Histoire du consulat et de l'empire, faisant suite à l'Histoire de la Révolution française. [With] Atlas, Volume 6Paulin, libraire-éditeur, 1849 |
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allait Alpes Anglais archiducs armée Austerlitz Austro-Russes Autrichiens avaient Baden Bagration Banque bataille bataille d'Austerlitz bataillons Bavière Berlin Bernadotte bouches du Cattaro Brünn c'était caisse carte nº cavalerie coalition colonne conditions confédération confédération du Rhin d'Anspach d'Austerlitz d'Haug d'Haugwitz d'Oubril d'Ulm Danube Davout Déc Desprez devait division Doctorow duchés Dupont ennemis États vénitiens fallait fût général Mack germanique Giulay guerre Hanovre Janv Juillet l'Algésiras l'Allemagne l'Angleterre l'archiduc l'armée française l'Autriche l'empire l'ennemi l'Europe l'Inn l'Italie laisser Lannes lord Yarmouth Marbois marche maréchal Soult Marmont Masséna mée ment mille hommes millions ministre Moravie Munich Murat n'avait n'était Naples Napo Napoléon Négociants réunis Octob Olmütz paix passer Pitt poléon pont position pouvait Pratzen Presbourg prince Prusse prussienne résolution reste Rhin route royaume Russes s'était Schoenbrunn serait seul Sokolnitz soldats Souabe Talleyrand Telnitz tion traité traité de Presbourg Trésor troupes Tyrol vaisseaux Vienne Villeneuve voulait Wurtemberg
Popular passages
Page 326 - Russie, cent vingt pièces de canon, vingt généraux, plus de trente mille prisonniers sont le résultat de cette journée à jamais célèbre. Cette infanterie tant vantée et en nombre supérieur n'a pu résister à votre choc, et désormais vous n'avez plus de rivaux à redouter. Ainsi, en deux mois, cette troisième coalition a été vaincue et dissoute. La paix ne peut être éloignée ; mais, comme je l'ai promis avant de passer le Rhin, je ne ferai qu'une paix qui nous donne des garanties...
Page 326 - Soldats, lorsque tout ce qui est nécessaire pour assurer le bonheur et la prospérité de notre patrie sera accompli, je vous ramènerai en France : là, vous serez l'objet de mes plus tendres sollicitudes. Mon peuple vous reverra avec joie, et il vous suffira de dire : « J'étais à la bataille d'Austerlitz ! » pour que l'on vous réponde :
Page 121 - ... je puisse avoir de la gloire à acquérir : tout mon soin sera d'obtenir la victoire avec le moins possible d'effusion de sang; mes soldats sont mes enfans.
Page 293 - ... vous verriez votre Empereur s'exposer aux premiers coups ; car la victoire ne saurait hésiter , dans cette journée surtout où il y va de l'honneur de l'infanterie française, qui importe tant à l'honneur de toute la nation.
Page 121 - Soldats , ce succès est dû à votre confiance sans bornes dans votre Empereur, à votre patience à supporter les fatigues et les privations de toute espèce, à votre rare intrépidité. « Mais nous ne nous arrêterons pas là : vous êtes impatiens de commencer une seconde campagne.
Page 293 - Soldats, je dirigerai moi-même vos bataillons. Je me tiendrai loin du feu, si, avec votre bravoure accoutumée, vous portez le désordre et la confusion dans les rangs ennemis; mais, si la victoire était un moment...
Page 121 - Empereur, à votre patience à supporter les fatigues et les privations de toute espèce, à votre rare intrépidité. Mais nous ne nous arrêterons pas là : vous êtes impatients de commencer une seconde campagne. Cette armée russe que l'or de l'Angleterre a transportée des extrémités de l'univers, nous allons lui faire éprouver le même sort. A ce combat est attaché plus spécialement...
Page 293 - Cette victoire finira notre campagne, et nous pourrons reprendre nos quartiers d'hiver, où nous serons joints par les nouvelles armées qui se forment en France , et alors la paix que je ferai , sera digne de mon peuple, de vous et de moi.
Page 294 - ... fusils. En quelques minutes, cet exemple fut imité par toute l'armée, et sur le vaste front de notre position, on vit briller cette illumination singulière. Les soldats suivaient les pas de Napoléon aux cria de Vire l'Empereur ! lui promettant de se montrer le lendemain digne de lui et d'eux- 15 mêmes.
Page 293 - Les positions que nous occupons sont formidables; et, pendant qu'ils marcheront pour tourner ma droite, ils me présenteront le flanc. Soldats, je dirigerai moi-même tous vos bataillons; je me tiendrai loin du feu, si, avec votre bravoure accoutumée...