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Ils insistent pour faire poursuivre les auteurs de la pétition de la Halle-aux-Blés. 257 (An I). Ils sont étourdis du coup que leur a porté Robespierre. 258 (An II). Leur faute en accusant Marat doit leur devenir funeste à cux-mêmes. 259 (An II). — Efforts tentés pour les réconcilier avec la montagne. 289 (An II). Faute qu'ils commettent en faisant décréter Marat d'accusation; précédent funeste qu'ils établissent en l'envoyant devant le tribunal révolutionnaire. 259 (An II). Camille Desmoulins demande leur exclusion volontaire ; ils s'y refusent; pétition de la commune de Paris, qui la réclame. 260 (An II). Dépit qu'ils éprouvent de l'acquittement de Marat. 262 (An II). -Ils repoussent la demande du maximum. 263 (An II). - Leurs accusations contre la montagne à l'occasion du décret du maximum. 264 (An II). Ils tentent de ressaisir leur influence sur les sections; leur projet est de renverser les clubs, la commune et la montagne. 266 (An II). Font nominer Isnard président de la convention; conséquences funestes pour eux de cette nomination; mesures qu'ils font adopter à la convention. 267 (An II). Ils adoptent la nomination d'une commission de douze membres pour la recherche des conspirateurs. 168 (An II). Ils mandent le ministre de l'intérieur à la barre; pétition de trois sections en leur faveur. 268 (An II). Ils réclament de grandes me

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sures contre le comité central révolutionnaire. 268 (An II). Ils font arrêter plusieurs présidents de section; Hébert est aussi incarcéré. 269 (An II).- Décrets qu'ils proposent par l'organe de la commission des douze. 269 (An II). Ils s'opposent à l'adoption d'une pétition votée contre cux dans les sections. 269 (An II). — Ils font rapporter le décret qui supprime la commission des douze. 274 (An II). Ils ne se rendent pas à la séance du 30 mai, instruits des dispositions des sections. 272 (An II). Philippique de Robespierre contre eux. 274 (An II). Ils se réunissent la nuit du 1er au 2 juin, et se séparent sans rien arrêter. 275 (An II). L'insurrection du 2 juin décide les montagnards à agir contre eux. 275 (An II). Couthon demande leur misc en arrestation chez eux ; la convention rend un décret dans ce sens. 276 et 277 (An II). — L'entêtement et l'amour-propre de leurs chefs ont amené l'insurrection du peuple. 277 (An II).

Considérations sur le coup d'état qui frappe les principaux d'entre eux; causes de la fin tragique qui les atteignit plus tard. 277 (An II). Ils s'échappent de leur prison et se rendent dans leurs départements pour les exciter à la révolte. 279 (An II).—Les faits qui s'accomplissent les accusent d'être les fauteurs du fédéralisme. 280 (An II). — La guerre civile s'allume entre leurs partisans et les montagnards. 281 (An II). — Ils se dirigent sur les villes insurgées pour les exciter. 281 (An II). Situation dans laquelle ils laissent la république. 284 (An II). Ils forment à Caen, au moyen d'envoyés de plusieurs départements, une assemblée centrale de résistance à l'oppression. 285 (An II). Ils décident que chaque département fournira son contingent pour marcher sur Paris; Wimphen est nommé général-en-chef de cette armée. 285 (An II). — Ils dé

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signent Évreux pour rendez-vous géneral des forces 18déralistes. 285 (An II). — Ils repoussent avec horreur les propositions de Wimphen, qui veut les aboucher avec les Anglais; ils se rendent dans les environs de Brest, et s'y cachent. 288 (An II). Les jacobins demandent leur mise en jugement; anathème lancé contre eux par Billaud-Varennes; pétition présentée à la convention pour hâter leur jugement. 510 (An II). L'accusateur public reçoit l'ordre de presser leur procès; leur acte d'accusation. 523 (An II). Opinion d'un ancien montagnard sur leur procès. 524 (An II). Raisons pour lesquelles les témoins se posèrent comme leurs accusateurs. 324 (An II). — Une dépotation de quatre cents sociétés populaires demande leur condamnation. 325 (An II). - Ils se perdent par leur système de défense. 525 (An II).- Sont condamnés à mort; scène déchirante et sublime. 525 (An II). - Marchent à la mort en chantant la Marseillaise. 326 (An II). GIRONNE (ville de), est prise par Augereau; troupes et matériel tombés au pouvoir des Français. 662 (4809).

