Histoire de France, pendant la dernière année de la Restauration, Volume 1Desenne, 1839 - France |
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... n'était vu qu'avec effroi par les amis modérés de la mo- narchie ; il excitait une irritation presque sans bornes dans les rangs des constitutionnels des di- verses nuances . Quant aux royalistes purs , ils étaient divisés sur son ...
... n'était vu qu'avec effroi par les amis modérés de la mo- narchie ; il excitait une irritation presque sans bornes dans les rangs des constitutionnels des di- verses nuances . Quant aux royalistes purs , ils étaient divisés sur son ...
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... n'était pas éteint dans tous les esprits . Au lieu d'une garantie de sincérité , elle n'y voulut voir qu'un soulèvement secret contre les institutions nouvelles dont la France était rede- vable à la Restauration . Les circonstances qui ...
... n'était pas éteint dans tous les esprits . Au lieu d'une garantie de sincérité , elle n'y voulut voir qu'un soulèvement secret contre les institutions nouvelles dont la France était rede- vable à la Restauration . Les circonstances qui ...
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... n'était qu'une image pure , mais très affaiblie de M. de Villèle , auquel il ap- partenait à titre de compatriote et d'ami . Il passait pour être dévoué au parti ecclésiastique . M. de Rigny n'était guère connu que par les lauriers de ...
... n'était qu'une image pure , mais très affaiblie de M. de Villèle , auquel il ap- partenait à titre de compatriote et d'ami . Il passait pour être dévoué au parti ecclésiastique . M. de Rigny n'était guère connu que par les lauriers de ...
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... N'était - il pas à craindre que cet appareil de noms hostiles et impopulaires accu- mulés dans la composition du nouveau cabinet , ne fit succéder à cette indifférence une excitation dan- gereuse , et ne compromît de nouveau cette paix ...
... N'était - il pas à craindre que cet appareil de noms hostiles et impopulaires accu- mulés dans la composition du nouveau cabinet , ne fit succéder à cette indifférence une excitation dan- gereuse , et ne compromît de nouveau cette paix ...
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... n'était point une pensée d'agression , mais de résistance . En choisissantses conseillers dans les rangs de l'extrême droite , Charles X avait obéi à une double impres- sion qui frappait tous les esprits : l'inutilité des concessions ...
... n'était point une pensée d'agression , mais de résistance . En choisissantses conseillers dans les rangs de l'extrême droite , Charles X avait obéi à une double impres- sion qui frappait tous les esprits : l'inutilité des concessions ...
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Common terms and phrases
Audry de Puiraveau avaient barricades bataillon Bourbons Bourmont cabinet capitale caractère Chabrol Chambre Chantelauze Charles Charles X Charte circonstances comte de Bourmont conseil constitutionnel coup-d'état couronne Courvoisier d'Alger d'Argout d'artillerie d'Haussez Dauphin déclara députés dévoûment discours dispositions division Documents justificatifs duc d'Orléans duc de Raguse Dupin aîné dynastie élections électorale esprits eût événements force garde nationale général Lafayette gouvernement Guernon-Ranville hommes hostilités institutions insurgés journaux juillet l'Adresse l'armée l'histoire l'Hôtel-de-Ville l'insurrection l'opposition Laffitte libéral liberté Louis XVIII Louis-Philippe Louvre maréchal Martignac matin membres menace ment mesures militaires ministère monarchie Montbel Mortemart n'avait nation ordonnances pairs parlementaire périls peuple place politique populaire porte position première prérogative royale présent presse périodique prince de Polignac projet d'Adresse publique qu'un refus régiment résistance Restauration Révolution de 1830 révolutionnaire rue de Rohan s'était Saint-Cloud Sémonville sentiment session sion succès système Thiers tion trône troupes Tuileries Villèle Vitrolles vive vote
Popular passages
Page 49 - Pairs de France, députés des départements, je ne doute point de votre concours pour opérer le bien que je veux faire. Vous repousserez avec mépris les perfides insinuations que la malveillance cherche à propager. Si de coupables manœuvres suscitaient à mon gouvernement, des obstacles que
Page 247 - est interrompu ; celui de la force est commencé. Dans la situation où nous sommes placés, l'obéissance cesse d'être un devoir. Les citoyens appelés les premiers à obéir sont les écrivains des journaux; ils doivent donner les premiers l'exemple
Page 247 - Le gouvernement a perdu aujourd'hui le caractère de légalité qui commande l'obéissance ; nous lui résistons pour ce qui nous concerne; c'est à la France à juger jusqu'où doit s'étendre sa propre résistance.
Page 23 - de Henri IV, rendent un grand service à la couronne, en amenant devant une cour de justice des cheveux blanchis au service de cette couronne; je ne sais s'il est bien utile que des royalistes qui ont subi les peines de la prison pour la royauté, les subissent encore au nom de cette même royauté.
Page 83 - pour accomplir tout le bien queje méditais ; mon cœur s'afflige de voir les députés des départements déclarer que, de leur part, ce concours n'existe pas. Messieurs, j'ai annoncé mes résolutions dans mon discours d'ouverture de la session ; ces résolutions sont immuables : l'intérêt de mon peuple me défend de m'en écarter. Mes ministres vous feront connaître mes intentions.
Page 83 - les députés des départements déclarer que, de leur part, ce concours n'existe pas. Messieurs, j'ai annoncé mes résolutions dans mon discours d'ouverture de la session ; ces résolutions sont immuables : l'intérêt de mon peuple me défend de m'en écarter. Mes ministres vous feront connaître mes intentions.
Page 49 - peux pas, que je ne veux pas prévoir, je trouverais la force de les surmonter dans ma résolution de maintenir la paix publique, dans la juste
Page 204 - a méconnu mes intentions; j'avais droit de compter sur son concours pour faire le bien que je méditais : elle me l'a refusé. Comme père de mon peuple, mon cœur s'en est affligé; comme roi, j'en ai été offensé.
Page 71 - qu'il appartient de les apprécier, et d'y apporter le remède qu'elle croira convenable. Les prérogatives de la couronne placent dans ses mains augustes les moyens d'assurer cette harmonie constitutionnelle , aussi nécessaire à la force du trône qu'au bonheur de la France.
Page 26 - dans un moment que j'appellerais critique, si je n'avais reconnu partout sur mon passage, et si je ne voyais dans cette puissante cité cette fermeté calme et même dédaigneuse d'un grand peuple qui connaît ses droits, sent sa force et sera fidèle à ses devoirs ; mais c'est surtout dans la circonstance