Son ouverture par Louis XVIII. 779 (1815). Sa | SIJAS, chef des jacobins ; la convention décrète son arresclôture. 790 (1816). De 1816. 793 (1816). - De 1817. 798 (1817). De 1848. 804 (1818). 4819. 818 (1819). De 1820. 835 (1820). - De . De De De 4821. 838 (1821). De 1822. 841 (1823). — 1824. 844 (1824). — De 1825. 850 (1825). 1826.875 (1826). - Ses derniers travaux. 880 (1826). De 1827. 884 (1827). De 1828. 905 (1828). Sa clôture. 921 (1829).- De 1829. 933 (1829). - De 1830; son ouverture. SHERIDAN, célèbre membre du parlement d'Angleterre, demande compte des sommes mises à la disposition des ministres anglais pour faire la guerre à la France; sa belle réponse à Pitt au sujet de Quiberon. 459 (An IV). SIDI-FERRUCH (baie de). L'expédition d'Alger y débarque. 958 (1850). SYDNEY-SMITH (l'amiral), défend Saint-Jean-d'Acre contre Bonaparte. 561 (An VIII). Fait parvenir à Bonaparte les journaux français. 562 (An VIII). — Refuse d'exécuter la convention d'El-Arich; sa lettre à Kléber. 594 (An VIII). SIEYES (l'abbé), membre de l'assemblée constituante, rédige l'arrêté de constitution des députés du tiers. 5 (1789). Ses belles paroles à l'assemblée nationale après le départ du roi. 40 (1789). Est nommé membre de la commission de la constitution. 23 (1789). Est du côté gauche de l'assemblée constituante. 48 (1789). - Donne le plan de la division de la France en départements. 74 (1789). Quitte les jacobins et fait partie des quatre-vingt-neuf. 93 (1791). Également étranger aux jacobins et aux girondins. 487 (1792). Son vote sur la peine à infliger à Louis XVI. 230 (An I). — Il est chargé d'un rapport sur le ministère. 233 (An I). — Est nommé membre de la commission qui doit reviser la constitution de 1795. 423 (An III). Éclaire de ses lumières la discussion de la constitution de l'an III. 433 (An III). proche de la montagne et rentre dans ses rangs. 443 (An III). Est nommé membre du directoire; il refuse; on le remplace par Carnot. 449 (An IV). — Est créé membre de la commission chargée de présenter les mesures les plus efficaces pour préserver la constitution. 528 (An VI). - Est nommé ambassadeur à Berlin. 542 (An VI). - Remplace Rewbel au directoire; les patriotes se repentent de l'avoir nommé; il est surveillé par eux. 552 (An VII). Se rap Redoute l'énergie des patriotes; il fait fermer le club du manége; il fait renvoyer Bernadotte et Marbot; attire Barras à son opinion; mcsures qu'ils prennent contre la presse. 558 (An VII).- II est la bête noire de Bonaparte; les politiques, ou modérés, le font leur chef; il s'abouche avec Bonaparte et arrête avec lui le renversement de la constitution. 565 (An VIII). — Son entrevue avec Bonaparte pour arrêter le plan de la conspiration contre la constitution; leur projet ; mesures qu'ils doivent employer. 563 (An VIII). — Monte à cheval et se rend aux Tuileries le 48 brumaire. 564 (An VIII). — Donne sa démission de directeur. 566 (An VIII). · Veut qu'on fasse arrêter quarante membres des conseils; Bonaparte s'y oppose. 568 (An VIII). Est nommé consul. 573 (An VIII). Son désappointement en voyant Bonaparte président de la commission consulaire; mot de lui sur Bonaparte. 578 (An VII). Son plan de constitution; son entrée au sénat. 579 (An VIII). tation. 574 (An II). SILLERY, conventionnel, assiste à un comité secret chez Santerre, la nuit du 19 au 20 juin 1792. 158 (1792).— Son renvoi devant le tribunal révolutionnaire est demandé par Robespierre. 258 (An I). - Lejeune demande son arrestation. 295 (An II).- Est mis en jugement. 511 (An II). — Comparaît au tribunal révolutionnaire. 323 (An II). Condamné à mort, s'écrie que c'est le plus beau jour de sa vie. Son exécution. 325 (An II). SOCIETES POPULAIRES. Services qu'elles rendent à la république. 297 (An II). Elles vont demander à la convention des mesures rigoureuses contre les aristocrates. 298 (An II). Elles montrent la plus vive ardeur pour la défense de la patric. 308 (An II). Robespierre acquiert une grande influence sur elles. 