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GoDoi (prince de la Paix, premier ministre espagnol); son impéritie et son animosité contre la révolution française. 235 (An I). Appelle les Espagnols aux armes par une proclamation. 624 (1806). — Le traité de Fontainebleau lui adjuge une partie du Portugal en souveraineté ; son parti à la cour d'Espagne. 659 (1807) Dangers qu'il court dans un soulèvement; pillage de son hôtel. 641 (1808). GOGUELAT (le baron de), tente inutilement de délivrer le roi; il est blessé d'un coup de pistolet. 109 et 140 (1791).

GOHIER (de la Sarthe, député); nombre de voix qu'il obtient comme candidat au directoire. 530 (An VI). — Accuse dans ses Mémoires la reine de Naples, de l'assassinat des plénipotentiaires français. 554 (An VII); Remplace Treilhard au directoire; ses qualités; ses défauts. 553 (An VII). — Sa médiation entre les conseils et Lareveillère; il n'obtient pas de résultat. 554 (An VII). — Appuie les motions des patriotes à la nouvelle du désastre des armées. 558 (An VII) — Réception froide qu'il fait à Bonaparte, à son retour ¿ÉRypte. 562 (An VIII). Propose le commandement d'une armée à Bonaparte, dans le but de l'éloigner; i est refusé; Bonaparte endort sa défiance par ses égards et ses déférences. 563 (An VIII). Se refuse à violer

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Ja constitution pour faire entrer Bonaparte au directoire. 563 (An VIII). — Ne veut pas croire à la conspiration tramée par Bonaparte 564 (An VIII). — Bonaparte l'invite à dîner chez lui le 48 brumaire, pour mieux le tromper sur ses projets. 564 (An VIII). — Se refuse à reconnaître l'autorité de Bonaparte; il va avec Moulins sommer ses autres collègues de se joindre à eux; son colloque avec Sièyes et Bonaparte; il revient au Luxembourg, où il est prisonnier. 566 (An VIII).

GOLYMIN (le combat de); ses détails; acharnement des combattants; les Russes se retirent sur Ostrolenka, 629 (1806).

GOMMAIRE, conventionnel, fait partie de la commission des Douze. 268 (An II). Est décrété d'arrestation. 277 (An II).

GONOR, un des vainqueurs de la Bastille, agitateur en sous-ordre dans les faubourgs. 457 (1792). GORAND (député des cinq-cents), est exclus de la représentation nationale. 575 (An VIII), GORSAS (journaliste); ses dénonciations; effets qu'elles produisent. 55 (4789). Il est adjoint aux membres

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Les presses Il est dé

du comité insurrectionnel. 169 (1792). de son journal sont brisées. 243 (An I). crété d'arrestation. 277 (An II). - Proclame l'insurrection dans le département de l'Eure. 284 (An II). Saint-Just propose de le déclarer traître à la patric. 285 (An II).

GOSSEC, met en musique les Hymnes de Chénier pour la fête de la Liberté. 444 (4792).

GOSSUIN (conventionnel), fait un rapport remarquable sur les services que Voltaire a rendus à l'humanité. 414 (1794). Son rapport sur l'acceptation de la constitution par toutes les communes de France. 289 (An II).

Dénonce les brigandages des chauffeurs et de la compagnie de Jéhu. 494 (An V).

GOUGES (Olympe de), est condamnée par le tribunal révolutionnaire. 527 (An II).

GOUJON, conventionnel, s'oppose à la présentation du rapport sur les soixante-treize; son discours. 407 (An III). Se met à la tête du mouvement projeté contre les thermidoriens. 425 (An III). Est arrêté et décrété d'accusation le 1er prairial. 428 (An III).

