Salvator, suite et fin des Mohicans de Paris, Volume 5M. Lévy frères, 1873 |
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... Rozan , et qui avait fait son entrée dans les salons de madame de Marande le soir où Carmélite y avait chanté la romance du Saule ? Cette entrée , nous l'avons dit , et nous le répétons , avait fait sur tous les invités un prodigieux ...
... Rozan , et qui avait fait son entrée dans les salons de madame de Marande le soir où Carmélite y avait chanté la romance du Saule ? Cette entrée , nous l'avons dit , et nous le répétons , avait fait sur tous les invités un prodigieux ...
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... Rozan en était là ; elle était amoureuse de son mari , mieux que cela , elle l'adorait ; adoratiom mal placée , nous en convenons , surtout si nous nous souvenons de ce que nous avons raconté au chapitre précédent , mais parfaitement ...
... Rozan en était là ; elle était amoureuse de son mari , mieux que cela , elle l'adorait ; adoratiom mal placée , nous en convenons , surtout si nous nous souvenons de ce que nous avons raconté au chapitre précédent , mais parfaitement ...
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... Rozan . Mais il est une heure , mon enfant chérie , dit Camille en la baisant au front . Je le sais , répondit celle - ci du même ton , avec le même accent glacé . Tu es donc sortie ? demanda Camille en jetant son man- teau sur une ...
... Rozan . Mais il est une heure , mon enfant chérie , dit Camille en la baisant au front . Je le sais , répondit celle - ci du même ton , avec le même accent glacé . Tu es donc sortie ? demanda Camille en jetant son man- teau sur une ...
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... Rozan , et qui avait fait son entrée dans les salons de madame de Marande le soir où Carmélite y avait chanté la romance du Saule ? Cette entrée , nous l'avons dit , et nous le répétons , avait fait sur tous les invités un prodigieux ...
... Rozan , et qui avait fait son entrée dans les salons de madame de Marande le soir où Carmélite y avait chanté la romance du Saule ? Cette entrée , nous l'avons dit , et nous le répétons , avait fait sur tous les invités un prodigieux ...
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... Rozan en était là ; son mari , mieux que cela , elle l'adorait ; - elle était amoureuse de adoratiom mal placée , nous en convenons , surtout si nous nous souvenons de ce que nous avons raconté au chapitre précédent , mais parfaitement ...
... Rozan en était là ; son mari , mieux que cela , elle l'adorait ; - elle était amoureuse de adoratiom mal placée , nous en convenons , surtout si nous nous souvenons de ce que nous avons raconté au chapitre précédent , mais parfaitement ...
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Common terms and phrases
aimée allait amour arrivé avez Béarn Bordier bras Brin-d'Acier Brocante c'était Cadran-Bleu Carmagnole Castillans Castille Chante-Lilas château chevalier chose cœur comte d'Armagnac comte de Foix comte Herbel comte Rappt Conrad créole d'Armagnac demain demanda devant Dieu dire dit-il Dolorès entra êtes eût femme de chambre forçat frissonna front fût Gabriel Gaston Phoebus Gibassier heure Houdan instant j'ai Jackal Jean Jean d'Armagnac jeune femme jeune homme jour l'abbé Bouquemont l'évêque laissant lettre Longue-Avoine madame de Rozan mademoiselle de Valgeneuse main Marande maréchal de Lamothe-Houdan marquise ment messire Pierre mille monseigneur Coletti monseigneur de Quélen monsieur l'abbé monsieur le maréchal monsieur Salvator mort murmura n'avait nuit Orthon Papillon paroles passer pauvre pensée père Pétrus porte princesse Régina regardant répondit le comte reprit rien Rina s'écria Camille sais seigneur d'Albret sire de Corasse sorte Suzanne t'aime tête Tournelle vais varlets veux visage voix voulez-vous yeux Yvain
Popular passages
Page 208 - ... il avait un retrait tout rempli d'oraisons, où il se renfermait une heure par jour pour y dire les heures de Notre-Dame, les litanies des saints et les vigiles des morts ; voilà pourquoi, enfin, il tressaillit...
Page 100 - Y administration de la guerre, la présentation aux emplois vacants dans l'armée étant réservée au Dauphin ; M. de Martignac, au ministère de l'intérieur, dont on retranchait les attributions relatives au commerce et aux manufactures, qui devenaient une annexe du bureau du commerce et des colonies ; M. de Saint-Cricq, à la présidence du conseil supérieur du commerce et des colonies, avec le titre de ministre secrétaire d'État ; M. Roy, au ministère des finances. L'article 2 statuait «...
Page 243 - ... enfin, on arriva à une grande clairière au milieu de laquelle poussait un arbre solitaire et isolé. Hector gagnait toujours sur la laie, le cheval suivait toujours Hector, le comte pressait toujours son cheval; enfin, la laie, ne pouvant plus aller plus loin, s'accula contre l'arbre. Hector se précipita courageusement dessus; mais, au moment où il ouvrait la gueule pour faire sa prise, la laie jeta un grand cri et s'évanouit en fumée...
Page 192 - Poix et les comtes d'Armagnac, à propos du pays de Béarn, sur lequel chacune des deux familles prétendait avoir des droits. Il n'est pas besoin de dire que les contestations du moyen âge se jugeaient en rase campagne et non devant les tribunaux, par l'intermédiaire non pas d'avocats bavards et de juges retors, mais de loyaux chevaliers et de francs hommes d'armes. Or, toutes les fois que ceux du parti de Foix et...
Page 247 - Maintenant, le comte pouvait distinguer ses traits tristes et pâles, ses yeux fixes et atones, et, à son cou, cette petite blessure béante et livide par laquelle sa jeune âme s'en était allée.
Page 191 - ... sur la lecture des Chroniques de Froissart, transformées complètement pour en faire une histoire tragique et mystérieuse d'une cohérence parfaite, et d'ailleurs d'une grande habileté faisant honneur au génie inventif d'Alexandre Dumas. Il introduit ainsi son sujet : "Le 15e jour du mois d'août 1385, vers la huitième heure du soir, monseigneur Gaston III, vicomte de Béarn et comte de Foix, assis à une table et penché sur un parchemin, écrivait aux derniers rayons du soleil couchant...
Page 244 - Phœbus, il était -98certain qu'à son nom la porte s'ouvrirait avec joie et avec honneur. Néanmoins, une chose qui étonnait le comte, c'est que, quoique éloigné à peine de trente lieues d'Orthez, en supposant même que la laie eût suivi une ligne droite, il ne connaissait point ce château, lequel cependant autant qu'il en pouvait juger au clair de la lune qui commençait à se lever, paraissait parfaitement fort et merveilleusement beau. Il n'était pas non plus bâti si nouvellement que...
Page 246 - ... commençait jamais de souper sans se laver les mains, il porta le sifflet à sa bouche, et siffla pour appeler un écuyer, un varlet ou un page, qui lui apportât l'aiguière et le bassin.
Page 247 - Phoebus mort au pied d'un arbre de la clairière, et près de lui Hector qui lui léchait le visage. Quant au château il avait disparu, Dieu fasse miséricorde à tout pécheur qui s'est repenti".