Le cardinal de Bernis depuis son ministère, 1758-1794: La suppression des Jésuites; Le schisme constitutionnel |
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¹ Bernis AFFAIRES ÉTRANGÈRES Albi ambassadeur août Arch archevêque avaient Avignon avril Azpuru Bernis à Choiseul Bernis à d'Aiguillon Bernis à Vergennes Bernis écrit Braschi bref bulle c'était cardinal de Bernis catholiques chapeau chargé Charles Charles III Clément XIV clergé Comtat comte conclave congrégation Cour Couronnes D'Aiguillon à Bernis d'Albi d'Aubeterre d'Avignon d'Ossun décembre déclaration décret demande dépêche Deshaises diocèse donner écrivit envoyé États ÉTR évêques février Ganganelli Gazette de Leyde Giraud Grimaldi j'ai janvier Jésuites juillet juin l'abbé l'archevêque l'Assemblée l'Église l'Infant lettre livres Louis XV madame du Barry Madame Louise Madrid maison Majesté mars mémoire ment Ministre d'Espagne Moniño Montmorin mort n'avait n'était Naples négociation Nonce novembre octobre ordres Pape parler politique pouvait prélat prince religion répond restitution Ricci rien Rohan romaine Rome Russie Sacré Collége Saint-Siége Sainteté secret septembre serait seul suppression Tanucci THEINER tion trouve Vergennes à Bernis Versailles Zelada
Popular passages
Page 492 - Je jure de veiller avec soin sur les fidèles de la paroisse qui m'est confiée, d'être fidèle à la nation, à la loi et au roi, et de maintenir de tout mon pouvoir la constitution décrétée par l'Assemblée Nationale et acceptée par le roi.
Page 464 - ... déjà fait entendre; que l'exagération avait aussi ses dangers. L'Assemblée ferma la discussion et décréta que le président se retirerait pardevant le roi, pour le supplier d'ordonner incessamment la promulgation des arrêtés du 4 août; que le président assurerait en même temps sa majesté que l'Assemblée , en s'occupant des lois de détail, prendrait dans la plus grande et dans la plus respectueuse considération les réflexions et les observations que sa majesté avait bien voulu...
Page 500 - Bernis, archevêque d'Albi, au clergé séculier et régulier, et à tous les fidèles de son diocèse, au sujet de l'élection faite le 13 mars 1791 de M.
Page 462 - Rome, en la vice-légation d'Avignon, en la nonciature de Lucerne, aucuns deniers pour annates ou pour quelque autre cause que ce soit; mais les diocésains s'adresseront à leurs évêques pour toutes les provisions de bénéfices et dispenses, lesquelles seront accordées gratuitement, nonobstant toutes réserves, expectatives et partages de mois, toutes les églises de France devant jouir de la même liberté.
Page 293 - Les médecins qui ont assisté à l'ouverture du cadavre s'expriment avec prudence, et les chirurgiens avec moins de circonspection. Il vaut mieux croire à la relation des premiers que de chercher à éclaircir une vérité trop affligeante, et qu'il serait peut-être fâcheux dedécouvrir.
Page 100 - Demander au Pape futur la promesse, par écrit ou devant témoins, de la destruction des Jésuites, serait exposer visiblement l'honneur des Couronnes par la violation de toutes les règles canoniques.
Page 488 - C'est à cet accord qu on devrait travailler, au lieu de traiter avec mépris ct dureté les princes de l'K;;li,''. si l'on aimait le bien, la paix et l'ordre, si l'on était de bonne foi, si l'on était attaché à la religion qui seule est l'appui de toute autorité et de toute forme de gouvernement. Jamais Pape n'a été plus porté à la conciliation que celui-ci, et son amour pour la tranquillité générale et le repos des consciences n'a d'autres bornes que celle du devoir prescrit par les...
Page 531 - Christ n'avaient su se couvrir que pour accroître une domination qui tombe aujourd'hui de vétusté. Les siècles de l'ignorance sont passés ; les hommes ne peuvent plus être soumis que par la conviction, conduits que par la vérité , attachés que par leur propre bonheur. L'art de la politique et le secret du gouvernement sont réduits à la reconnaissance de leurs droits et au soin de leur en faciliter l'exercice, pour le plus grand bien de tous, avec le moins de dommage possible pour chacun.
Page 83 - ... temporel de la Papauté, ni l'un ni l'autre ne pouvaient méconnaître sa puissance, ni renier l'autorité des dogmes qu'elle enseignait. En cela, l'Église est immuable, ne peut pas ne pas l'être, et le Pape avait dû rappeler à des souverains entreprenants qu'aucune violence ne l'empêcherait « de parler toujours hautement, avec une liberté apostolique, et de rappeler les Rois ses fils à leur devoir ». L'on fait une grave erreur, lorsqu'on suppose que sous l'ancien régime, les Rois de...
Page 68 - Créquy prétend qu'il sera plus heureux que moi; cela doit être, il est plus jeune. Vous avez beau être profane, je vous aime toujours, et je me réserve pour votre conversion. Je ne veux pas croire, comme la plupart de mes confrères, que votre projet soit de bannir la religion de la surface de la terre: vous avez toujours été l'ennemi du fanatisme, et vous pensez sûrement que si le fanatisme qui s'arme en faveur de la religion est dangereux, celui qui s'élève pour la détruire n'est pas...