536 (An II).—Se rendent à la convention pour réclamer la mise en liberté des députés patriotes. 341 (An II). —Ne cessent de faire des dons à la république. 345 (An II).—Elles assistent en masse à la translation des cendres de Jean Jacques Rousseau et de Marat au Panthéon. 394 (An II). SOIXANTE-TREIZE (les). On désigne par ce mot les dépu tés signataires de la protestation du juin; ils sont placés en état d'arrestation chez eux; les scellés sont mis sur leurs papiers. 311 (An II). gnards veulent qu'on les mette en accusation; Robespierre prend leur défense. 312 (An II). — Les thermidoriens hâtent le rapport de leur affaire; orage qui s'élève à cette proposition. 406( An III). -La convention les rappelle dans son sein par un décret du 18 bru. maire. 407 (An III). SOLEIL (Compagnies du). Bandes de brigands, organisécs par les royalistes du Midi; crimes, assassinats qu'ils commettent. 434 (An III). SOLEURE (ville de), capitule, et se rend au général Brune. 541 (An VI). SOMBREUIL (de), gouverneur des Invalides. 19 (1789) SOMBREUIL, jeune émigré, commande les émigrés à Quiberon. 452 (An III). SOMMERING (le), est occupé par l'avant-garde de Masséna. 542 (An V). SOMMARIVA (le marquis de), soulève vingt mille paysans en Italic et attaque les Français. 593 (An VIII. SOSPELLO (ville de), est reprise par les soldats républicains des Alpes-Maritimes. 207 (An I). SOUBLEYRAC, vice-président du tribunal sévolutionnaire, est nommé membre de la commission instituée par l'arrêté du 2 prairial. 364 (An II). SOUBRANY, conventionnel; le peuple des faubourgs le demande pour général; il est arrêté et décrété d'accusation. 427 (An III). Sa condamnation; son suicide; services qu'il avait rendus. 429 (An III). SOUHAM (le général), aide de camp de Morcau, prend il bat les Autrichiens; prend Furnes et MeCourtray; nin. 364 (An II). Est chargé avec Macdonald de soumettre la Flandre hollandaisc; ses succès dans ce pays. 408 (An III). — Sa division n'est pas entamée à la bataille de Stockach. 550 (An VII). Se distingue au combat de Vick; il y est blessé. 664 (1810). - Se distingue à la bataille de Lutzen. 694 (1815).-Est blessé à Leipzick. 700 (4845).-Est chargé d'exécuter la convention conclue par Marmont; il laisse Napoléon à dé couvert à Fontainebleau. 717 (1814). (An VII). — Macdonald lui donne le temps de se placer entre les deux armées françaises. 557 (An VII). — II fait sa jonction avec le général Kray; bataille de Novi; retraite de l'armée française. 557 (An VII). — Sa lenteur à la poursuivre sauve l'armée française d'Italie. 557 (An VII). — Il s'avance en Suisse, et s'annonce comme le libérateur, le rédempteur de ce pays. 559 (An VII). -Se trouve enfermé dans la vallée de la Reuss; il pénètre par un chemin affreux dans celle de Mecthental; il est attaqué de tous côtés par Masséna; il perd la moitié de son armée. 560 (An VIII). Souveraineté du peuPLE. Elle est proclamée. 192 (1792). SMOLENSK (bataille de), est gagnée par Napoléon; ses détails; noms des généraux qui s'y sont distingués. 678 (1842). SPANDAU (ville de), capitule et se rend à Lannes. 620 (1806). SPINOLA (le marquis de); il est le principal organisateur des rassemblements des barbets; son château est rasć. 472 (An IV). SOUILIÉ, est exclu de la représentation nationale. 575 SPIRE, tombe au pouvoir de l'armée républicainc. 197 (An VIII). (An I). - Est reprise par les Français. 543 (An II). STAEL (madame de), fille de Necker; elle se retire à Coppet avec son père. 88 (4790). - SOULT (le général); part glorieuse qu'il prend à la bataille de Stockach. 549 (An VII). — Prend part à la bataille de Zurich. 559 (An VIII). Bat les généraux Hotze et Pertrasch. 560 (An VIII).-Est nommé maréchal de France. 615 (1804). - Entre à Augsbourg. 620 (1805). Commande l'aile gauche à Austerlitz. 621 (1805). Est fait duc de Dalmatic. 623 (1806). — Écrase les Prussiens à Greussen 627 (1806). Avec Murat et Bernadotte, anéantit le reste de l'armée prussienne à Lubeck. 