Mercure françias1779 |
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... homme civilife le - temps de rassembler ses machines autour » de lui , on ne peut douter qu'il ne fur- » monte facilement l'homme fauvage . Mais » fi vous voulez voir un combat plus inégal " encore , mettez - les nuds & défarmés vis- à ...
... homme civilife le - temps de rassembler ses machines autour » de lui , on ne peut douter qu'il ne fur- » monte facilement l'homme fauvage . Mais » fi vous voulez voir un combat plus inégal " encore , mettez - les nuds & défarmés vis- à ...
Page 6
... homme de génie tira les habitans de la longue barbarie dans laquelle ils avoient vecu jufqu'à lui . Il les rassembla ... hommes vertueux , ne pas fentir qu'ils fe- roient reftés confondus dans la foule , s'ils avoient été à la place de ...
... homme de génie tira les habitans de la longue barbarie dans laquelle ils avoient vecu jufqu'à lui . Il les rassembla ... hommes vertueux , ne pas fentir qu'ils fe- roient reftés confondus dans la foule , s'ils avoient été à la place de ...
Page 9
... homme comme lui . - Un homme comme vous , lui répondit le Roi ! Eh , dites - moi , quelle différence y avoit - il entre cet Artifan dont vous parlez avec tant de mépris , & l'ayeul de votre grand père , lorfqu'en récompenfe d'une marque ...
... homme comme lui . - Un homme comme vous , lui répondit le Roi ! Eh , dites - moi , quelle différence y avoit - il entre cet Artifan dont vous parlez avec tant de mépris , & l'ayeul de votre grand père , lorfqu'en récompenfe d'une marque ...
Page 14
... homme à fervir l'Artifan ; ils le confiderèrent dès cet inftant comme un homme fort infé- rieur à leur bienfaiteur , & ils le traitèrent en conféquence . Les hommes , les femmes , les enfans de tous les cantons de l'Ifle vinrent en ...
... homme à fervir l'Artifan ; ils le confiderèrent dès cet inftant comme un homme fort infé- rieur à leur bienfaiteur , & ils le traitèrent en conféquence . Les hommes , les femmes , les enfans de tous les cantons de l'Ifle vinrent en ...
Page 27
ces Cenfeurs éphémères , qu'on prendroit à leur fuffifance pour des hommes fublimes , & à leurs invectives pour des ennemis per- fonnels de tout homme à talent ; qui fouffre avec impatience qu'on chaffe de la Scène , avec des huées ...
ces Cenfeurs éphémères , qu'on prendroit à leur fuffifance pour des hommes fublimes , & à leurs invectives pour des ennemis per- fonnels de tout homme à talent ; qui fouffre avec impatience qu'on chaffe de la Scène , avec des huées ...
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Common terms and phrases
affez affure ainfi Anglois Août auffi auroit avoient avoit bâtimens befoin bleffés Bufte c'eft C'eſt Cadix canons Capitaine caufe chant chébecs chofe compofition Comte Comte d'Estaing Comte d'Orvilliers conféquence confidérables corfaire d'Orvilliers deffin defirer déja difcours différens écrit-on enfuite ennemis eſpèce eſt Etats étoient étoit faifant fans doute fe font fe trouve feconde fecours femble fent feroit fervir feul fiècle flotte foit fommes fous fouvent François frégate ftyle fuccès fuivant fujet fur-tout Général Gibraltar Gluck Grande-Bretagne guerre habitans hommes Ifles intéreffant Jamaïque jour jufqu'à l'Amiral Hardy l'Auteur laiffer lettres Logogryphe Lord Sandwich lorfque ment Miniftre mois dernier Monfieur mufique n'eft n'étoit Nation néceffaires obfervations Onotama Ordre de Citeaux ouvrages paffer paroît perfonnes plaifir plufieurs Plymouth Poëte pofition port pourroit préfent prefque prife propofé puiffe raffembler raifon refpect refte repréfenté s'eft Tableaux talent Tayo tems tion troupes vaiffeaux vaiffeaux de ligne Voltaire دو رو
Popular passages
Page 68 - ... caractères, et de plus il sait en augmenter l'effet par les contrastes. Ce coryphée du printemps se prépare-t-il à chanter l'hymne de la nature, il commence par un prélude timide, par...
Page 67 - IL n'est point d'homme bien organisé à qui ce nom ne rappelle quelqu'une de ces belles nuits de printemps où, le ciel étant serein, l'air calme, toute la nature en silence, et, pour ainsi dire, attentive, il a écouté avec ravissement le ramage de ce chantre des forêts.
Page 14 - II n'est plus...! Prends ton vol agile Renommée ! Aux bouts de la terre alarmée Porte de tes cent voix le plus lugubre accent; Qu'on le répète en gémissant. Annonce un jour de deuil à tout être qui pense ; Et nous , quand Voltaire s'élance Vers l'olympe des demi-dieux, Saluons par nos chants ses mânes radieux. Que la nature entière à sa perte attentive , Les beaux-arts orphelins, l'humanité plaintive Lui consacrent de longs adieux. Les morts se sont émus , et les ombres célèbres Ont...
Page 146 - Ce rayon émané de l'aftre qui nous luit , Hélas ! j'ai tout perdu : le monde a tout détruit. le monde, affreux...
Page 15 - Il sait animer ses portraits. Je vois Charles docile au crime, Instruit à flatter sa victime ; Médicis, savante à tromper; Mornay, dans les combats tranquille; Coligny, la tête immobile Sous le fer...
Page 14 - Le laurier renaiflant , à Virgile fidèle , A courbé fes rameaux fur fa tige immortelle. Dans les caveaux facrés , dernier féjour des rois, Un écho lamentable a retenti trois fois ; Trois fois , fous la noirceur des voûtes fcpulclira!;;.
Page 3 - Le plus grand de fon fiècle en fût le plus aimable Sur fes écrits, fur fes difcours, La grâce répandit ce charme inexprimable Qui fans nous fatiguer nous attache toujours.
Page 156 - Farouche Européen , qui , des rives du Tibre , Viens au sein de la paix troubler un peuple libre , Et qui , dans tes fureurs , nous préparant des fers , Veux à tes préjugés soumettre l'univers , Détestable croisé , etc.
Page 62 - Ces jolis oiseaux arrivent au moment où les arbres développent leurs feuilles et commencent à laisser épanouir leurs fleurs; ils se dispersent dans toute l'étendue de nos campagnes; les uns viennent habiter nos jardins, d'autres préfèrent les avenues et les bosquets, plusieurs espèces s'enfoncent dans les grands bois, et quelquesunes se cachent au milieu des roseaux. Ainsi les fauvettes remplissent tous les lieux de la terre et les animent par les mouvements et les accents de leur tendre...
Page 159 - Que ne puis-je , Lucile , au bout de l'univers , Habiter des rochers, des antres, des déserts; Là, de mon lâche amant expier les outrages , N'entendre autour de moi que le bruit des orages, Ne voir à la clarté d'un ciel chargé de feux, Que des monstres...