Le Consulat et l'Empire ou Histoire de la France et de Napoléon Bonaparte de 1799 à 1815, Volume 2J. Renouard, 1834 - France |
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... s'était répandu , mais le mi- nistre de l'intérieur n'en ayant rien dit dans son dis- cours , on ne doutait plus de la guerre , lorsque Lu- cien reprenant la parole , donna lecture d'une note adressée par le premier Consul aux envoyés ...
... s'était répandu , mais le mi- nistre de l'intérieur n'en ayant rien dit dans son dis- cours , on ne doutait plus de la guerre , lorsque Lu- cien reprenant la parole , donna lecture d'une note adressée par le premier Consul aux envoyés ...
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... s'était lié avec Barrère , était demeuré son ami dans ses malheurs et le voyait en- core souvent , quoiqu'ils n'eussent plus les mêmes vues ni les mêmes intérêts politiques , car Barrère était alors chargé de la partie politique des ...
... s'était lié avec Barrère , était demeuré son ami dans ses malheurs et le voyait en- core souvent , quoiqu'ils n'eussent plus les mêmes vues ni les mêmes intérêts politiques , car Barrère était alors chargé de la partie politique des ...
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... s'était attendu à jouer un rôle moins subordonné dans le gouvernement , et à par- tager , pour ainsi dire , le pouvoir suprême . Un ministère ne suffisait pas à son activité et à son am- bition . Il supportait avec peine que le premier ...
... s'était attendu à jouer un rôle moins subordonné dans le gouvernement , et à par- tager , pour ainsi dire , le pouvoir suprême . Un ministère ne suffisait pas à son activité et à son am- bition . Il supportait avec peine que le premier ...
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... s'était montré si peu jaloux de garantir ces libertés , et qui venait de lancer dans le public un écrit ayant pour but de les sacrifier à l'intérêt de sa famille ! Lucien , à la vérité , ne l'avoua pas hautement ; mais l'écrit était ...
... s'était montré si peu jaloux de garantir ces libertés , et qui venait de lancer dans le public un écrit ayant pour but de les sacrifier à l'intérêt de sa famille ! Lucien , à la vérité , ne l'avoua pas hautement ; mais l'écrit était ...
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... s'était fait entendre dans la salle . Le premier Consul entra dans sa loge ; tous les re- gards s'y portèrent . On y aperçut du mouvement et des figures frappées d'effroi . Pour lui , il était calme et lorgnait les spectateurs . Fouché ...
... s'était fait entendre dans la salle . Le premier Consul entra dans sa loge ; tous les re- gards s'y portèrent . On y aperçut du mouvement et des figures frappées d'effroi . Pour lui , il était calme et lorgnait les spectateurs . Fouché ...
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Common terms and phrases
Anglais armée armistice arrêté avaient bataille d'Héliopolis bâtimens Bonaparte brumaire c'était cent Cerracchi Cisalpine citoyens civil clergé commandement concordat conseil d'état constitution constitutionnels convention corps Corps-Législatif cour de Rome Demerary Demerville départemens devait discussion donner Égypte émigrés ennemis envoya établi eût évêques Fouché française fructidor Gantheaume germinal gloire gouver guerre Haute-Égypte Hawkesbury Joseph Bonaparte Kaire Kléber l'an vIII l'Angleterre l'armée d'Orient l'église l'Égypte l'empereur l'Europe légat Législatif liberté lois lord Hawkesbury Lucien Lucien Bonaparte Lunéville Mamlouks mée Menou ment messidor mier Consul militaires mille hommes ministre Moreau Murat n'avait n'était nation nationale négociations nement nivose ordonna pape patrie Paul Ier peuple pluviose police porter pouvait préfet premier Consul prêtres prince principes projet de loi public publique puissance religion République République batave reste révolution Reynier Russie s'était sénat serait système Talleyrand thermidor tion Toscane traité de Lunéville traité de paix tribunat troupes vaisseaux vendémiaire ventose voulait
Popular passages
Page 24 - Toutes conspirations et complots tendant » à troubler l'État par une guerre civile en » armant les citoyens les uns contre les » autres, ou contre l'exercice de l'autorité » légitime, seront punis de mort.
