Louis-Napoléon: sa vie politique et privéeMarescq et cie, 1853 - 152 pages |
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... C'était donc des continuateurs fu- turs de ses projets , de sa pensée , de son nom et de son pouvoir , qu'il voyait dans les fils de ses frères , que le plébiscite de l'an XII ( 1804 ) appelait à lui succéder . Le prince Louis ...
... C'était donc des continuateurs fu- turs de ses projets , de sa pensée , de son nom et de son pouvoir , qu'il voyait dans les fils de ses frères , que le plébiscite de l'an XII ( 1804 ) appelait à lui succéder . Le prince Louis ...
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... C'était un homme fort estimable , qui surveillait l'éducation des jeunes princes et leur faisait donner des leçons par les meilleurs maîtres . - Ces deux enfants étaient certainement d'une intelli- « Cela venait , dit made- gence au ...
... C'était un homme fort estimable , qui surveillait l'éducation des jeunes princes et leur faisait donner des leçons par les meilleurs maîtres . - Ces deux enfants étaient certainement d'une intelli- « Cela venait , dit made- gence au ...
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... c'était les compter pour quelque chose que de les associer au malheur commun . On peut juger du caractère de cette charmante femme par le langage qu'elle tenait dans l'intimité . « Il faut être indulgent , disait - elle , le monde est ...
... c'était les compter pour quelque chose que de les associer au malheur commun . On peut juger du caractère de cette charmante femme par le langage qu'elle tenait dans l'intimité . « Il faut être indulgent , disait - elle , le monde est ...
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... c'était une chose effrayante que de voir le pauvre enfant , pâle , à demi évanoui , et perdant tout son sang par la plaie même de la dent arrachée deux jours auparavant . Dans ces occasions de danger pour ses enfants , la reine ne ...
... c'était une chose effrayante que de voir le pauvre enfant , pâle , à demi évanoui , et perdant tout son sang par la plaie même de la dent arrachée deux jours auparavant . Dans ces occasions de danger pour ses enfants , la reine ne ...
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... C'était une maison honorable , où l'aisance ne manquait pas ; les enfants y furent gar- dés sous le manteau d'une impénétrable discrétion et parfaitement soignés . Ils y restèrent avec un valet de chambre et la nourrice du jeune Louis ...
... C'était une maison honorable , où l'aisance ne manquait pas ; les enfants y furent gar- dés sous le manteau d'une impénétrable discrétion et parfaitement soignés . Ils y restèrent avec un valet de chambre et la nourrice du jeune Louis ...
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Common terms and phrases
30 octobre accusés actes appelé assez avaient Barrot Boulogne brochure Bruc c'était caserne cause chef citoyen cœur colonel Vaudrey colonel Voisin commandant comte Constitution demande devant dévouement dit-il donner duchesse famille femme Gordon Ferdinand Barrot fils force garde nationale général Changarnier général Montholon général Voirol gloire gouvernement Gricourt heures hommes idées impériale intérêts j'ai jeune prince jour Juillet l'accusé l'armée l'Assemblée l'auteur l'Empire l'Etat Laity lettre liberté lieutenant Louis Bonaparte Louis-Napoléon Bonaparte Louis-Philippe ment Mésonan messieurs militaire ministre Napoléon Napoléon-Louis napoléonienne nation neveu de l'Empereur noble Odilon Barrot officiers Parquin passé patrie pays pensée Persigny personne peuple politique pouvait pouvoir prince Louis prince Louis-Napoléon prince Napoléon prince Président principe prisonnier proclamations procureur général projet régiment reine Hortense répondit représentant républicains République reste Révolution Révolution de juillet s'était Saint-Leu sentiments serait serment seul soldats sort Strasbourg suffrage Suisse Thélin Thurgovie tion toyen trouve vive voulait
Popular passages
Page 150 - Une seconde Assemblée formée de toutes les illustrations du pays, pouvoir pondérateur, gardien du pacte fondamental et des libertés publiques.
Page 150 - ... de renverser la République, mon devoir est de déjouer leurs perfides projets, de maintenir la République et de sauver le pays en invoquant le jugement solennel du seul souverain que je reconnaisse en France, le peuple.
Page 131 - C'était à mes yeux une ample réparation pour trente années d'exil et six ans de captivité. Mais les soupçons injurieux qu'a fait naître mon élection, mais les troubles dont elle a été le prétexte, mais l'hostilité du Pouvoir exécutif, m'imposent le devoir de refuser un honneur qu'on croit avoir été obtenu par l'intrigue. « Je désire l'ordre et le maintien d'une République sage, grande, intelligente; et puisque involontairement je favorise le désordre, je dépose, non sans de vifs...
Page 142 - Ney — la république française n'a pas envoyé une armée à Rome pour y étouffer la liberté italienne ; mais, au contraire, pour la régler en la préservant...
Page 52 - Vivre ce n'est pas respirer , c'est agir ; c'est faire usage de nos organes , de nos sens , de nos facultés , de toutes les parties de nous-mêmes qui nous donnent le sentiment de notre existence.
Page 96 - Il ya un arbitre inévitable, éternel, entre tout juge et tout accusé. Avant de juger devant cet arbitre et à la face du pays qui entendra vos arrêts, dites-vous, sans avoir égard à la faiblesse des moyens, le droit, les lois, la constitution devant les yeux, la main sur la conscience, devant Dieu, devant le pays...
Page 78 - L'idée napoléonienne n'est point une idée de guerre, mais une idée sociale, industrielle, commerciale, humanitaire. Si, pour quelques hommes, elle apparaît toujours entourée de la foudre des combats, c'est qu'elle fût en effet trop longtemps enveloppée par la fumée du canon et la poussière des batailles.
Page 43 - L'attentat dont le but est, soit de détruire ou de changer le gouvernement ou l'ordre de successibilité au trône, soit d'exciter les citoyens ou habitants à s'armer contre l'autorité impériale, est puni de la peine de la déportation dans une enceinte fortifiée.
Page 91 - ... jamais la volonté nationale n'a été proclamée aussi solennellement, n'a été constatée par des suffrages aussi nombreux et aussi libres que pour l'adoption des constitutions de l'Empire. » La nation n'a jamais révoqué ce grand acte de sa souveraineté, et l'Empereur l'a dit : « Tout ce qui a été fait sans elle est illégitime.
Page 130 - J'apprends, par les journaux du 22, qu'on a proposé, dans les bureaux de l'Assemblée, de maintenir contre moi seul la loi d'exil qui frappe ma famille depuis 1816. Je viens demander aux représentants du peuple pourquoi je mériterais une semblable peine. Serait-ce pour avoir toujours publiquement déclaré que, dans mes opinions, la France n'était l'apanage ni d'un homme, ni d'une famille, ni d'un parti ? Serait-ce parce que, désirant faire triompher sans anarchie ni licence le principe de la...