Sa condamnation; son suicide; services qu'il avait rendus. 429 (An III).

GOUPIL DE PRÉFELN, député, est arrêté le 18 fructidor. 528 (An VI).

GOUPILLAU, conventionnel; son allocution aux prêtres et aux nobles qui murmurent dans l'assemblée. 89 (1790).

Il est à la tête du parti opposé au comité de salut public; il lui reproche le silence qu'il a gardé sur les revers des armées. 306 (An II). Est exclus de la représentation nationale le 19 brumaire. 573 (An VIII). GOURGAUD (le général), est admis à partager l'exil de Napoléon à Sainte-Hélène. 767 (4815).

GOUVERNEMENT OCCULTE. Il est au pavillon Marsan. 787 (484). Ses actes; ses manœuvres. 824 (1820). GOUVERNEMENT PROVISOIRE. Son adresse au peuple français ; il rassure les amis de la liberté ; les royalistes en sont mécontents. 744 (1814). Présente au sénat un projet de constitution. 746 (1844). - Décrète le port de la cocarde blanche; craintes de la population sur le retour des Bourbons. 747 et suiv. (1844).-Rend ses actes au nom du peuple français, après avoir proclamé Napoléon II. 758 (1815). — Il espère la paix ;

il s'efforce vainement d'empêcher l'entrée des alliés sur le territoire français. 758 (1813). Quel motif l'empêche de se transporter au-delà de la Loire. 763 (1845). Son message à la chambre des représentants. 765 (1815).

GOUVERNEMENT révolutionnaire. Son organisation, son mode d'action, ses principes, sont décrétés par la convention. 316 (An II).

GOUVION, chef d'état-major de La Fayette, fait connaître à l'assemblée les mesures prises en vain pour em- Il est tué par pêcher l'évasion du roi. 406 (1791). le canon ennemi; honneurs que lui rend la garde nationale de Paris. 156 (1792). Gouvion-Saint-Cyn, général de la république, prend le camp des Piémontais, à la baïonnette. 398 (An II). Ses belles manœuvres sauvent le corps qui bloquait Mayence; il opère sa retraite en bon ordre; il se replie sur l'armée du Nord. 455 (An IV). — Commande le centre de l'armée de Moreau sur le Rhin; il est dirigé sur la montagne Noire; il rejoint Moreau à Rastadt, et prend part à cette bataille. 475 (An IV). — S'illustre à la défense de Kell contre le prince Charles. 504 (An V). Ne peut pas prendre part à la bataille de Stockack; son corps reste intact. 549 (An VII). — Est nommé premier lieutenant de l'armée d'Italie. 584 (An VIII). Avantages qu'il remporte en Espagne. 652 (1809). - Bat l'armée russe à Polostk; il est fait maréchal d'empire. 679 (1812.) Repousse les attaques des Russes; il est grièvement blessé. 683 (1812). — Est laissé dans Dresde avec plus de 50,000 hommes. 699 (1815). Conclut une convention avec le général Klenau; le prince Schwartzemberg refuse de la ratifier; il est prisonnier avec ses troupes. 702 (1815).-Remplace au ministère de la guerre le duc de Feltre. 797 (1817). Sa belle organisation des vétérans. 800 (1818). Conserve le portefeuille de la guerrc. 805 (4849). GOUY D'ARCY, propose des moyens de répression contre les meurtriers. 31 (1789).

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GRANDE ARMÉE. Nom des princes, maréchaux ou généraux qui la commandent à la campagne de 1806. 625 (1806).

Sa composition à la campagne de 1812; généraux qui la commandent. 674 (1812). GRADISCA (ville de), est prise par Bonaparte. 509 (An V). GRAFFAN, égorge les prisonniers d'Uzès. 779 (1815). GRAMMONT, père et fils, sont exécutés à l'occasion de la conspiration dite des prisons. 557 (An II). Grangeneuve, conventionnel; son vote sur la peine à infliger à Louis XVI. 230 (An I). Est décrété d'arrestation. 277 (An II). Est mis en jugement. 514

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GRANVILLE (ville de), les Vendéens y sons repoussés. 329 (An II).