627 (1806). — Détruit l'armée anglaise devant la Corogne; prend la Corogne et Vigo. 652 (1809). Entre à Lisbonne, et soumet tont le Portugal. 652 (1709). — Evacue le Portugal, et perd son artillerie. 657 (1809). Occupe toute l'Andalousic. 664 (1840). — Aidé de Marmont, force Wellington à lever le siége de Badajoz. 669 (1810). Est envoyé, en Espagne pour y prendre le commandement supćrieur. 696 (1813). Prend le commandement de l'armée d'Espagne ; il envoie quarante mille hommes dans le Nord; il échoue dans la tentative qu'il fait pour ravitailler Pampelune; il rentre en France. 696 (1813). – Défend le terrain pied à pied contre Wellington, 699 (1813). Est forcé de se retirer devant l'armée de Wellington; il opère sa retraite sur Toulouse; il livre la bataille d'Orthez; il met en déroute l'armée portugaise à Tarbes. 709, 710 (1814). — Bataille de Toulouse; il conclut à Castelnaudary un armistice avec Wellington; il remet le commandement à Suchet; il envoie son adhésion au nouveau gouvernement. 725 et suiv. (1814). Est nommé ministre de la guerre par les Bourbons, peu de temps avant le débarquement de Napoléon de l'île d'Elbe; est remplacé par Clarke au ministère; accusation que les royalistes portent contre lui. 758 (1845). STADION (le comte de), est le plénipotentiaire russe au congrès de Châtillon. 705 (1814). STANHOPE (le pair, lord); son opinion inhumaine concernant la France. 804 (1848). STAQUELLI (bataille de); les Arabes y sont battus par les Français. 959 (1830). STENGEL (le général), est tué à la bataille de Mondovi. 462 (An IV). STEPHENWERTH (le fort de), est pris par Jourdan. 409 (An III). STEVENOTTE, est exclu de la représentation nationale. 573 (An VIII). STOCKACH (bataille de); elle est gagnée par le prince Charles sur l'armée française; ses détails; ses résultats. 549 (An VII). STOFFLET, commande un corps de Vendéens. 265 (An II). - Ranime l'insurrection de la Vendée; il s'empare, avec les autres chefs, de plusieurs villes. 544 (An II). - Recrute de nouvelles forces; son hésitation compromet l'armée de Charrette, qui est dispersée. 455 (An IV). Recueille tous les officiers qui abandonnent Charrette et Sapinaud; il adresse une proclamation aux Vendéens; lettre qu'il écrit aux princes. 456 (An IV). — Voit avec plaisir la destruction de l'armée de Charrette, son rival. 456 (An IV). — Est attaqué par Hoche; ses troupes sont dispersées; il est livré par les siens. 457 (An IV). — Ses qualités; importance de sa prise; il est livré à une commission militaire; sa condamnation; sa mort. 457 (An IV). STOKOLM, Gustave, roi de Suède, y est assassinć. 445 (1792). gal. 659 (1807). SOUSCRIPTION NATIONALE. Elle est fait en faveur de la STRANGFORT (lord), est l'ambassadeur anglais en Portuveuve et des enfants du général Foy. 872 (1825). SOUVAROW, général russe, commande l'armée russe en Italie. 549 (An VII). Commande l'armée austrorusse en Italie, forte de cent dix mille hommes. 556 (An VII).-Il bat l'armée de Moreau à Cassano; la division Serrurier est prise par lui. 556 (An VII). — Bataille de la Trebbia; il poursuit les Français; la jonction des armées françaises le force à s'arrêter, 557 STRASBOURG (ville de), manque d'être livrée aux ennemis. 520 (An II). Fournit des volontaires à l'armée du Nord. 529 (An II). Est dotée d'une école de médecine par la convention. 400 (An II). STURA (vallée de la); l'armée d'Italie s'en empare. 369 (An II). SUARD, écrivain rovaliste, excite les sections contre la SUCCESSIONS ET SUBSTITUTIONS, sont proposées par Pey- SUCHET (le général), contient le général Mélas sur le T TAGLIAMENTO (bataille du). Elle est gagnée par Bonaparte sur le prince Charles; ses détails. 509 (An V). Prend Tarragone; la garnison est passée au fil de. l'épée; il bat le général Black; Šagonte se rend à lui ; importance de ce poste; capitulation de Valence et du camp de Quarte; il est fait maréchal et duc d'Albufera. 670 (1814).-Fait lever le siége de Tarragone au général Murray; il est forcé d'évacuer le royaume de Valence; il s'établit dans l'Aragon et la Catalogne. 