Le traité de Paris du 20 novembre 1815: I. Les cent jours. II. Les projets de démembrement. III. La Sainte-Alliance. Les traités du 20 nov |
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... juger par ce qu'il a fait . Il a pris possession de la plus grande partie de l'Eu- rope . Il a fait son fils roi de Rome , son beau - fils vice - roi d'Italie , son frère roi de Hollande , son beau - frère roi de Naples . Il a em ...
... juger par ce qu'il a fait . Il a pris possession de la plus grande partie de l'Eu- rope . Il a fait son fils roi de Rome , son beau - fils vice - roi d'Italie , son frère roi de Hollande , son beau - frère roi de Naples . Il a em ...
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... juger par elle- même ; rien ne l'a plus blessée en 1815 que la reprise de ces objets , et cependant ils ne représentaient pour elle qu'une conquête récente ; ils étaient au contraire pour les peuples auxquels Napoléon les avait enlevés ...
... juger par elle- même ; rien ne l'a plus blessée en 1815 que la reprise de ces objets , et cependant ils ne représentaient pour elle qu'une conquête récente ; ils étaient au contraire pour les peuples auxquels Napoléon les avait enlevés ...
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... juger d'après cette correspondance du ton que prenaient les réclamations des petits États . Les plénipoten- tiaires anglais tâchaient de les ramener à la modération ; ils les engageaient à attendre , à s'en rapporter à la bien ...
... juger d'après cette correspondance du ton que prenaient les réclamations des petits États . Les plénipoten- tiaires anglais tâchaient de les ramener à la modération ; ils les engageaient à attendre , à s'en rapporter à la bien ...
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... juger de leurs passions par le langage que tenait alors un homme que rien ne rat- tachait à eux et qui se posait même en admirateur du génie français , Joseph de Maistre . Il écrivait au gouvernement Sarde , au mois d'août 1815 : < C ...
... juger de leurs passions par le langage que tenait alors un homme que rien ne rat- tachait à eux et qui se posait même en admirateur du génie français , Joseph de Maistre . Il écrivait au gouvernement Sarde , au mois d'août 1815 : < C ...
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Common terms and phrases
20 NOVEMBRE 25 mars Alexandre Allemands alliance Angeb anglais août armées Arndt aurait avaient Blücher Bonaparte Bourbons c'était çais Cent-Jours cessions territoriales choses coalition congrès de Vienne conquête contribution de guerre Czar déclara défensive démembrement diplomatique disait-il duc de Richelieu duc de Vicence duc de Wellington états fallait Fleury de Chaboulon force forteresses Fouché fran frontières garanties général Gentz écrivait Gervinus gouvernement royal Hardenberg hommes d'état intérêts j'ai jours l'Allemagne l'Alsace l'Angleterre l'armée l'Autriche l'empereur de Russie l'empire l'Europe l'histoire l'île d'Elbe l'opinion laisser Lord Castlereagh Lord Liverpool Lorraine Louis XVIII Madame de Krüdner mémoire menace ment Metternich militaire millions ministre modération montrait Montrond n'avait n'était Napoléon nation française nationale négociations paix pays Pays-Bas pensée Pertz peuple plénipotentiaires politique pouvait Pradt principe Prusse Prussiens puissances alliées Restauration rétablir révolution s'était Sainte-Alliance Schaumann sentiments sera seul souverains Stein Talleyrand territoire tion traité du 25 troupes vaincu vait Villemain
Popular passages
Page 113 - États dont les gouvernements ont placé leur confiance et leur espoir en elle seule, ayant acquis la conviction intime qu'il est nécessaire d'asseoir la marche à adopter par les puissances dans leurs rapports mutuels sur les vérités sublimes que nous enseigne l'éternelle religion du Dieu sauveur, Sont convenues des articles suivants : ART.
Page 6 - L'attente qui m'avait décidé au plus grand des sacrifices avait été trompée. Je suis venu, et du point où j'ai touché le rivage, l'amour de mes peuples m'a porté jusqu'au sein de ma capitale. « Le premier besoin de mon cœur est de payer tant d'affection par le maintien d'une honorable tranquillité. Le rétablissement du trône impérial...
Page 73 - ... et d'agir à cet égard dans le plus parfait accord avec ses alliés, l'empereur est néanmoins convaincu que les devoirs que lui impose l'intérêt de ses sujets, ainsi que les principes qui le guident , ne lui permettraient pas de prendre l'engagement de poursuivre la guerre dans l'intention d'imposer un gouvernement à la France.
Page 20 - L'homme qui, après tout, connaît le mieux ce siècle « et le monde, les cabinets et les peuples '. » L'émissaire parla longtemps sur ce ton, pour tâcher de se persuader lui-même, racontait-il un soir, en 1830. Mais un mot, accompagné d'un froid sourire, l'avait 1 mémoires d'un ministre du trésor public, t.
Page 113 - Conformément aux paroles des saintes écritures qui ordonnent à tous les hommes de se regarder comme frères, les trois monarques contractants demeureront unis par les liens d'une fraternité véritable et indissoluble, et se considérant comme compatriotes, ils se prêteront en toute occasion et en tout lieu assistance, aide et secours; se regardant envers leurs sujets et armées comme pères de famille, ils les dirigeront dans le même esprit de fraternité, dont ils sont animés pour protéger...
Page 29 - N'imitons pas l'exemple du Bas-empire, qui, pressé de tous côtés par les barbares, se rendit la risée de la postérité en s'occupant de discussions abstraites, au moment où le bélier brisait les portes de la ville.
Page 8 - En rompant ainsi la convention qui l'avait établi à l'île d'Elbe, Bonaparte détruit le seul titre légal auquel son existence se trouvait attachée. En reparaissant en France, avec des projets de troubles et de bouleversements, il s'est privé lui-même de la protection des lois, et a manifesté, à la face de l'Univers, qu'il ne saurait y avoir ni paix, ni trêve avec lui.
Page 28 - ... coups contre ma personne. Si je ne voyais que c'est à la patrie qu'ils en veulent, je mettrais à leur merci cette existence contre laquelle ils se montrent si acharnés. Mais dites aussi aux...
Page 119 - ... de renouveler, à des époques déterminées , soit sous les auspices immédiats des souverains , soit par leurs ministres respectifs , des réunions consacrées aux grands intérêts communs et à l'examen des mesures qui , dans chacune de ces époques , seront jugées les plus salutaires pour le repos et la prospérité des peuples , et pour le maintien de la paix de l'Europe.
Page 19 - D'ailleurs je désire la paix, et je ne l'obtiendrai qu'à force de victoires. Je ne veux pas vous donner de fausses espérances; je laisse dire qu'il ya des négociations: il n'y en a point. Je prévois une lutte difficile, une guerre longue.