GRAVINA, commandant l'escadre espagnole à Trafalgar, y est blessé. 618 (1803).

GRÈCE. Son salut intéresse vivement tous les cœurs géné reux. 869 (1825).

GRÉGOIRE (l'abbé), député, estan des curés qui se réunissent au tiers. 5 (1789). - Dénonce les outrages faits par la cour à la cocarde tricolore 54 (1789).-Son opinion sur les biens du clergé. 69 (1789). - Combat

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le cens de l'éligibilité. 72 (1789). Sa profession de foi relative à la constitution civile du clergé. 94 (1791). -Combat l'inviolabilité du roi. 413 (1791).—Il appuie la motion de Collot; son discours énergique contre la royauté. 492 (4792). — Réponse qu'il fait à Lalande, président de la députation de l'académie des sciences. 210 (An I). Il fait à la convention son beau rapport sur la légitimité de la réunion de la Savoie à la France. 244 (An I). Il combat l'inviolabilité du roi; son discours. 242, 243 (An I). Il est en commission lors de l'appel nominal sur la culpabilité de Louis XVI. 228 (An I). Préside la convention le 30 mai; il invite les administrateurs de la commune aux honneurs de la séance. 274 (An II). Est chargé de la publication d'un journal destiné à recueillir les traits de vertu. 509 (An II). - Refuse d'abjurer le culte catholique. 333 (An II). — Son rapport sur la nécessité de rendre la langue française générale pour toute la république. 563 (An II).. Ses rapports sur les bibliothèques, et les encouragements aux gens de lettres et aux artistes. 400 (An II). — Demande le libre exercice de tous les cultes. 443 (An III). S'oppose au décret du sénat qui nomme Bonaparte empereur.- Est élu député à Grenoble. 846 (1819). - Son élection est attaquée; noms des principaux adversaires de ce député. 819 (1819). Son exclusion de la chambre ne satisfait aucun parti. 819 (1849).

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GRENADE (la ville de), se rend à Sébastiani. 664 (1810). GRENIER (le général). Sa division est mise en déroute à la bataille de Magnano. 550 (An VII). Est élu viceprésident de la chambre des représentants. 750 (1815). GRENOBLE (la ville de), est disposée à lever des troupes pour les envoyer au secours de Lyon. 284 (An II).

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Arrivée de Napoléon dans cette ville lors de son retour de l'île d'Elbe; décrets qu'il y rend. 720 (1815). Revolte des paysans de ses environs. 791 (1846).

GREENVILLE (lord). Sa réponse à la lettre de Bonaparte au roi d'Angleterre; sa réponse à Talleyrand. 583 (An VIII).

GR:ONON (le général), est décrété d'accusation. 390 (An II).

GRISONS (les). Les vallées de la Valteline se révoltent contre eux et se joignent à la république cisalpine. 533 (An VI).

GROCASSAND-DORIMOND, membre des conscils, sous le

directoire exécutif, est exclus de la représentation nationale, après le coup d'état du 18 brumaire. 573 (An VIII).

GROUCHY (le général). Part glorieuse qu'il prend à la bataille de Vauchamp. 706 (1814). — Consulte l'empeeur concernant la capitulation du duc d'Angoulême. 745 (1815). Ne reçoit pas assez tôt les ordres de Napoléon. 752 (1845). —On blâme son immobilité le jour de la bataille de Waterloo; son irrésolution. 755 (1815). - Sa retraite; il arrive à Laon. 755 (1815). GUADELOUPE (l'île de la), est rendue à la France par le traité du 50 mai; à quelles conditions. 729 (1814). GUADET, député girondin, fait partie du côté gauche de la législative. 120 (1791). – Son discours à la législative; sa proposition adoptée avec enthousiasme. 438 (1792). Sacrifie ses idées démocratiques et correspond avec Louis XVI. 142 (1792). — Appuie la mo tion de Bazire, et demande l'accusation de Brissot. 134 (1792). Partage l'avis de Vergniaux relativement à

