Histoire de France d'Anquetil: continuée, depuis la révolution de 1789 jusqu'à celle de 1830, Volume 4Bureau central de l'histoire de France, 1845 - France |
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Page 585
... voyait s'embarquer la dernière division du duc d'York . Celle d'Italie , battue à Genola , se ralliait en désordre aux Apennins ; Coni ouvrait ses « Soldats ! en promettant la paix au peuple portes . On prit enfin les quartiers d'hiver ...
... voyait s'embarquer la dernière division du duc d'York . Celle d'Italie , battue à Genola , se ralliait en désordre aux Apennins ; Coni ouvrait ses « Soldats ! en promettant la paix au peuple portes . On prit enfin les quartiers d'hiver ...
Page 587
... voyait passer plus de trente mille hommes avec trois à quatre mille chevaux , mais qu'il promettait bien que ni un caisson ni une bouche à feu ne les suivraient . Lors de la reddi- tion du fort , dans les premiers jours de juin , les ...
... voyait passer plus de trente mille hommes avec trois à quatre mille chevaux , mais qu'il promettait bien que ni un caisson ni une bouche à feu ne les suivraient . Lors de la reddi- tion du fort , dans les premiers jours de juin , les ...
Page 605
... voyait plus d'obstacles . De notables chan- gements furent résolus à la constitution de l'an VIII , qui n'était plus en proportion avec son pou- voir colossal . Le 4 août 1802 , il présenta un projet organique de cette constitution , ou ...
... voyait plus d'obstacles . De notables chan- gements furent résolus à la constitution de l'an VIII , qui n'était plus en proportion avec son pou- voir colossal . Le 4 août 1802 , il présenta un projet organique de cette constitution , ou ...
Page 611
... voyait le gouvernement français s'asseoir sur des bases solides , plus ses ministres pensaient qu'il était urgent de se défaire de Bonaparte . Elle prodiguait l'argent aux assassins , et en infestait les côtes et les frontières . Un ...
... voyait le gouvernement français s'asseoir sur des bases solides , plus ses ministres pensaient qu'il était urgent de se défaire de Bonaparte . Elle prodiguait l'argent aux assassins , et en infestait les côtes et les frontières . Un ...
Page 623
... voyait juste . évêques , le Dieu des armées avait livré les foudres de la guerre aux mains du géant dont le bras a pulvérisé les cohortes ennemies et fait crouler les empires . Jamais le grand roi Louis XIV ne fut enivré d'autant d ...
... voyait juste . évêques , le Dieu des armées avait livré les foudres de la guerre aux mains du géant dont le bras a pulvérisé les cohortes ennemies et fait crouler les empires . Jamais le grand roi Louis XIV ne fut enivré d'autant d ...
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Common terms and phrases
alliés Anglais armée arriva attaque Autrichiens avaient bataille Bernadotte Blücher Bonaparte Bourbons Bretagne çais calvinistes capitale cent chambre des députés chambre des pairs Charles VII Charles X charte chef combat commandement comte Condé conseil constitutionnel corps couronne déclaration décret devait dispositions donner élections ennemis envoyé épouse Espagnols eût force Fran François Ier général gouvernement guerre Henri Henri III Henri IV journaux jours l'Angleterre l'armée française l'Autriche l'empereur l'empire l'Espagne l'état laisser libéraux liberté Louis IX Louis XI Louis XVIII majorité marche maréchal Marmont mée ment militaires mille hommes millions ministres monarchie mort Murat n'avait Naples Napo Napoléon nation nationale paix pape peuple Philippe politique porter pouvait pouvoir premier consul presse prince prisonniers proclamé projet de loi Prusse Prussiens publique puissances rent république reste révolution Rhin royalistes royaume Russie s'était serait session seul soldats système tion traité trève trône troupes trouvait ultra-royalistes Villèle vote voulait
Popular passages
Page 783 - Déclarent solennellement que le présent acte n'a pour objet que de manifester à la face de l'univers leur détermination inébranlable de ne prendre pour règle de leur conduite, soit dans l'administration de leurs États respectifs, soit dans leurs relations politiques avec tout autre gouvernement, que les préceptes de cette religion sainte , préceptes de justice...
Page 736 - Soldats ! venez vous ranger sous les drapeaux de votre chef. Son existence ne se compose que de la vôtre : ses droits ne sont que ceux du peuple et les vôtres : son intérêt, son honneur, sa gloire ne sont autres que votre intérêt, votre honneur et votre gloire.
Page 767 - Bellérophon de me recevoir ainsi que ma suite, n'a voulu que tendre une embûche, il a forfait à l'honneur et flétri son pavillon. « Si cet acte se consommait, ce serait en vain que les Anglais voudraient parler...
Page 713 - Le Sénat conservateur, Considérant que, dans une monarchie constitutionnelle, le monarque n'existe qu'en vertu de la constitution ou du pacte social; Que Napoléon Bonaparte, pendant quelque temps d'un gouvernement ferme et prudent, avait donné à la nation des sujets de compter pour l'avenir sur des actes de sagesse et de justice; mais qu'ensuite il a déchiré le pacte qui l'unissait au peuple français...
Page 930 - Si de coupables manœuvres suscitaient à mon gouvernement des obstacles que je ne peux pas, que je ne veux pas prévoir, je trouverais la force de les surmonter, dans ma résolution de maintenir la paix publique, dans la juste confiance des Français et dans l'amour qu'ils ont toujours montré pour leurs rois.
Page 717 - LES Puissances alliées ayant proclamé que l'Empereur NAPOLÉON était le seul obstacle au rétablissement de la Paix en Europe , l'Empereur NAPOLÉON, fidèle à son serment, déclare qu'il renonce, pour lui et ses héritiers , aux Trônes de France et d'Italie , et qu'il n'est aucun sacrifice personnel, même celui de la vie, qu'il ne soit prêt à faire à l'intérêt de la France.
Page 719 - Généraux, officiers, sous-officiers et soldats de ma vieille garde, je vous fais mes adieux : depuis vingt ans je suis content de vous ; je vous ai toujours trouvés sur le chemin de la gloire. « Les puissances alliées ont armé toute l'Europe contre moi ; une partie de l'armée a trahi ses devoirs, et la France elle-même a voulu d'autres destinées.
Page 617 - J'ai assez, je pense, prouvé au monde que je ne redoute aucune des chances de la guerre; elle ne m'offre d'ailleurs rien que je doive redouter.
Page 930 - ... la Charte a placé les libertés publiques sous la sauve-garde des droits de ma couronne ; ces droits sont sacrés ; mon devoir envers mon peuple est de les transmettre intacts à mes successeurs.
Page 932 - ... fait du concours permanent des vues politiques de votre gouvernement avec les vœux de votre peuple la condition indispensable de la marche régulière des affaires publiques. Sire, notre loyauté, notre dévouement nous condamnent à vous dire que ce concours n'existe pas.