696 (1813). — Reproche qu'on lui adresse au sujet de la ba-TAILLEFER, conventionnel, est nommé commissaire pour taille de Toulouse; il prend le comınandement de l'armée de Soult; sa soumission au nouveau gouvernement des Bourbons. 726 (1814). SUÈDE. Elle n'a pas des dispositions très-sûres à l'égard de SURVEILLANCE (comité de), formé dans le sein de la législative; ses attributions. 137 (1792). SUSPECTS. Un comité est établi pour empêcher leur évasion. 179 (1792).- Leur désarmement et leur incarcération sont arrêtés. 182 (1892). Ils remplissent de nouveau les prisons. 185 (1792). -Leur arrestation est proposée par les jacobins. 292 (An II). Leur définition; leurs catégories; listes qui doivent en être dressées; garanties qui leur sont données. 304 (An II). Leur alliance avec les thermidoriens détache de ce parti plusieurs députés qui avaient voté pour le renversement de Robespierre. 599 (An II). l'exécution du décret de la levée en masse. 293 (An II). TALLEYRAND, évêque d'Autun, est nommé membre de la -Fait cesser les troubles de la Lozère. 327 (An II). commission de la constitution. 23 (1789). — Fait une motion importante sur les biens ecclésiastiques. 66 (1789). Teneur de cette motion; il la développe. 69 (1789). Fait son rapport relatif à la demande des districts et de la commune de Paris. 80 (1790). — Célèbre la messe, en habits pontificaux, dans le Champde-Mars. 84 (4790). Les ecclésiastiques amis des libertés publiques et lui prêtent serment à la constitution civile du clergé. 91 (1790). Est nommé ministre des affaires étrangères. 523 (An V). - Présente Bonaparte aux directeurs; il le peint comme un homme sans ambition dans le discours qu'il prononce à la fête donnée par le directoire. 538 (An VI). · Est remplacé aux afFréfaires étrangères par Reinhard. 555 (An VII). quente la maison de Bonaparte à son retour d'Égypte. 565 (An VIII).- Est dépêché, avec l'amiral Bruix, auprès de Barras pour l'engager à donner sa démission. 566 (An VIII). – Remplace Reinhard au ministère des affaires étrangères. 578 (An VII). Sa lettre à lord Granville, concernant les négociations entamées entre Bonaparte et l'Angleterre. 583 (An VIII). —Napoléon veut s'assurer de lui avant son départ pour l'armée. 704 (1844). Préside le sénat pour la nomination d'un gouvernement provisoire et la déchéance de Napoléon; il fait partie du gouvernement provisoirc. 713 (1844). Est nommé ministre des affaires étrangères. 728 (1814). Soutient le principe de la légitimité au congrès de Vienne. 734 (1815). Est excepté de l'amnistie. 739 (1845). — Préside le conseil des ministres. 772 (1815). Donne sa démission. 779 (1815). TALLIEN, Conventionnel. Reproches qu'il adresse à Pétion. 232 (An I). Son opinion relative à l'accusation portée contre Marat. 239 (An I). - Est nommé commissaire pour le décret de la levée en masse. 295 (An II). Appuie la réintégration du général Rossignol. 503 (An II). Est envoyé à Bordeaux par la convention. 527 (An II). — Est forcé d'approuver silencieusement l'accusation des modérés. 555 (An II). Ses amis et lui attaquent, sous un prétexte, la loi du 22 prairial; Merlin (de Douai) fait adopter la question préalable. 367 (An II). Devient un ennemi implacable de Robespierre. 368 (An II). — Il jure avec ses amis la perte de Robespierre; Saint-Just demande sa punition. 372 (An II). Est attaqué par Robespierre à la tribune des jacobins. 372 (An II). Organise, dans la nuit du 8 thermidor, une coalition pour renverser Robespierre. 373 (An II). Interrompt, le premier, le discours de - Français. 546 (An VII). TERRIER de Montciel, est nommé ministre de l'intérieur, 157 (1792). TERREUR (la). Elle est mise à l'ordre du jour par la convention; le peuple de Paris ne s'en aperçoit pas. 369 (An II). Saint-Just, le 9 thermidor; il monte à la tribune après | TERNI (combat de). Les Napolitains y sont battus par les TERRORISTES. Ce nom est donné aux patriotes après le Entre en fureur en entendant Lanjuinais traiter la journée du 13 vendémiaire d'horrible massacre; il se rapproche de la montagne et se place au sommet. 