la lettre de La Fayelto, 137 (1792).— Prend la défense do Santerre et des pétitionnaires armés. 160 (1692). — Son énergique réponse à La Fayette de retour de son armée. 164 (1692). Se tourne du côté de la république. 468 (1792). — Combat la proposition de Servan. 182 (1792). Il est accusé par Gasparin; motifs de cette accusation. 225 (An I). Il vote l'appel au peuple. 229 (An I). — Son vote avec un amendement sur la peine à infliger à Louis XVI. 230 (An I). — Il corabat la création d'un tribunal révolutionnaire. 243 (An I). Est déclaré traître à la patrie par plusieurs sections. 245 (An I). · Il est nommé membre du comité de salut public. 250 (An I). Il est dénoncé avec ses amis par la section de Bon-Conseil, comme complice de Dumouricz. 255 (An I). — Il est dénoncé par Robespierre comme complice de Dumouriez. 258 (An I). Nest accusé par Robespierre; il accuse lui-même Marat; son discours. 258, 259 (An I). Repousse l'accusation de Robespierre; son discours atténue l'effet produit par celui de Vergniaud; il accuse Marat de complicité avec Dumouriez. 259 (An II). Demande que la convention casse un arrêté de la commune par lequel elle se déclare en révolution. 261 (An II). Appuie la pétition menaçante des Bordelais; il dénonce les montagnards comme coupables de conspiration; il compare Legendre à Catilina. 265 (An II). Sa motion contre l'unité de la république n'est pas improvisée; elle a été élaborée dans le club de la gironde. 267 (An II). — Il s'emporte contre le peuple; allocution qu'il lui adresse; décrets qu'il propose tendant à dissoudre l'unité de la république. 267 (An II). Demande le rapport du décret de la suppression de la commission des douze; raisons sur lesquelles il se fonde. 271 (An II). — Irrite les montagnards en se déchaînant contre l'insurrection; il traite les montagnards de scélérats; il prétend que la convention n'est pas libre; il demande qu'on informe contre ceux qui ont soulevé le peuple. 273 (An II). - La commune demande sa mise en accusation. 274 (An II). Est décrété d'arrestation. 277 (An II). Quitte Evrenx et se rend à Caen. 285 (An II). Saint-Just demande sa mise en accusation. 285 (An II). - Les girondins le chargent des griefs qu'on leur impute. 325 (An II).

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GUILLAUME (le prince de Prusse), défend inutilement les faubourgs de Château-Thierry. 706 (1844). GUILLEMINOT (le général), accusé de dilapidation au sujet des marchés de la guerre d'Espagne. 881 (1826). GUILLOTIN, propose la salle du Jeu de Paume pour le lieu de la réunion de l'assemblée nationale. 6 (1789). GUITTON, est membre de la commission militaire qui condamne le duc d'Enghien. 643 (An XII). GUIZOT, émigre à Gand avec Louis XVIII. 747 (1815).

Parle contre l'amendement de Lorgeril. 933 (1830). GUYOMARD, conventionnel, combat le décret sur les députés mis hors la loi. 444 (An III).

GUSMAN, Espagnol, est mis en jugement avec les dantonistes. 554 (An II).

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GUYEUX (le général), s'enfermo dans un vieux bâtiment et refuse de se rendre, quoiqu'il n'ait ni pain, ni eau. 480 (An IV). Est dégagé par Sauret; il est envoyé à Salo pour reprendre cette ville et contenir Quasdanowich. 480 (An IV). Contribue au gain de la bataille d'Arcole. 487 (An IV). Remplace Augereau dans le commandement de sa division. 509 (An V). - Prend part à la bataille du Tagliamento; conduite qu'il y tient. 509 (An V). - Contribue à la défaite de la division de Bayalitsch. 510 (An V).

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HALBEROT (ville d'), est occupée par les Français 627 (1806).

Halle (combat de); Bernadotte y bat l'armée de réserve prussienne. 627 (1806).

