Histoire générale du IV siècle á nos jours: Les monarchies constitutionnelles, 1815-1847A. Colin, 1898 - World history |
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Common terms and phrases
affaires Alexandre anglais août armée avaient Belges C'était Casimir Perier Castlereagh catholiques Chambre Charles Charles X Charte chef ci-dessus colonies commença Congrès congrès de Vienne conseil Constantin constitution constitutionnel Cortès déclara députés devait Diète donner électorale établi États États-Unis fédérale Ferdinand Ferdinand VII février française gouvernement gouverneur Grèce guerre Guizot HISTOIRE GÉNÉRALE hommes journaux juillet Khiva l'Angleterre l'armée l'Autriche l'Église l'émir l'empereur l'empire l'État l'Europe laisser libéraux liberté Londres lord Louis XVIII Louis-Philippe Madrid Méhémet-Ali ment Metternich militaire millions ministre monarchie Monarchie de juillet n'avait n'était Napoléon nation nationale Nicolas nouveau nouvelle officiers pays peuple politique Pologne polonaise pouvait pouvoir premier président prince principe projet provinces Prusse public puissances question réforme régime Restauration reste révolution romantisme royale royaume Russie s'était Sainte-Alliance Saxe serait Serbie seulement siècle soldats souverain Suisse sultan Talleyrand territoire Thiers tion traité troupes tsar Turquie Valachie Varsovie Villèle vote whig
Popular passages
Page 285 - Charles X ne peut plus rentrer dans Paris ; il a fait couler le sang du peuple. « La république nous exposerait à d'affreuses divisions; elle nous brouillerait avec l'Europe. « Le duc d'Orléans est un prince dévoué à la cause de la Révolution. « Le duc d'Orléans ne s'est jamais battu contre nous. « Le duc d'Orléans était à Jemmapes. « Le duc d'Orléans a porté au feu les couleurs tricolores, le duc d'Orléans peut seul les porter encore ; nous n'en voulons pas d'autres.
Page 286 - Les Chambres vont se réunir ; elles aviseront aux moyens d'assurer le règne des lois et le maintien des droits de la nation. « La Charte sera désormais une vérité.
Page 277 - Entre ceux qui méconnaissent une nation si calme, si fidèle, et nous qui, avec une conviction profonde, venons déposer dans votre sein les douleurs de tout un peuple jaloux de l'estime et de la confiance de son roi, que la haute sagesse de Votre Majesté prononce...
Page 66 - Elle seule, ayant acquis la conviction intime qu'il est nécessaire d'asseoir la marche à adopter par les Puissances dans leurs rapports mutuels sur les vérités sublimes que nous enseigne l'éternelle religion du Dieu Sauveur, Déclarent solennellement que le présent acte n'a pour objet que de manifester à la face de l'univers Leur détermination...
Page 281 - Tout ce qu'ils pourront pour faire prévaloir ce droit, ils le doivent. Le gouvernement a perdu aujourd'hui le caractère de légalité qui commande l'obéissance. Nous lui résistons pour ce qui nous concerne ; c'est à la France à juger jusqu'où doit s'étendre sa propre résistance.
Page 277 - Sire, la Charte que nous devons à la sagesse de votre auguste prédécesseur et dont Votre Majesté a la ferme volonté de consolider le bienfait, consacre comme un droit l'intervention du pays dans la délibération des intérêts publics. Cette intervention devait être...
Page 68 - Pour assurer et faciliter l'exécution du présent traité , et consolider les rapports intimes qui unissent aujourd'hui les quatre souverains pour le bonheur du monde, les hautes parties contractantes sont convenues de renouveler , à des époques déterminées , soit sous les auspices immédiats des souverains , soit par leurs ministres respectifs, des réunions consacrées aux grands intérêts communs et à l'examen des mesures qui , dans chacune de ces époques , seront jugées les plus salutaires...
Page 277 - ... car elle fait du concours permanent des vues politiques de votre gouvernement, avec les vœux de votre peuple, la condition indispensable de la marche régulière des affaires publiques. Sire, notre loyauté, notre dévoûment, nous condamnent à vous dire que ce concours n'existe pas.
Page 107 - Les Français ont le droit de publier et de faire imprimer leurs opinions, en se conformant aux lois qui doivent réprimer les abus de cette liberté.
Page 693 - Il jette ses figures, les groupe et les plie à volonté avec la hardiesse de Michel-Ange et la fécondité de Rubens. Je ne sais quel souvenir des grands artistes me saisit à l'aspect de ce tableau; je retrouve cette puissance sauvage, ardente, mais naturelle, qui cède sans effort à son propre entraînement.