Journal de jurisprudence commerciale et maritime, Volume 8la veuve Brebion, 1827 - Commercial law |
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... frères et Cie de Marseille , se trouvait à Al- mérie , et il avait écrit au sieur Jacques Maison- nave d'Alicante pour lui commettre : 1 ° L'achat de 8 arrobes safran , supérieure qua- lité , de la dernière récolte ; 2o L'achat de 150 à ...
... frères et Cie de Marseille , se trouvait à Al- mérie , et il avait écrit au sieur Jacques Maison- nave d'Alicante pour lui commettre : 1 ° L'achat de 8 arrobes safran , supérieure qua- lité , de la dernière récolte ; 2o L'achat de 150 à ...
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... frères et Cie . Les dispositions en remboursement faites sur cette maison par l'expéditeur ne sont pas acquittées . Il est à remarquer que , dès le 28 avril précé- dent , les sieurs Cabanellas fréres et Cie étaient en état de faillite ...
... frères et Cie . Les dispositions en remboursement faites sur cette maison par l'expéditeur ne sont pas acquittées . Il est à remarquer que , dès le 28 avril précé- dent , les sieurs Cabanellas fréres et Cie étaient en état de faillite ...
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... frères et Cnie . Le tribunal avait donc à juger 10 si la faillite de Cabanellas frères et Cnie remontait au 28 avril 1826 ; 2o si la vente faite par le sienr Aquarone au sieur Roux était valide , et si elle pouvait être un obstacle à la ...
... frères et Cnie . Le tribunal avait donc à juger 10 si la faillite de Cabanellas frères et Cnie remontait au 28 avril 1826 ; 2o si la vente faite par le sienr Aquarone au sieur Roux était valide , et si elle pouvait être un obstacle à la ...
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... frères et Cie les safrans dont s'agit , le sieur Joseph Cabanellas , l'un d'eux , lui écrivit de se rembourser sur cette maison ; qu'il a également été justifié que la disposition que le sieur Jacques Maisonnave fit , à cette occa- sion ...
... frères et Cie les safrans dont s'agit , le sieur Joseph Cabanellas , l'un d'eux , lui écrivit de se rembourser sur cette maison ; qu'il a également été justifié que la disposition que le sieur Jacques Maisonnave fit , à cette occa- sion ...
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... frères et Cnie ; » Et sur ce , attendu que les syndics n'ont point con- testé que Joseph Cabanellas fût associé - gérant de la maison de Cabanellas frères et Cnie ; qu'il résulte des documens produits que c'est à la même époque que ...
... frères et Cnie ; » Et sur ce , attendu que les syndics n'ont point con- testé que Joseph Cabanellas fût associé - gérant de la maison de Cabanellas frères et Cnie ; qu'il résulte des documens produits que c'est à la même époque que ...
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Common terms and phrases
acte affréteurs arbitral arbitres Arbona arrêt articles assurances assureurs Attendu AUTRAN avaries Cabanellas frères cabotage Cannac capitaine cassation chandises chargé clause code civil code de commerce code de procédure commerce de Marseille commissionnaire Compétence condamne conséquence Considérant constructeur contrat contrebande convenu cour royale créan créanciers d'avarie déclaration défaut Delahalle délai délaissement demande dès-lors devant le tribunal dispositions facultés failli faillite fournisseurs frais frères Hardy fret Gibraltar huiles J. J. Schnell Joseph Cabanellas Joseph Ricard jugemens jugement l'art l'article l'assuré l'équipage l'espèce lettre de change lieu liquidateur livraison mandat marchandises Marseille Maseyk et Reynaud Mauric et Teissère motifs navire nég non-recevable paiement piles Plaid police port Port-au-Prince Prés privilége propriétaire prorogation protêt raison Rés résulte réticence revendication risque s'agit Schnell jeune serait sieur Blasco sieur Guerrero sieur Lyanna sieur Monod sieur Schnell sieurs Aquarone société syndics termes timbre tion tireur tribunal de commerce vendeur vente Violle voyage
Popular passages
Page 145 - Le mandant est tenu d'exécuter les engagements contractés par le mandataire, conformément au pouvoir qui lui a été donné. Il n'est tenu de ce qui a pu être fait au-delà, qu'autant qu'il l'a ratifié expressément ou tacitement.
Page 2 - L'assuré est tenu , en faisant le délaissement, de déclarer toutes les assurances qu'il a faites ou fait faire , même celles qu'il a ordonnées , et l'argent qu'il a pris...
Page 198 - Les conventions légalement formées tiennent lieu de loi à ceux qui les ont faites. Elles ne peuvent être révoquées que de leur consentement mutuel, ou pour les causes que la loi autorise. Elles doivent être exécutées de bonne foi.
Page 2 - Le délaissement doit être fait aux assureurs dans le terme de six mois . à partir du jour de la réception de la nouvelle de la perte arrivée aux ports ou côtes de l'Europe, ou sur celles d'Asie et d'Afrique , dans la Méditerranée, ou bien, en cas de prise...
Page 187 - Les maçons, charpentiers et autres ouvriers qui ont été employés à la construction d'un bâtiment ou d'autres ouvrages faits à l'entreprise, n'ont d'action contre celui pour lequel les ouvrages ont été faits, que jusqu'à concurrence de ce dont il se trouve débiteur envers l'entrepreneur, au moment où leur action est intentée.
Page 263 - L'étranger, même non résidant en France, pourra être cité devant les tribunaux français, pour l'exécution des obligations par lui contractées en France avec un Français ; il pourra être traduit devant les tribunaux de France , pour les obligations par lui contractées en pays étranger envers des Français.
Page 158 - Sont réputés voyages de long cours ceux qui se font aux Indes orientales et occidentales, à la Mer pacifique, au Canada, à Terre-Neuve, au Groenland, et aux autres côtes et îles de l'Amérique méridionale et septentrionale , aux...
Page 331 - C'est ce qu'a fait l'art. 3 du Code civil, en disposant que les lois de police et de sûreté obligent tous ceux qui habitent le territoire...
Page 266 - Le vendeur pourra , en cas de faillite , revendiquer les marchandises par lui vendues et livrées, et dont le prix ne lui a pas été payé , dans les cas et aux conditions ci-après exprimés. 577...
Page 67 - L'obligation de livrer la chose est parfaite par le seul consentement des parties contractantes. Elle rend le créancier propriétaire et met la chose à ses risques dès l'instant où elle a dû être livrée, encore que la tradition n'en ait point été faite, à moins que le débiteur ne soit en demeure de la livrer; auquel cas la chose reste aux risques de ce dernier.