HAMBOURG (ville de); La Fayette et ses compagnons de captivité y sont fêtés à leur sortie des prisons d'Olmutz. 554 (An VI). Est défendue par Davoust. 702 (1813). HANAU (bataille d'), est gagnéc par Napoléon sur les Austro-Bavarois; ses résultats. 700 (4843).

HANOVRE (l'électorat du), cst cédé à la Prusse par la France. 622 (1806). Est occupé par la Prussc. 624

(1806). HANRIOT, Commandant-général de toute la forcé armée de Paris. 275 (An II). — Fait tirer le canon d'alarme, malgré le décret qui prononce la peine de mort pour ce faic. 275 (An II). — Empêche Hérault de Séchelles de sortir de la convention. 276 (An II). — Est confirmé dans le commandement de la force armée. 279 (An II). Est accusé par Billaud-Varennes et Tallicn; la convention ordonne son arrestation. 574 (An II). Est délivré par Coffinhal. 575 (An II). Est mis hors la loi par la convention. 375 (An II). Robespierre et ses co-accusés se reposent sur lui du soin de contenir leurs ennemis. 375 (An II). Se laisse prévenir par

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la convention, dans la nuit du 9 thermidor; il agit trop tard. 376 (An II). Reproches de lâcheté que lui adresse Coffinhal; il le jette par une fenêtre; son exécution, le 10 thermidor. 376 (An II).

HARDY, conventionnel girondin, est mis en jugement. 511 (An II).

HASSENFRATZ, fait un cours sur la fabrication de la poudre. 345 (An IJ). — Est arrêté comme ancien jacobin; il est mis en accusation. 450 (An III).

HAUSSEZ (d'), est nommé ministre de la marine, à la place de M. de Rigny. 923 (1829).

HAUSSMANN, Conventionnel, adresse, avec ses collègues en mission, une proclamation aux Bataves. 408 (An III). HAVRE, (ville du); les Anglais s'y présentent, et sont repoussés. 542 (An VI).

HÉBERT, rédacteur du journal le Père Duchêne, devient procureur de la commune de Paris; il aide Pache à calmer l'effervescence des зections. 245 (An I), Les - Les girondins le font arrêter. 269 (An II). sections vont demander son élargissement à la convention. 270 (An II). Les sections demandent sa mise en jugement immédiate. 270 (An II). Est le disciple de Marat. 287 (An II). — Appelle l'attention des jaco bins sur le procès des girondins. 325 (An II).-Demande aux jacobins l'expulsion de Thuriot, et l'examen de la conduite de Bazire et Chabot. 330 (An II). - Fait adopter un arrêté qui ordonne la destruction des simu lacres des rois et de tous les signes reĥgieux. 332 (An IL).

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Est a la tête des ultra-révolutionnaires. 357 (An II). | HERMANN, est élu député, 906 (4828)

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430 (An III).

HERZELLE (ville d'); les Français s'en emparent. 303 (An II).

HIDEN (Thomas) dénonce les conspiratcurs de Londres, ses complices. 828 (1820).

Dirige la commune de Paris. 340 (An II). — Fait | HÉRON, est arrêté comme jacobin ; il est mis en accusation. une longue diatribe contre les députés modérés; il demande leur expulsion du club; il réclame le jugement des complices de Brissot. 344 (An II). — Sa querelle avec les modérés se ranime. 342 (An II). Dénonce les modérés ; il attaque même Robespierre. 349 (An II). - Est arrêté comme agent de l'étranger; sa défense; il est condamné à mort. 250 (An II). · Ses attaques contre Danton et Robespierre prouvent qu'il n'était pas un lâche. 350 (An II). — Sa veuve est exécutée à l'occasion de la conspiration dite des prisons. 357 (An II).

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HÉRAULT (département de l'); il arrête une levée de six mille hommes, et s'impose six millions pour fournir à leurs dépenses. 263 (An II).

