Louis-Napoléon: sa vie politique et privéeMarescq et cie, 1853 - 152 pages |
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... chef de la croisade contre nous , il n'avait laissé en- treprendre que ce qui lui convenait . La reine le défen- dait ; elle m'apprit qu'elle lui en avait fait l'observa- tion . et qu'il n'avait pas eu la moindre part à la détro ...
... chef de la croisade contre nous , il n'avait laissé en- treprendre que ce qui lui convenait . La reine le défen- dait ; elle m'apprit qu'elle lui en avait fait l'observa- tion . et qu'il n'avait pas eu la moindre part à la détro ...
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... chefs d'une insurrection . On était au moment du carnaval , et un mouvement insurrectionnel éclata pendant la promenade du Corso ; mais il fut promptement réprimé . La duchesse de Saint - Leu , qui avait reçu les confidences d'un des ...
... chefs d'une insurrection . On était au moment du carnaval , et un mouvement insurrectionnel éclata pendant la promenade du Corso ; mais il fut promptement réprimé . La duchesse de Saint - Leu , qui avait reçu les confidences d'un des ...
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... chefs polonais était aussi pressante qu'honorable : « A qui la direction de notre entreprise pourrait - elle être mieux confiée qu'au neveu du plus grand capitaine de tous les siècles ? Un jeune Bonaparte apparaissant sur nos plages ...
... chefs polonais était aussi pressante qu'honorable : « A qui la direction de notre entreprise pourrait - elle être mieux confiée qu'au neveu du plus grand capitaine de tous les siècles ? Un jeune Bonaparte apparaissant sur nos plages ...
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... chef de gouvernement , doivent l'obliger aussi ; il est donc impossible que le personnage qui a écrit ces ligues les oublie jamais et n'y conforme pas ses actions . Remarquons encore le passage suivant : << Pourquoi la belle Révolution ...
... chef de gouvernement , doivent l'obliger aussi ; il est donc impossible que le personnage qui a écrit ces ligues les oublie jamais et n'y conforme pas ses actions . Remarquons encore le passage suivant : << Pourquoi la belle Révolution ...
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... chef de l'Etat , car une génération ne peut assujettir à ses lois les générations futures . « Pour que l'indépendance soit assurée , il faut que le gouvernement soit fort , et , pour qu'il soit fort , il faut qu'il ait la confiance du ...
... chef de l'Etat , car une génération ne peut assujettir à ses lois les générations futures . « Pour que l'indépendance soit assurée , il faut que le gouvernement soit fort , et , pour qu'il soit fort , il faut qu'il ait la confiance du ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 150 - Une seconde Assemblée formée de toutes les illustrations du pays, pouvoir pondérateur, gardien du pacte fondamental et des libertés publiques.
Page 150 - ... de renverser la République, mon devoir est de déjouer leurs perfides projets, de maintenir la République et de sauver le pays en invoquant le jugement solennel du seul souverain que je reconnaisse en France, le peuple.
Page 131 - C'était à mes yeux une ample réparation pour trente années d'exil et six ans de captivité. Mais les soupçons injurieux qu'a fait naître mon élection, mais les troubles dont elle a été le prétexte, mais l'hostilité du Pouvoir exécutif, m'imposent le devoir de refuser un honneur qu'on croit avoir été obtenu par l'intrigue. « Je désire l'ordre et le maintien d'une République sage, grande, intelligente; et puisque involontairement je favorise le désordre, je dépose, non sans de vifs...
Page 142 - Ney — la république française n'a pas envoyé une armée à Rome pour y étouffer la liberté italienne ; mais, au contraire, pour la régler en la préservant...
Page 52 - Vivre ce n'est pas respirer , c'est agir ; c'est faire usage de nos organes , de nos sens , de nos facultés , de toutes les parties de nous-mêmes qui nous donnent le sentiment de notre existence.
Page 96 - Il ya un arbitre inévitable, éternel, entre tout juge et tout accusé. Avant de juger devant cet arbitre et à la face du pays qui entendra vos arrêts, dites-vous, sans avoir égard à la faiblesse des moyens, le droit, les lois, la constitution devant les yeux, la main sur la conscience, devant Dieu, devant le pays...
Page 78 - L'idée napoléonienne n'est point une idée de guerre, mais une idée sociale, industrielle, commerciale, humanitaire. Si, pour quelques hommes, elle apparaît toujours entourée de la foudre des combats, c'est qu'elle fût en effet trop longtemps enveloppée par la fumée du canon et la poussière des batailles.
Page 43 - L'attentat dont le but est, soit de détruire ou de changer le gouvernement ou l'ordre de successibilité au trône, soit d'exciter les citoyens ou habitants à s'armer contre l'autorité impériale, est puni de la peine de la déportation dans une enceinte fortifiée.
Page 91 - ... jamais la volonté nationale n'a été proclamée aussi solennellement, n'a été constatée par des suffrages aussi nombreux et aussi libres que pour l'adoption des constitutions de l'Empire. » La nation n'a jamais révoqué ce grand acte de sa souveraineté, et l'Empereur l'a dit : « Tout ce qui a été fait sans elle est illégitime.
Page 130 - J'apprends, par les journaux du 22, qu'on a proposé, dans les bureaux de l'Assemblée, de maintenir contre moi seul la loi d'exil qui frappe ma famille depuis 1816. Je viens demander aux représentants du peuple pourquoi je mériterais une semblable peine. Serait-ce pour avoir toujours publiquement déclaré que, dans mes opinions, la France n'était l'apanage ni d'un homme, ni d'une famille, ni d'un parti ? Serait-ce parce que, désirant faire triompher sans anarchie ni licence le principe de la...