| Pierre Joseph A. Roussel - 1815 - 358 pages
...profond régnait dans toute la salle. L'accusateur public conclut à la peine de mort. A ce mot terrible, Brissot laisse tomber ses bras , sa tête se penche subitement sur sa poitrine. Gensonnê , pèle et tremblant, demande la parole sur l'application de la loi; il ditquelques mots... | |
| Saint Albin Berville, François Barrière - France - 1825 - 410 pages
...m en vais, je veux m en aller. Il ne pouvait sortir. A peine ce mot fatal , mort , est prononcé , Brissot laisse tomber ses bras , sa tête se penche subitement sur sa poitrine; Gensonné, pâle et tremblant, demande la parole sur l'application de la loi , il dit des mots qu'on... | |
| Camille Desmoulins - France - 1825 - 442 pages
...je m en vais, je veux m en aller. Il ne pouvait sortir. A peine ce mot fatal, mort, est prononcé, Brissot laisse tomber ses bras, sa tête se penche subitement sur sa poitrine; Gensonné , pâle et tremblant, demande la parole sur l'application de la loi, il dit des mots qu'on... | |
| Adolphe Thiers - France - 1825 - 486 pages
...ditil , et il sort désespéré. Les accusés rentrent. En entendant prononcer le mot fatal de mort , Brissot laisse tomber ses bras ; sa tête se penche subitement sur sa poitrine ; Gensonné veut dire quelques mots sur l'application de la loi , mais il ne peut se faire entendre.... | |
| abbe Antoine Eugene de Genoude - 1848 - 654 pages
...mots : « Je m'en vais, je m'en vais, je veux m'en aller. » A peine le mot fatal MORT est prononcé, Brissot laisse tomber ses bras , sa tête se penche subitement sur sa poitrine ; Gensouné, pâle et tremblant, demande la parole sur l'application de la loi , et dit des mots qu'on... | |
| Nicolas Villiaumé - 1850 - 364 pages
...Gensonné, pâle et tremblant, demande la parole sur l'application de la loi, il ne peut l'obtenir. Brissot laisse tomber ses bras; sa tête se penche subitement sur sa poitrine. Boileau, élevant son chapeau, s'écrie : Je suis innocent; puis, se tournant vers le peuple, il l'invoque... | |
| Nicolas Villiaumé - France - 1851 - 372 pages
...Gensonné, pâle et tremblant, demande là parole sur l'application de la loi, il ne peut l'obtenir. Biissot laisse tomber ses bras; sa tête se penche subitement sur sa poitrine. Boileau, élevant son chapeau, s'écrie : Je suis innocent; puis, se tournant vers le peuple, il l'invoque... | |
| Louis Jean Joseph Charles Blanc - France - 1857 - 548 pages
...m'en vais, je veux « m'en aller. » Il ne pouvait sortir. A peine le mot fatal mort est-il prononcé, Brissot laisse tomber ses bras, sa tête se penche subitement sur sa poitrine. Gensonné. pâle et tremblant, demande la parole sur l'application dela loi. Boileau, étonné, élevant... | |
| Émile Campardon - France - 1866 - 1148 pages
...sens, laissait échapper ces mots : R .le m'en vais, je veux m'en aller! » il ne pouvait sortir. « A peine ce mot fatal, mort, est-il prononcé, que...bras, sa tête se penche subitement sur sa poitrine; Gensonné, pâle, tremblant, demande la parole sur l'application de la loi; il dit des mots qu'on n'entend... | |
| Émile Campardon - France - 1866 - 584 pages
...sens, laissait échapper ces mots : n Je m'en vais, Ie veux m'en aller! » il ne pouvait sortir. « A peine ce mot fatal , mort, est-il prononcé , que Brissot laisse tomber ses bras, sa tète se penche subitement sur sa poitrine; Gensonné, pâle, tremblant, demande la parole sur l'application... | |
| |