Oeuvres complètes, Volume 29; Volume 1253

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Contents

Du P Augustin dominican à Bossuet Sur une conversa
185
De labbé Bossuet à son oncle Sur le succès des sollicita
192
De Bossuet à M de Noailles archevêque de Paris Il lui fait
200
De Bossuet à son neveu Sur linstruction de M de Cam
216
EXTRAIT de lInstruction pastorale de M larchevêque de Paris contre
222
Du cardinal le Camus à Bossuet Il donne de justes élo
231
De Bossuet à son neveu Sur le mariage du duc
238
De labbé Phelippeaux à Bossuet Sur linquiétude
247
De Madame de Maintenon à Bossuet Sur laffaire du quié
255
De labbé Phelippeaux à Bossuet Sur la traduction latine
268
De labbé Phelippeaux à Bossuet Sur le rétablissement
283
De Bossuet à M de la Broue Sur deux nouveaux consul
286
De labbé Bossuet à son oncle Sur les dispositions des con
294
De Bossuet à son neveu Il lui parle de M Giori des dis
301
De labbé Bossuet à son oncle Sur le dessein des partisans
307
De labbé Phelippeaux à Bossuet Sur les falsifications
314
De labbé Bossuet à son oncle Sur la fausseté dune aven
317
De Bossuet à son neveu Sur son nouveau livre contre
327
De labbé Bossuet à son oncle Il se justifie des accusa
333
De labbé Phelippeaux à Bossuet Sur le bon effet
346
De labbé Bossuet à son oncie Sur un nouvel artifice
353
De M de Noailles archevêque de Paris à labbé Bossuet
363
LETTRE CCXXLVI De Madame de Maintenon à Bossuet Elle lui déclare
371
De M de Noailles archevêque de Paris à labbé Bossuet
379
De Bossuet à son neveu Sur le zèle que les protestans
385

Common terms and phrases

Popular passages

Page 458 - II ya un état habituel d'amour de Dieu , qui est une charité pure et sans aucun mélange du motif de l'intérêt propre... Ni la crainte des châtiments , ni le désir des récompenses n'ont plus de part à cet amour.
Page 67 - Je vous avoué, monseigneur, que je ne puis me taire. Le livre de M. de Cambrai m'est tombé entre les mains : je n'ai pu comprendre qu'un homme de sa sorte pût être capable de se laisser aller à des imaginations si contraires à ce que l'Evangile nous enseigne , aussi bien que la tradition sainte de l'Eglise.
Page 14 - Il a bien voulu, monseigneur, se charger aussi du dépôt, pour le remettre ou dans vos mains à votre retour de Meaux , ou dans celles de quelque personne que vous aurez la bonté de lui nommer. Ce qui est très-certain , monseigneur, c'est que...
Page 452 - On ne pouvoit nous envoyer de meilleures pièces , et plus persuasives , que la nouvelle de la disgrâce des parents et des amis de M. de Cambrai , et que celle qu'on reçut hier par un courrier extraordinaire , que le Roi lui avoit ôté la charge et la pension de précepteur.
Page 143 - Rome , et à lui faire craindre de s'engager dans une grande affaire. Prenez le contre-pied, et montrez que, quoi qu'on fasse , il n'ya rien à craindre d'un homme qui ne peut rien. Il est regardé dans son diocèse comme un hérétique ; et dès qu'on verra quelque chose de Rome, dans Cambrai surtout et dans les Pays-Bas , tout sera soulevé contre lui.
Page 128 - Mais enfin, Monsieur, si le Pape condamne mon livre, je serai, s'il plaît à Dieu, le premier à le condamner, et à faire un mandement pour en défendre la lecture dans le diocèse de Cambrai.
Page 152 - Cambray continue à semer partout, que c'est moi seul qui remue la cabale qui est contre lui. Il m'a cru le meilleur de ses amis, quand il m'a prié de le sacrer, et qu'il a remis tant de fois sa doctrine entre mes mains. Toute la cabale a été de le retirer de l'entêtement de Madame Guyon, à quoi j'ai travaillé de concert avec Madame de...
Page 130 - Dieu par le pur motif, par lequel on avoit jusqu'ici souhaité que les pécheurs revinssent de leur égarement , je veux dire la bonté de Dieu infiniment aimable. Je sais qu'on abuse du pur amour et de l'abandon : je sais que des hypocrites, sous de si beaux noms, renversent...
Page 51 - J'en ai fait mes complimens à cette Eminence. Mon frère m'a dit qu'il vous avoit mandé quelque chose du procédé de M. de Cambray, et du livre qui a paru de lui depuis peu. Il s'est entièrement rallié avec les Jésuites, et il a dit qu'il n'avoit point à la Cour d'ami plus cordial que le P. de la Chaise (c).
Page 39 - Pour cela, il a fallu que vous ayez pris les plus dociles et les plus zélés de ses enfans pour des fanatiques, dignes tout au moins d'une prison perpétuelle. Mais tout ce que Dieu a fait ou permis est bon. Il m'unit à vous plus que jamais; et je ne puis vous exprimer à quel point je m'attendris en vous écrivant. Je vous offre d'entrer en conversation simple et cordiale, quand vous le voudrez : il ne s'agit point de dispute ni d'éclaircissement humain. Si je vous ai blessé ou scandalisé,...

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