Feuilles d'histoire du XVIIe au XXe siècle ..., Volume 14Arthur Maxime Chuquet Librairie R. Roger et F. Chernoviz., 1915 - France |
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administrateurs agents Allemands août armée armes arrêté Arthur CHUQUET assignats avaient avril Banque Nationale Bas-Rhin bataillon belge Berger-Levrault billets Bismarck brave brigands canton Caron Cavour chargé château château de Saverne chef chouannerie chouans citoyen commandant commissaires Commission Convention d'Égypte déclare décret demande département Description de l'Égypte devant Diemeringen Directoire directoire du Bas-Rhin district donner Doudan écrit Égypte envoyé Évreux février française Furnes Garat garde nationale général gens Gouvernement guerre Guillaume Haguenau Hambach hommes jour Journal juge l'Allemagne l'an VII l'armée l'empereur l'Eure l'Institut Lakanal lettre Leute liberté livres Maignet maison mande ment militaire millions ministre de l'Intérieur mission mois Monténégrins municipalité n'avait Napoléon Napoléon III nation Nieuport nommé octobre paix passé patriotes peuple pluviôse politique porte prêtres Prusse Prussiens qu'un Ranke rapport régiment républicains République Rosswag royal Saverne séance sentiments septembre sera seul soldats Strasbourg Suisse Thiers tion troupes trouve Vandamme Verneuil Veuve Viervoet Vigny Wurmb
Popular passages
Page 150 - La force sans la justice est accusée. Il faut donc mettre ensemble la justice et la force ; et pour cela faire que ce qui est juste soit fort, ou que ce qui est fort soit juste.
Page 320 - UNE TRAGÉDIE SUR L'ADULTÈRE Quoiqu'on ait abusé de ce crime, on n'en a pas encore sondé la profondeur, les supplices de l'amant, sa honte devant l'époux trahi.
Page 125 - ... assister tous successivement trois heures, d'y argumenter à leur tour, et même hors de rang, à l'ordre du syndic de la faculté, en présence des docteurs qui présidaient à ces exercices. Cette arène théologique, dans laquelle les étudiants comparaissaient presque tous les jours de l'année, était la véritable source des lumières qui ont assuré au clergé français une si noble prééminence dans toute l'Église catholique, où l'on ne connaissait aucun établissement pareil, et où...
Page 369 - Et alors, permettez-moi de vous le dire, s'accomplira un grand phénomène, vers lequel on tend depuis plus d'un siècle : on verra refaire un nouvel empire germanique, cet empire de Charles-Quint qui résidait autrefois à Vienne, qui résiderait maintenant à Berlin, qui serait bien près de notre frontière, qui la presserait, la serrerait; et, pour compléter l'analogie, cet empire de Charles-Quint, au lieu de s'appuyer, comme dans le xvc et le xvi...
Page 406 - Un philosophe, apparemment mécontent de ses contemporains, disoit l'autre jour ici que s'il revenoit sur la terre, et qu'il eùt la main pleine de vérités, il ne l'ouvriroit pas pour les en laisser sortir. Mon confrère, lui dis-je, vous avez tort et raison: il ne faut ni tenir la main fermée, ni l'ouvrir tout à la fois; il faut ouvrir les doigts l'un après l'autre; la vérité s'en échappe peu à peu sans faire courir aucun risque à ceux qui la tiennent et qui la laissent échapper».
Page 125 - Cours de licence un intervalle de deux années pendant lesquelles, à la suite de cinq ans destinés à l'étude de la philosophie et de la théologie, tous les bacheliers étaient obligés de soutenir, durant douze heures consécutives, trois thèses publiques, d'y assister tous successivement trois heures, d'y argumenter à leur tour, et même hors de rang, à l'ordre du syndic de la Faculté, en présence des docteurs qui présidaient à ces exercices. Cette arène théologique dans laquelle les...
Page 275 - Convention , fouler aux pieds les lois que la nation s'est faites , renverser le signe auguste de la liberté, est un pays ennemi que le fer et la flamme doivent détruire ; » Ordonne que le tribunal criminel du département de Vaucluse...
Page 407 - Au gré de l'intérêt passant du blanc au noir, Le matin royaliste et jacobin le soir, Ce qu'il blâmait hier, demain prêt à l'absoudre, II prit, quitta, reprit la perruque et la poudre.
Page 125 - Sorbonne. quelques hommes qui ont parcouru cette carrière avec gloire ; mais dans très peu de temps il ne restera plus aucun lien pour nous y rattacher, si la génération actuelle ne nous fournit incessamment des élèves dignes de transmettre ce dépôt à ceux qui viendront après nous. Pour atteindre ce but, je propose avec la plus entière confiance à Votre Majesté Impériale et Royale le rétablissement d'une institution qui sera comptée parmi les plus mémorables d'un si beau règne.
Page 319 - J'aime qu'un homme de nos jours ait à la fois un caractère républicain, avec le langage et les manières polies de l'homme de cour. L'Alceste de Molière réunit ces deux points.