443 (An III). S'oppose à la rentrée dans la convention des patriotes mis en accusation. 443 (An III). - Est d'avis d'attaquer les élections. 444 (An III). Sa dénonciation contre les députés royalistes; son discours. 444 (An III). Son attitude et ses discours prouvent qu'il s'est sincèrement rallié aux montagnards; le côté droit s'en alarme. 446 (An III). Fait créer une commission de cinq membres chargée de présenter les mesures réclamées par les circonstances; les montagnards y ont la majorité. 446 (An III). · Au lieu d'attaquer, ne peut faire autre chose que se défendre à la séance du er brumaire. 447 (An III). Est soupçonné d'avoir trempé dans une conspiration royaliste; il le nie. 494 (An V). -- TALMONT, est rendu à la liberté sous le consulat. 584 (An VIII). TALON cherche à gagner des partisans au roi à force d'or. 98 (1791). Est compromis par les papiers de l'armoire de fer. 249 (An I).- Demande inutilement qu'il soit pris de suite des mesures à l'égard des contre-révolutionnaires. 589 (An II). TALOT, est exclu de la représentation nationale. 573 TARBES (ville de). Soult y met en déroute l'armée portu- TARGET, député, porte au clergé la sommation de Mirabeau. 4 (1789). - Fait la lecture de la proclamation de pacification. 37 (1789). Combat le cens de l'éligibilité. 72 (1789). Est choisi pour défenseur de Louis XVI; il refuse cette tâche. 221 (An I). TARRAGONE (la ville de), est prise d'assaut par Suchet; la garnison est passée au fil de l'épée. 670 (1814). TAUFERS (combat de). Lecourbe y bat les Autrichiens. 550 (An VII). TÉLÉGRAPHE. Il est inventé par Chappe; la convention en décrète l'établissement. 296 (An II). THERMIDORIENS. Ils échouent dans leur première attaque des jacobins est décrétée. 405 (An II).-Causes de leur | triomphe sur les jacobins, 405 (An II). - Håtent le rapport sur les soixante-treize représentants girondins mis en accusation; orage soulevé à cette proposition. 406 (An III). Obtiennent qu'il sera fait un rapport sur les soixante-treize. 407 (An III). — Propoposent de suspendre la vente des biens, et de réviser le procès des condamnés. 411 (An III). — S'acharnent contre les anciens membres des comités, et demandent chaque jour leurs têtes. 444 (An III). — Diverses motions réactionnaires qu'ils font. 443 (An III). - Sollicitent la réintégration des députés mis hors la loi; noms de ces députés. 414 (An III).. S'opposent avec chaleur à l'adoption du décret d'exclusion des députés mis hors la loi; ils sont accusés de vouloir rétablir le petit Capet. 444 (An III). Entament le procès de BillaudVarennes, Collot d'Herbois et Barrère. 446 (An III). Sont stupéfaits par la motion de Lecointre, qui demande la mise en activité de la constitution; leurs reproches à ce député; mesure évasive qu'ils font adopter. 446 (An III). — Accusent le reste de la montagne de l'insurrection du peuple. 449 (An III). — Abandonnent leurs bancs le 12 germinal, lors de l'invasion de la salle des séances par le peuple. 449 (An III). — Demandent d'autres proscriptions. 420 (An III). — Conspiration contre eux, formée par les jacobins. 424 (An III). Leur alliance avec les soixante-treize conventionnels réintégrés leur donne la majorité. 443 (An III). Leur rupture avec les soixante-treize est complète. 446 (An III). THEROIGNE (la demoiselle). Son ardeur patriotique. 73 (4789). THIBAULT, curé de Souppes, offre de sacrifier le casuel, 42 (1789). .1 THIBAUDEAU, Conventionnel, demande l'ajournement de la loi sur l'affiliation des sociétés populaires. 596 (An II).-Son opinion dans ses Mémoires sur le procès Est fait à Barrère et à ses collègues. 447 (An III). nommé membre de la commission chargée de reviser la constitution de 1793. 423 (An III).—Sa vive allocution aux députés pendant les orages de la séance du 4er prairial. 426 (An III). — Excès qu'il reproche dans ses Mémoires aux royalistes du Midi. 431 (An III). — S'oppose au décret sur la composition du directoire. 