La Seconde abdication |
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... soldats qu'à Laon . En se hâtant de rentrer à Paris , a - t - on dit encore , Napoléon fit soupçonner qu'il avait le dessein de dissoudre la Chambre , et précipita ainsi la révolution parlemen- taire . C'est vrai , mais ce retour hatif ...
... soldats qu'à Laon . En se hâtant de rentrer à Paris , a - t - on dit encore , Napoléon fit soupçonner qu'il avait le dessein de dissoudre la Chambre , et précipita ainsi la révolution parlemen- taire . C'est vrai , mais ce retour hatif ...
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... soldats d'élite que Rapp avait l'ordre de replier sur la Seine . Ainsi , dans les premiers jours de juillet , une armée de 100 000 hommes , presque égale en nombre à celle qui avait ouvert la campagne , couvrirait Paris . Les Anglo ...
... soldats d'élite que Rapp avait l'ordre de replier sur la Seine . Ainsi , dans les premiers jours de juillet , une armée de 100 000 hommes , presque égale en nombre à celle qui avait ouvert la campagne , couvrirait Paris . Les Anglo ...
Page 21
... soldats et toute son artillerie . Les dépôts de Paris et des départements environnants pou- vaient fournir immédiatement 25 000 hommes au moins . Dans les dépôts des dépar- tements plus éloignés , il y avait 46 000 conscrits de 1815 et ...
... soldats et toute son artillerie . Les dépôts de Paris et des départements environnants pou- vaient fournir immédiatement 25 000 hommes au moins . Dans les dépôts des dépar- tements plus éloignés , il y avait 46 000 conscrits de 1815 et ...
Page 22
Henry Houssaye. dique , vous n'aurez plus d'armée . Les soldats n'en- tendent rien à vos subtilités . Croit - on que des décla- rations de droits , des discours de tribune arrêteront une débandade ? ... On ne veut pas voir que je ne suis ...
Henry Houssaye. dique , vous n'aurez plus d'armée . Les soldats n'en- tendent rien à vos subtilités . Croit - on que des décla- rations de droits , des discours de tribune arrêteront une débandade ? ... On ne veut pas voir que je ne suis ...
Page 24
... soldats et s'en- fuir . Il avait abandonné son armée comme en Égypte et en Russie . Il arrivait à Paris pour exiger du pays de nouveaux sacrifices qui lui permissent de mener encore cent mille Français à la boucherie . Que n'était - il ...
... soldats et s'en- fuir . Il avait abandonné son armée comme en Égypte et en Russie . Il arrivait à Paris pour exiger du pays de nouveaux sacrifices qui lui permissent de mener encore cent mille Français à la boucherie . Que n'était - il ...
Common terms and phrases
1er juillet 29 juin 30 juin Alliés anglaise août armées armistice avaient Beker Beugnot Bignon Blücher Bonaparte Bonnefoux Bourbons capitulation Castlereagh Caulaincourt cavalerie Cent Jours Chaboulon Chambre des pairs commandant commissaires Commission de gouvernement conseil corps Corresp d'Erlon Damitz Davout déclaration Decrès dépêche députés duc d'Otrante Fayette fédérés Fleury de Chaboulon Fouché frégates garde nationale général Gonesse Gourgaud gouvernement provisoire Grouchy Guerre heures du matin hommes Journal juillet Arch juin Arch juin cité l'abdication l'armée l'ennemi Lamarque Laon Lavallette lettre Louis XVIII Lucien Macirone Maitland Malmaison manuscrits de Davout manuscrits de Marchand maréchal Marseille Mém Mémoires manuscrits militaire ministres Moniteur Montholon Napoléon officiers Ollech ordres Papiers de Carnot Pasquier Planat Pozzo préfet prince d'Eckmühl proclamation Prussiens Regnaud Rochefort Rovigo royalistes séance serait seulement soir Soissons soldats Soult Souv Supplementary Dispatches Talleyrand Thibaudeau tion troupes Tuileries Vandamme Villemain Vitrolles Vive l'empereur Wellington Zieten
Popular passages
Page 62 - L'intérêt que je porte à mon fils m'engage à inviter les chambres à organiser, sans délai, la régence par une loi. » Unissez-vous tous pour le salut public et pour rester une nation indépendante !
Page 61 - En commençant la guerre pour soutenir l'indépendance nationale, je comptais sur la réunion de tous...
Page 28 - La Chambre se déclare en permanence. Toute tentative pour la dissoudre est un crime de haute trahison; quiconque se rendrait coupable de cette tentative sera traître à la patrie et sur-le-champ jugé comme tel.
Page 323 - Nous sommes ici par la volonté du peuple. Nous n'en sortirons que par la force des baïonnettes ». Le 24 juin, le clergé, conformément à son vote du 19, rejoint le tiers état pour délibérer en commun.
Page 228 - J'envoie à Votre Excellence les nouvelles que j'ai reçues sur l'état des choses et des troupes. Il n'ya pas de temps à perdre pour adopter la proposition que j'ai faite hier. Nous devons proclamer Louis XVIII, nous devons le prier de faire son entrée dans la capitale, sans les troupes étrangères, qui ne doivent jamais mettre le pied à Paris; Louis XVIII doit régner avec l'appui de la Nation.
Page 293 - Je dois donc, pour la dignité de mon trône, pour l'intérêt de mes peuples, pour le repos de l'Europe, excepter du pardon les instigateurs et les auteurs de cette trame horrible.
Page 94 - Sur ce que les deux Chambres ont voulu et entendu, par leur arrêté à la date d'hier, portant nomination d'une commission de gouvernement provisoire, assurer à la nation...
Page 387 - En butte aux factions qui divisent mon pays, et à l'inimitié des plus grandes puissances de l'Europe, j'ai terminé ma carrière politique, et je viens, comme Thémistocle, m'asseoir au foyer du peuple britannique. Je me mets sous la protection de ses lois, que je réclame de Votre Altesse Royale, comme celle du plus puissant, du plus constant et du plus généreux de mes ennemis.
Page 388 - Au défaut de l'Amérique, je préfère l'Angleterre à tout autre pays. Je prendrai le titre de colonel Muiron ou Duroc. Si je dois aller en Angleterre, je désirerais être logé dans une maison de campagne, à dix ou douze lieues de Londres, où je souhaiterais arriver le plus incognito possible. Il faudrait une habitation assez grande pour y loger tout mon monde.
Page 387 - Royale, en butte aux factions qui divisent mon pays et à l'inimitié des plus grandes puissances de l'Europe, j'ai terminé ma carrière politique, et je viens, comme Thémistocle, m'asseoir au foyer du peuple britannique. Je me mets sous la protection de ses lois, que je réclame de Votre Altesse Royale comme du plus puissant, du plus constant et du plus généreux de mes ennemis.