HÉRAULT DE SÉCHELLES, conventionnel; son rapport, qui détermine la législative à déclarer la patrie en danger. 467 (1792). — Il est absent pour commission, lors de l'appel nominal sur la culpabilité de Louis XVI. 228 (An II). — Il est appelé à présider la séance, levée par Fonfrède. 294 (An II). Est empêché par Hanriot de franchir l'enceinte des Tuileries, jusqu'à ce que les girondins soient éliminés. 276 (An II).-Est le rapporteur de la constitution de 1795; il presente aussi la déclaration des droits de l'homme. 280 (An II).—Fait partie du comité de salut public. 286 (An II). — Son allocution à la statue de la Nature, pour le troisième anniversaire de la fédération. 289 (An II). Est obligé de protester de son attachement à la révolution. 348 (An II). Est arrêté; motifs de son arrestation. 351 (An II). Est exécuté avec les dantonistes. 260 (An II).

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HIGONET (le général) ramène en France le tiers de l'expé-
dition de Morée. 944 (1828).

HILL (le général), est détaché de l'armée de Wellington,
et se porte sur Bordeaux. 740 (1814).
HISTRIA (Corse), est assassiné à Lyon, par la compagnie
de Jéhu. 495 (An V).

HOCHE, général, chasse les Prussiens, et délivre le fort
de Bitche; il se réunit à l'armée du Rhin; il s'empare,
avec Pichegru, des redoutes d'Haguenau. 358 (An II).

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Gagne la bataille de Geisberg. 345 (An II). — Est remplacé par Pichegru. 564 (An II). — Commande les républicains à Quiberon; son plan; son attaque; résultats qu'il obtient. 432 (An III). — Reçoit le commandement en chef des armées de Cherbourg, de Brest et de l'Ouest réunies ; il doit agir en Vendée, et repousser les débarquements. 455 (An IV). — Son caractère; ses qualités; ses dispositions font manquer le débarquement du comte d'Artois ; il disperse l'armée de Charrette. 455 (An IV). Rejette Charrette dans les marais; il organise des colonnes mobiles; moyens efficaces qu'il met en œuvre pour le désarmement des paysans. 456 (An IV). Il menace Stofflet, qui lève des contributions, et enrôle des paysans; il le fait attaquer ; ce chef lui est livré. 457 (An IV). — Resserre Charrette; il reçoit l'ordre de ne lui accorder aucune transaction. 457 (An IV). — Il quitte la Vendée; ses mesures amènent la soumission de Scépeaux; il accule les chouans à la mer; il force les chefs à s'embarquer, et pacifie la Bretagne. 458 (An IV). Accuse Charrette de l'assassinat de deux émigrés qui lui avaient porté 40,000 fr. d'Angleterre. 458 (An IV). — Le gouvernement déclare qu'il a bien mérité de la patrie; il forme le projet de soulever l'Irlande; ses vues sont approuvées par le directoire. 458 (An IV). — Tente une expédition en Irlande; elle manque par l'effet d'une tempête; il retourne en France. 498 (An V). — Remplace Beurnonville au commandement de l'armée de Sambre et Meuse. 499 (An V). — Écrit une lettre de félicitations à Bonaparte, en lui envoyant la division Bernadotte. 306 (An V). — Passe le Rhin à Neuwied; il bat les Autrichiens à Heddersdorff; il poursuit vivement le général Kray ; il est arrêté par les préliminaires de paix de Léoben. 513 (An V). — Sa lettre au directoire au sujet des préliminaires de Léoben. 543 (An V). — Ses projets de descente en Angleterre; il se rend incognito en Hollande à ce sujet. 546 (An V). — Offre au directoire son bras et sa vie pour sa défense; motifs qui déterminent le directoire à se servir de lui pour appuyer son coup d'état; il envoie vingt mille hommes aux environs de Paris, sous un prétexte. 522 (An V). — Malgré son jeune âge, est nommé ministre de la guerre. 523 (An V). — Vient à Paris, et refuse le ministère de la guerre ; il retourne à son quartier-général très-affecté de la situation des affaires; il envoie au directoire la majeure partie de la dot de sa femme; il est décidé à quitter la France, si le directoire succombe. 524 (An V).

Le coup d'état du 48 fructidor le comble de joie; il est nommé au plus vaste commandement de la répu

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