Revue des deux mondesAu bureau de la Revue des deux mondes., 1912 |
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... voix hautes et des rires . En face d'elle , Vambard , disposant au besoin d'un fausset qui dominait les plus grands tapages , lui fit écho . Le peintre Marcieu , au bout de la ( 1 ) Copyright by Calmann - Lévy , 1912 . ( 2 ) Voyez la ...
... voix hautes et des rires . En face d'elle , Vambard , disposant au besoin d'un fausset qui dominait les plus grands tapages , lui fit écho . Le peintre Marcieu , au bout de la ( 1 ) Copyright by Calmann - Lévy , 1912 . ( 2 ) Voyez la ...
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... voix , parmi les gestes de gourmandise , la comédie continuait , la même depuis tant de dimanches . Ce dimanche de janvier , Germaine considérait avec une mal- veillance aiguisée le divertissement de ces fantoches : elle oppo- sait , en ...
... voix , parmi les gestes de gourmandise , la comédie continuait , la même depuis tant de dimanches . Ce dimanche de janvier , Germaine considérait avec une mal- veillance aiguisée le divertissement de ces fantoches : elle oppo- sait , en ...
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... voix de Vambard résonnait seule , clairon- nante , amène . Je trouve très bien qu'un pays comme le nôtre se montre plein d'égards pour ses artistes et ses savans qui lui font honneur aux yeux de l'étranger ... Je trouve cela très bien ...
... voix de Vambard résonnait seule , clairon- nante , amène . Je trouve très bien qu'un pays comme le nôtre se montre plein d'égards pour ses artistes et ses savans qui lui font honneur aux yeux de l'étranger ... Je trouve cela très bien ...
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... voix qui faisait éclater des mots : ... Pas intransigeant ... Pas un de ces hommes qui ... Jacqueline Vambard servait le café , escortée de Talban qui portait le sucrier et lui murmurait des galanteries . Elle riait très haut : elle s ...
... voix qui faisait éclater des mots : ... Pas intransigeant ... Pas un de ces hommes qui ... Jacqueline Vambard servait le café , escortée de Talban qui portait le sucrier et lui murmurait des galanteries . Elle riait très haut : elle s ...
Page 15
... voix , Mme Derwein reconnut la souffrance d'une déception ; et cette souffrance s'exprimait trop bien dans le mot de « marché » qui définissait à présent le beau mariage d'amour . Mme Derwein se hâta de répondre : - Vous voulez dire que ...
... voix , Mme Derwein reconnut la souffrance d'une déception ; et cette souffrance s'exprimait trop bien dans le mot de « marché » qui définissait à présent le beau mariage d'amour . Mme Derwein se hâta de répondre : - Vous voulez dire que ...
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Common terms and phrases
allait Allemands àme Armfeldt assez aurait avaient Billets Bismarck bonne c'était Chambre Charlotte Charlotte d'Albret Chateaubriand Chautin chef chose cœur cours Cowper Denon devant dire donner doute Duc d'Aumale enfans Étienne eùt faisait famille femme Filaine fille Forbach force fùt Gabriel Baroney général gens Germaine gouvernement Gustave Gustave III heures hommes j'ai JACQUES DES GACHONS jamais Jérôme jeune jour Jules Lemaitre kasbah l'armée laisser lait Léon XIII lettres Madeleine main Manès Mannlich mari mariage Maroc Marthe Maxime mème ment ministre Mme Derwein monde morale Motte-Feuilly Mozart Musée n'avait n'était Palacký parler Pascoli passé pays pensée père personne peut-être poète politique porte pouvait premier prince qu'un raison Régent reste Reuterholm rien Rome Rudenschold s'est s'était saint Saint-Chartier Saint-Privat Savoie sculpture semble sentimens sentiment serait seulement soir sorte statues Stockholm Suède Suisse surtout tion tirailleurs Tripolitaine troupes trouve Vambard visage voix vrai William Cowper Windthorst yeux zone zoniens
Popular passages
Page 338 - L'auteur, du reste, pour compléter ce qu'il a dit plus haut, ne voit aucune difficulté à faire entrevoir, dès à présent, qu'il a esquissé dans la solitude une sorte de poème d'une certaine étendue où se réverbère le problème unique, l'Etre, sous sa triple face : l'Humanité, le Mal, l'Infini...
Page 328 - Ce qu'il faisait éprouver n'était pas des transports, mais une succession de sentiments paisibles et ineffables : il y avait dans son discours je ne sais quelle tranquille harmonie, je ne sais quelle douce lenteur, je ne sais quelle longueur de grâces, qu'aucune expression ne peut rendre.
Page 334 - J'étais si fortement inquiet à cet égard que je lui en ai écrit il y a quelques années pour lui exprimer que le tableau que son imagination traçait compromettait une sœur très pure.
Page 310 - Je vous attends; votre lit est prêt, ma femme vous désire. Nous irons nous ébattre dans les vents, rêver au passé et gémir sur l'avenir. Si vous êtes triste, je vous préviens que je n'ai jamais été dans un moment plus noir : nous serons comme deux cerbères aboyant contre le genre humain. Venez donc le plus tôt possible.
Page 763 - Transporter dans des siècles reculés toutes les idées du siècle où l'on vit , c'est des sources de l'erreur celle qui est la plus féconde.
Page 800 - L'empereur m'a chargé de vous dire, lui répondait le ministre ïhouvenel au commencement de février, que, si l'annexion devait avoir lieu, il se ferait un plaisir, par sympathie pour la Suisse, à laquelle il porte toujours un intérêt particulier, de lui abandonner comme son propre territoire les provinces du Ghablais et du Faucigny.
Page 339 - Je n'ai pas la moindre confiance en moi; peut-être même ai-je trop de facilité à recevoir les avis qu'on veut bien me donner ; il dépend presque du premier venu de me faire changer ou supprimer tout un passage : je crois toujours que l'on juge et que l'on voit mieux que moi.
Page 433 - La folie de la Révolution fut de vouloir instituer la vertu sur la terre. Quand on veut rendre les hommes bons et sages, libres, modérés, généreux, on est amené fatalement à vouloir les tuer tous.
Page 564 - L'Europe, disait-il, n'eût bientôt fait de la sorte véritablement qu'un même peuple, et chacun, en voyageant partout, se fût trouvé toujours dans la patrie commune.