Page 127 - Ils sont là douze ou quinze métaphysiciens bons à jeter à l'eau. C'est une vermine que j'ai sur mes habits, mais je la secouerai. Il ne faut pas croire que je me laisserai attaquer comme Louis XVI. Je ne le souffrirai pas...
Page 188 - Sa Sainteté, pour le bien de la paix et l'heureux rétablissement de la religion catholique, déclare que ni elle, ni ses successeurs, ne troubleront en aucune manière les acquéreurs des biens ecclésiastiques aliénés, et qu'en conséquence, la propriété de ces mêmes biens, les droits et revenus y attachés," demeureront incommutables entre leurs mains, ou celles de leurs ayants cause.
Page 187 - Sainteté déclarera aux titulaires des évêchés français qu'elle attend d'eux, avec une ferme confiance, pour le bien de la paix et de l'unité, toute espèce de sacrifices, même celui de leurs sièges. D'après cette exhortation...
Page 448 - On ne peut s'empêcher de reconnaître dans vos destinées la main de cette Providence qui vous avait marqué de loin pour l'accomplissement de ses desseins prodigieux. Les peuples vous regardent; la France, agrandie par vos victoires, a placé en vous son espérance , depuis que vous appuyez sur la religion les bases de l'État et de vos prospérités. Continuez à tendre une main secourable à trente millions de chrétiens, qui prient pour vous au pied des autels que vous leur avez rendus.
Page 330 - Gouvernemens respectifs, se promettent mutuellement de ne pas souffrir qu'aucun de leurs sujets se permette d'entretenir une correspondance quelconque soit directe , soit indirecte , avec les ennemis intérieurs du gouvernement actuel des deux États , d'y propager des principes contraires à leurs constitutions respectives, ou d'y fomenter des troubles ; et , par une suite de ce concert , tout sujet de l'une des deux puissances qui , en séjournant dans les...
Page 324 - Unissons aux efforts du gouvernement les efforts des citoyens pour enrichir, pour féconder toutes les parties de notre vaste territoire. Soyons le lien et l'exemple des peuples qui nous environnent. Que l'étranger, qu'un intérêt de curiosité attirera parmi nous, s'y arrête, attaché par le charme de nos mœurs, par le spectacle de notre union, de notre industrie et par l'attrait de nos jouissances ; qu'il s'en retourne dans sa patrie plus ami du nom français, plus instruit et meilleur.
Page 43 - L'action du tribunal spécial, dit-il, serait trop lente, trop circonscrite. 11 faut une vengeance plus éclatante pour un crime aussi atroce; il faut qu'elle soit rapide comme, la foudre; il faut du sang; il faut fusiller autant de coupables qu'il ya eu de victimes, quinze ou vingt; en déporter deux cents, et profiter de cette circonstance pour en purger la République '. Cet attentat est l'ouvrage d'une bande de scélérats, de septembriseurs, qu'on retrouve dans tous les crimes de la révolution.
Page 476 - On appelle cela des hochets; eh bien! c'est avec des hochets que l'on mène les hommes. Je ne dirais pas cela à une tribune; mais dans un conseil de sages et d'hommes d'état , on doit tout dire. Je ne crois pas que le peuple français aime la liberté, l'égalité; les Français ne sont point changés par dix ans de révolution; ils sont ce qu'étaient les Gaulois , fiers et légers.
Page 331 - Nos armées, dit Chénier, ont combattu pendant dix ans pour que nous fussions citoyens , et nous sommes devenus des sujets! Ainsi s'est accompli le vœu de la double coalition »! Le traité fut cependant adopté (17 frimaire) par une très grande majorité, de soixante-dix-sept voix contre quatorze.