armées étrangères en maudissant notre belle France, prétendraient-ils commander et enchaîner nos aigles, eux qui n'ont jamais pu en soutenir les regards?