437 (An III). S'oppose à la motion de Pérard contre les royalistes. 442 (An III).—Les royalistes lui donnent le nom de Barre-de-Fer, dont il s'enorgueillit. 443 (An III). Est entré au comité de salut public, au moyen d'une coalition des thermidoriens avec les soixante-treize députés réintégrés. 443 (An III). Gêne les montagnards au comité de salut public. 446 (An III). — Attaque Tallien à la séance du er brumaire; son discours. 447 (An III). — Est nommé secrétaire du conseil des cinq-cents. 550 (An IV).-Ramène les constitutionnels aux voies légales contre le directoire. 523 (An V). Ce qu'il dit de la journée du 18 fructidor. 527 (An VI). TRIBAUT, conventionnel, demande que tous les jacobins soient condamnés. 387 (An II). - THIBOLOT, greffier de la municipalité de Vitry, est nommé membre de la commission instituée par l'arrêté du 22 prairial. 364 (An II). THIERS, écrivain libéral, auteur de l'Histoire de la Révolution. Peinture qu'il fait de l'état de la France à l'époque du directoire. 505 (An V). - THIRION, conventionnel, appuie la pétition qui demande l'exclusion des girondins. 260 (An II). S'oppose inutilement aux décrets proposés par la commission des douze. 269 (An II). — Il se déchaîne contre les fourPresse Ronisseurs et les généraux. 299 (An II). bespierre de nommer ceux qu'il accuse. 573 (An II). – Est décrété d'arrestation. 430 (An III). - Demande sa mise en liberté ou son jugement. 442 (An III). THISTLEWOon (Arthur), chef de la conspiration de Londres, 828 (1820). - Lui et ses complices sont arrêtés, jugés et exécutés. 828 et 829 (1820). THOMAS, Conventionnel, ne vote pas la peine de mort, lui troisième de son département. 230 (An I). THOMASSIN, est sauvé par l'évêque de Chartres de la rage du peuple. 30 (1789). THOMÉ, grenadier, ne reçoit pas de blessure en défendant Bonaparte au conseil des cinq-cents. 570 (An VIII). THOURET, député, se joint au côté gauche, et développe les avantages de la motion de Talleyrand. 69 (1789).— A la tête de la députation, offre au roi l'acte constitutif. 148 (1794). THOUIN, est nommé professeur de l'École normale. 399 (An II). Fait partie de l'expédition d'Égypte. 541 (An VI). THURIOT, Conventionnel; il demande la peine de mort contre quiconque proposera de diviser l'unité de la république. 216 (An I). — Rompt avec la gironde et passe à la montagne. 248 (An I). — Il combat le sursis éncrgiquement. 230 (An I). Reproche qu'il adresse aux girondins. 232 (An I). Accusation qu'il porte contre Pétion. 252 (An I). Défend la liberté commerciale. 238 (An I). Il est nommé suppléant au comité de salut public. 255 (An I). Ses conseils aux patriotes et aux sections. 256 (An I). S'oppose à la présentation d'un rapport du comité des douze; il demande la suppression de ce comité; il est appuyé par Danton. 273 (An II). Fait partie du comité de salut public. 286 (An II). Dénonce le fédéralisme à la tribune; son discours. 279 (An II). — Donne sa démission de membre de comité du salut public. 306 (An II). - Se met à la tête du parti opposé au comité de salut public. 306 (An II). Est obligé de se justifier et d'affirmer qu'il est bon patriote. 508 (An H). — Demande, pour la commission des fournitures, la faculté de faire arrêter les prévaricateurs. 309 (An II). — Fait adopter la publication d'un journal destiné à recueillir les traits de vertu. 309 (An II). Son allocution pour la mise en jugement des girondins. 311 (An II). Appuie la motion sur le rapport du décret d'inviolabilité. 330 (AnII). Est expulsé du club des jacobins. 330 et 551 (An Il). Dément ses paroles sur la loi d'inviolabilité. 351 (An II). Fait décréter que tout citoyen est dispensé de payer un culte auquel il ne croit pas; but de cette mesure. 334 (An II). Est président de la convention; sa partialité contre Robespierre et ses amis, à la séance du 9 thermidor. 574 (An II).- Est réintégré sur la liste des jacobins. 379 (An II). Fait décréter l'ordre du jour motivé sur l'accusation de Lecointre |